[F.B]Ame no nuhoko, un cycle sans fin

Il n'y avait pas si peu de temps que cela il était encore dans la neige et non pas dans cette tour aux étages multiples. Imbriquer les uns dans les autres, la pierre s'accumulait sur une distance inconnu, après tout il n'était pas dans un endroit respectant les lois de la nature, la tour de Babel était bien plus, pire par de nombreuses facette. Une main venant chercher la chose qu'il devait rendre, il en extirpa la lance de la création, il ne savait pas bien comment elle avait pu se perdre dans ce monde, mais il était temps de la rendre à ces créateurs. Sous la force de l'arme un escalier apparut sur les murs de la tour, une longue ascension l'attendait puis la volonté qui mue l'arme n'allait pas le laisser tranquille d'aussi tôt. Était il sur de ce qu'il comptait faire, la porte du Jutsu était encore ouverte, il lui serait simple de faire un pas en arrière, passer la porte et perdre l'arme dans la mers ou en haut d'une montagne. Mais même de cette manière, il avait l’impression qu'elle reviendrait toujours, perdu dans les mains d'un homme, elle deviendrait une plaie que ce monde n'avait pas à endurer. Son premier pas sur l'escalier finalisa le jutsu et l'enferma dans la tour, son unique manière de sortir de la serait d'escalader une à une les marches le conduisant à la porte qui donnerait le repos et sa place à l'arme.

Refermant sa poigne sur le métal, il se mit à grimper, marche après marche, il se sentait chez lui, la tour de babel était comme un lien représenté par un bâtiment humain, il devait relier les âmes entre elle, un chemin directe vers le paradis. Mais pour la beauté de l'image, ce superposait la triste réalité. Babel était un endroit emplie de haine et de colère. Quand on s'approchait du haut de la tour une paix infini s'installait et c'était une autre forme de danger qui vous guettait. Après une cinquantaine de marches, Kurasu cessa son ascension, l'arme vibrait dans sa main et il ressentait une grande fureur naître des pierres du lieux l'arme qui avait créé le monde attirait à elle les âmes en peine pour les purifier encore fallait il qu'elle le voulait pour le moment tout ce qu'elle parvenait à faire c'était les énerver les incitants à attaquer le porteur. Le mort essaya de calmer les choses, s'aidant de ces capacités, mais c'était peine perdu les âmes ne résonnait pas ils étaient la formes ultime du sentiment quel qu’il soit. L'attaque vint le cueillir par surprise, une patte de la taille d'un bâtiment de plusieurs étages vint creuser un trou dans la pierre. Reculant de plusieurs marches Kurasu évita le gros de l'attaque et put contempler la chose qui arrivait. Une sorte de tarentule poisseuse dégoulinant d'un liquide visqueux et translucide, elle suintait par tout les pores la haine et le désire de mal. La lance attirait toujours plus d'âme et ils c'étaient agglomérer pour former cette chose immonde. Une nouvelle attaque fut accueillie par la première danse de l'arme. La lance n'avait pas besoin d'un être expérimenté elle chantait dans le corps de celui qui la manipule lui donnant le tempo et la force de réaliser chacune de ces attaques. La première dance appelé "Réquiem au Néant" commençait par un rapide mouvement sur soit même pour déployer une forme centrifuge et ainsi couper tout ce qui pouvait venir à l'encontre du manipulateur. La chose ouvrit ce qui ressemblait à une bouche démesuré, un long silence jaillit le cri d'une âme ou même de millier se faisaient toujours dans le silence. Prenant appuie sur l'une des mandibules, il s'approcha au plus prêt du corps pour donner un coup décisif, l'être explosa l'âme qui avait donné naissance à cette amas de haine fut empaler, les autres âmes furent rejeté de l'endroit. Le calme revint.

Il avait eu l'idée de cette expédition alors qu'il avait quitté les routes fréquenté menant au pays des neiges. Il avait détruit l'enfant qui possédait l'arme, il c'était plutôt fait juger par la lance, mais le résultat était le même un enfant avait perdu la vie et il n'en était pas vraiment fière, surtout que les âmes ayant déjà connu ce sentiment se mettaient à hurler en continue leur douleur. Kurasu avait prit son temps, observant les courbes de l'arme, pensant à ce pouvoir qu'il pourrait utiliser dans sa chasse au Yang, mais était il prudent de manier une telle arme, la chose pourrait se retourner contre lui ou bien le contaminer d'une manière ou d'une autre. après de longue réflexion interne, il décida qu'il était plus sure de remettre l'âme à la tour elle saurait quoi en faire. Mais bien entendu, il avait oublier que la remettre ne serait pas une partie de plaisir. L'idée lui vint alors de la laisser en haut d'une montagne, fermement planter dans le roc, elle finirait pas disparaître absorbé par la roche ou oublier des hommes. Quand il voulut mettre son plan à exécution, il prit alors le chemin menant aux hautes montagnes des neiges éternelle, il avait grimpé bien longtemps essuyant les première neige, mais alors qu'il croyait être suffisamment haut il fit émerger de l'Inujini la lance, cette dernière créa elle même le jutsu de la tour de Babel entraînant Kurasu entre ces murs. Une manière de lui dire qu'il ne serait jamais capable de l'emmener la ou la tour déciderait.

D'une certaine manière, ce ne fut qu'un caprice égoïste, les âmes blessés par le sous entendu de l'arme c'étaient enorgueillie et c'était tous mit en tête, Kurasu comprit de l'emmener la ou elle devait. Mais bien sur, le chemin ne serait pas un périple tranquille la lance n'aimait pas les grands principe et à sa manière luttait contre les êtres contre nature. Kurasu était donc une proie de choix, lui qui se vit confier une seconde vie sous le sceau de grands principes, il était une tache à effacé de ce monde pour la lance. Mais elle avait tout de même oublier qu'elle ne pouvait pas refuser un manipulateur elle lui offrait donc de multiple danger mais aussi sa protection.
De plus en plus haut, Kurasu abattit quelques âmes qui prenaient des formes plus extravagante les unes que les autres. Devenant des monstres aillés ou bien mythologique, prenant la forme de dieux en colère ou d'homme parfois même d'enfant. Aucun ne parvint à faire fléchir la force que l'être avait mit en lui, la détermination toujours plus grande avait fait disparaître les voix qui trônaient en lui depuis sa renaissance. La fin de l'escalier, il se précipita pour atteindre le palier au plus vite. La fatigue était un état qu'il n'avait plus connu depuis des lunes, le plaisir de ressentir son corps chercher la vie dans chacune des bouffées d'oxygène précipité. Il marqua un temps d'arrêt, la lance mit en travers dans son dos alors qu'il se redressait la main sur son torse il ressentait sa respiration, chaque mouvement de sa cage thoracique. L'arme avait aspiré chaque parcelle d'âme, elle lui avait rendu son corps et son humanité. Mais il ne devait pas fléchir, quelques pas de plus et cela serait fini. Une porte de fers trônait dans le mur, l'endroit ou serait enfermé la lance il y arriverait bientôt.

Les ombres devant la porte formèrent un être recouvert d'une épaisse cape noir, le visage invisible les mains qui émergeait des grandes manche dissimulait même les bras comme si à l'intérieur ne résidait que la noirceur la plus total. La chose fit volter un morceau de sa cape pour l'ouvrir, la main s'engouffra dans la noirceur et tira un bâton à la taille imposante. Quand la chose fit claquer l'arme à terre une lame apparut formant une faux au proportion surprenante. Kurasu fit danser l'arme devant lui défiant la chose de lance qu'il étreignait avec force. Il savait qu'il se battait contre lui même, à ce moment la il était étrange de voir que l'Inujini se battait pour le récupérer et qu'il se battait pour passer. Mais aucun des deux ne pouvaient avoir ce qu'il désirait aussi simplement. Il fallait que Kurasu accepte l'Inujini et sorte de la tour faire un à nouveau. Quand à lui voulait entrer dans la pièce mais pour cela il devra faire échec au plan de son propre pouvoir.

La bataille fit rage, les coups s'échangeant avec brutalité. A chaque fois que la lance entrait en résonance avec la faux des éclaires noirs et or émergeait de la rencontre pour éclairer la tour de funeste lumière. Kurasu glissa sur le sol, se faisant éjecter par l'Inujini qui maniait avec une dextérité divine la faux qu'il avait lui même créé. Il n'avait pas le temps de réfléchir, contrairement à lui l'Inujini ne connaissait pas la fatigue, ces muscles ne lui feront jamais savoir qu'il est temps de s'arrêter. Kurasu empoigna la lance comme un javelot l'envoyant directement sur son pouvoir. La cape esquiva en se plaquant contre le mur, tournant vivement la capuche dans sa direction présumé. Mais l'homme avait déjà prit la poudre d'escampette, sautant au dessus de l'inujini il atterrit en face de lui, donnant un coup dans le manche de la faux il parvint à déstabiliser la prise de la chose. Il désarma son propre pouvoir et dans un mouvement souple il fit courir la lame du bas vers le haut de l'Inujini le coupant en deux part égales finissant son mouvement par un coup brutale sur la lance avec le dos de la lame. La lance se contracta et pulvérisa la porte d'un mouvement chaotique.

Kurasu s’empressa de récupérer la lance et se lança dans la porte. L'Inujini reprenait doucement forme, mais il était déjà trop tard Kurasu avait déjà passer la porte. Se retrouvant dans un monde blanc, il leva la lance au dessus de sa tête, la lame en direction de ce qu'il jugeait le sol et il frappa. Le blancheur du monde disparut aspirer par la lance, le froid revint il n'avait jamais quitté le lieu ou il était entrer dans le tour de Babel. La lance était maintenant planté dans le roc. Il la lâcha encore sous la surprise de ne plus être recouvert par sa capacité,le froid aurait bien raison de lui. Il n'avait lâché du regard la lance qu'une minute mais quand il se retourna à nouveau sa capacité se trouvait prêt de l'arme. Kurasu eut un bref haussement d'épaule, il avait eu une première vie courte et il avait eu un fardeau différent mais un fardeau tout de même alors pourquoi refuser le fardeau de cette nouvelle vie. Il fit un mouvement de la main à l'Inujini qui se rua sur son nouveau maître, l'entourant, les voix revinrent, le froid disparut seul la paix comptai à nouveau.

L'être une fois retourné à son essence première descendit de la montagne laissant l'arme dans le roc se faisant doucement recouvrir de neige. Quand la forme noirâtre disparut totalement, le roc céda, l'arme glissa doucement sur le flanc de la montagne et tomba dans une brèche. L'Ame no nuhoko fini par trouver une source dans les flancs de la montagne, elle se laissa guidé dans le ventre de la terre. Il ne lui faudrait qu'une poignée d'année pour sortir de la. Il y a des mythe qui ne peuvent pas vivre enfermé, malgré leur puissance et leur promesse de mort ils sont le destin bénie des hommes. Leurs voie sur le chemin de la paix. Même si pour cela les ténèbres doivent envahir leur coeur.