Sujet: FB/Une rivalité dérisoire a un affrontement~[PV:DOSAKU] Dim 19 Déc - 16:00
« Gangsta Black kick ass of Ryuzuki »
Notre protagoniste s'était levé aux aurores suite a une discorde avec un énergumène arborant un habitat de ce village. Cet autochtone portait le nom de Ryuzuki, sa peinture faciale était aisément définit par sa chevelure faisant l'amalgame entre le cobalt et le glauque. Il semblait se définir tel un rival vis a vis de notre homme, un prompt jugement qui était devenu la cause de leur futur affrontement. Dans le cas de notre entité, la déraison le poussait a le combattre... En ce qui concernait l'antagoniste, surement nourrissait-il l'envi de se prouver qu'il équivalait le bretteur voir qu'il le surpassait. Il était vrai que depuis quelques temps ses forces subissaient un accroissement exponentiel mais il devait reposer ses panards crasseux sur terres. Nonobstant être le plus puissant et le plus hardi, il n'en résultait rien d'autre qu'un zeste de folie et une touche de vantardise accompagné d'arrogance brute.
Ramener un comparse a la raison, briser cette déraison qui le hantait ou bien prouver que l'élite des genins n'était autre qu'un noir a la classe indiscutable. Pour diverses raisons, de tout les procédés possible, ils allaient inexorablement vers un affrontement s'arrachant du combat ordinaire. Peut-être en résulterait-il un entrainement gratifiant en expérience, en amitié ou un accroissement d'une rivalité qui ne serait plus négligeable. Que ce soit pour Omoi ou le bleu, comme il se plaisait a le surnommer.
Un air impartial et taciturne, ne laissant nul rictus faire transparaître ses émotions, accroupis, se délectant de sa friandise, katana a son derche. C'est ainsi qu'il se tenait sous un blizzard pourfendant sa chevelure blonde, en une perpétuelle confrontation avec le bandeau qu'il arborait si fièrement. Du haut d'un pique rocheux, il scrutait son rival, ayant mit de côté ses préjugés et son éternel pessimisme. Quoi de mieux qu'un temps orageux ou le ciel grondait d'ovation pour l'affrontement de deux Kumo-Jin.
« C'est donc ainsi que doivent se passer les choses... Je tâcherai donc te trancher proprement et promptement. » Cette phrase poursuivit d'un clin d'œil se délectant d'arrogance tout comme Omoi savait si bien le démontrer a l'instar de ses sucettes, avait pour but de susciter la rage chez l'énergumène que notre héros reluquait depuis quelques instants deja. C'est ainsi qu'il empoignait le manche de son sabre près a en découdre avec le kumo style et sa maitrise bénigne de la foudre. Sachant par pertinence que présentement son adversaire disposait d'une réserve de chakra bien plus importante et d'une plus grosse capacité a encaisser les coups. Malgré tout, notre gangsta préféré était le bénéficiaire d'un panel de jutsu un tant soit peu plus large que son antagoniste mais également d'une plus ample intelligence. De son cru Omoi savait qu'il devrait tâcher d'utiliser son chakra et son énergie de manière a pallier son manque d'endurance inéluctable et c'est cette réflexion, même s'il était un shinobi agissant sous le coup de l'impulsion, qui le rendait supérieur. « Je te laisse l'honneur de m'attaquer... Je ne voudrai pas t'humilier dans l'instant. J'ai bien trop peur que, déshonoré, désemparé, tu mettes fin a tes jours. »
Sujet: Re: FB/Une rivalité dérisoire a un affrontement~[PV:DOSAKU] Dim 19 Déc - 21:14
- Coup de pression -
« Un défis à ne pas refuser » N'est-ce pas une journée merveilleuse ? Aujourd'hui, je venais de recevoir une magnifique lettre de mon plus grand rival depuis tout le temps, ce satané noir, Omoi-san. Depuis tout jeune on a été les plus grands rivaux, mais aussi les plus grands amis, on rigolait ensemble, on combattait ensemble, mais on se disputait aussi ensemble. Depuis, ça faisait un bon bout de temps que je ne l'avais vu, car nous avons dû prendre des chemins différents dans notre art de shinobi. Lui, avait préféré continuer dans l'art de la maniabilité des armes tel-que le katana alors que moi, j'ai préféré me diriger vers une école plus approprié à mon style de combat, c'est-à-dire, la discrétion.
- Retrouvaille d’enfance - Je m'étais levé tôt ce matin pour pouvoir me préparer à un rendez-vous que m'avait fixé mon cher et ancien fidèle ami, Omoi-san, non heureusement que ce n'était pas un rendez-vous entre amoureux, lui qui m'a toujours pris pour un homosexuel, en effet, Omoi-san est un vrai homophobe et déteste les petites pédales, qui, on peur de tout et de n'importe quoi. Il ne pouvait pas me comprendre et quand on était encore jeune et naïf, il me faisait que de me faire chier avec des propos du genre « Ta peur des petites bestioles Ryu' ?! Grosse pédale » ou encore des choses du genre « Arrête de te comporter comme une petite tapette grosse pédale ! » et encore, ce n'était pas les plus grosses insultes qui me disaient, il fallait croire que c'est lui qui avait peut-être un problème avec l'homo-phobie, peut-être qu'il était qui sait, lui-même homosexuel, mais qu'il ne voulait pas l'avouer. Parce que, sucer en permanence des sucettes 24h/24 c'était quand même louche de sa part. Goût fraise en plus, alors ça, si ce n'était pas un signe.
Passons, comme à mon habitude matinale, je préparais mes affaires en apportant tout ce dont je pouvais avoir besoin, je mettais tout ça dans un seul et même sac puis j'étais enfin prêt à partir. Vu sa lettre, ça devait plus être une demande de combats qu'autre chose, car, envoyer une lettre et dire au receveur de se pointer dans une grande montagne, c'était quand même assez suspicieux. Je ne tardai pas une seule minute, et je me mis à m'acheminer vers les grandes montagnes avec fierté, j'allais enfin revoir une vieille connaissance, on n'avait pas vraiment été copain très longtemps, juste, pendant le temps de l'adolescence et par la suite nos chemins c'était éloigné et voir que maintenant, il ne m'a toujours pas oublié ça me faisait chaud au coeur, moi qui n'avait jamais eu vraiment de vrais amis, il a été le seul, et le dernier.
Q uelques minutes s'écoulaient, et j'arrivai enfin à destination. Je gravis les roches montagneuses avec grand effort, jusqu'à enfin apercevoir une grande silhouette d'un visage assez noir avec une sucette à la bouche. Oui, c'était bien lui, dès le premier regard je le reconnus. Je m'en allai vers lui en vérifiant bien que c'était lui et, l'homme, qui était en face de moi, prit alors parole avec une voix assez froide et sans pitié. Il parla de me trancher la tête par je ne sais quel moyen, et fier comme il est, il me dit qu'il me laissa attaquer en premier. Sans aucun doute, c'était bien lui, toujours aussi arrogant et remplit de fierté, il n'avait pas du tout changé.
Ryuzuki - Je posai mon genou gauche contre le sol en m'adressant à l'homme qui me fixait du regard. « Ahaha ! Omoi-san... Faut croire que tu n'as pas changé depuis le temps, toujours avec ta sucette gout fraise dans la bouche ! Alors ?! Ca fait quoi de sucer des sucettes tous les jours ? Ah, mais que suis-je bête ! C'est ton métier de sucer... Ahaha ! Tu me sous-estime beaucoup trop Omoi, je me suis beaucoup améliorée depuis la dernière fois... » Dis-je avec insolence et confiance « Aller... Nous sommes sur une grande montagne, des nuages de brumes nous entour, la vu ici est presque impossible... Je suis parfaitement dans mon élément ici ! Pourquoi avoir choisi un tel lieu ? Ralala... Tu es toujours aussi débile à ce que je vois, aller, essaye de m'attraper ! »
Action de Ryuzuki a écrit:
Utilisation de la Discrétion, sachant que tu as moins en point d’intuition que moi j’ai en discrétion, tu ne peux pas savoir où je suis.
Dernière édition par Ryuzuki Chikuza le Jeu 30 Déc - 15:47, édité 2 fois
Sujet: Re: FB/Une rivalité dérisoire a un affrontement~[PV:DOSAKU] Dim 19 Déc - 22:54
« Gangsta Black kick ass of Ryuzuki »
Pessimiste a ses heures perdus, il s'en révélait être une sorte de poète du dégout, allant jusque inspirer Shakespeare. Son adversaire, la fillette face a qui il se devait de mener une razia, se dissimula discrètement dans les zones rocheuses encerclant notre protagoniste, profitant de ce même fait d'une épaisse brume orageuse. C'est ainsi qu'une risette perfide prenait forme sur la peinture d'Omoi, sachant pertinemment que le bleu n'était doté d'aucun sens de réflexion. Ne se souvenait-il pas, a tout hasard, de l'abracadabrante intuition don bénéficiait notre protagoniste par hérédité...? Folie, déraison, l'antagoniste en perdait deja son sang froid. Qui plus est, notre héros fut d'autant plus ébahit lorsque son opposant se livra a un récital quantitatif, a l'image d'une déclaration, une vraie perte de temps pour le coup. Soit, Omoi ne pouvait qu'en déduire que le Chikuza n'avait rien perdu de son homosexualité... Après tout, lopette un jour, lopette toujours.
« Ahaha ! Omoi-san... Faut croire que tu n'as pas changé depuis le temps, toujours avec ta sucette gout fraise dans la bouche ! Alors ?! Ca fait quoi de sucer des sucettes tous les jours ? Ah, mais que suis-je bête ! C'est ton métier de sucer... Ahaha ! Tu me sous-estime beaucoup trop Omoi, je me suis beaucoup améliorée depuis la dernière fois... » D'après le savoir de notre gangsta, il n'y avait jamais eu de dernière fois qu'il soit question d'allusions combatives ou sexuelles. C'est après un silence appréciable ou notre homme s'exalta, savourant jouissive-ment la fin de sa sucrerie, que l'autochtone se précipita dans une nouvelle perte de temps. « Aller... Nous sommes sur une grande montagne, des nuages de brumes nous entour, la vu ici est presque impossible... Je suis parfaitement dans mon élément ici ! Pourquoi avoir choisi un tel lieu ? Ralala... Tu es toujours aussi débile à ce que je vois, aller, essaye de m'attraper ! » Omoi esclaffa d'un fou rire ininterrompu durant quelques dizaines de secondes, allant des larmes aux crampes abdominal. Cette gargantuesque risette prit une telle importance qu'il en perdit son bonbon a sucer. « Tu sais a te planquer dans le brouillard et a jouer... Tu pourrais te perdre, tomber dans un ravin et dépérir tout seul, sans que je ne puisse te trouver ni donner l'alerte au village. » Un nouveau scénario bourré de pessimisme extirpé du cru de ce personnage charismatique, visant le bleu, son jeu de pedzouille et une mort inexorable au final. C'est ainsi qu'Omoi lâcha le manche de son sabre, replaçant une de ses sucreries au sein même de sa bouche. « Qui plus est mon pote, je préfère amplement m'exercer sur des sucreries a la cerise que de pratiquer ce fait sur une paire de roustons opulentes et grassouillettes. » Clin d'œil provocateur visant l'énergumène qui se branlait certainement, d'ores et deja, sur la divinité que présentait notre homme et son charisme. Question humour noir et scénario loufoque, Omoi n'avait nul reproches a se faire, ni de craintes de trouver un homme plus qualifié que lui dans ce domaine.
« Bon, c'est pas tout le bleu mais j'aimerai bien que tu passes a l'acte sinon j'pourrai bien mourir d'ennui, m'endormir et tomber dans le ravin. » La manière dont Omoi alliait le pessimisme et la provocation pour susciter la perte de sang froid chez son ennemi en était désabusante, c'en était devenu un véritable don provocant moult émotions chez ses confrères. C'est alors, de manière contradictoire a ses habitudes, qu'il croqua a pleine dent la boule sucrée qui prônait sur le haut du bâtonnet de sa friandise. Sans plus tarder, reprenant implacablement cet air neurasthénique, il fit jaillir un faisceau lumineux accompagné d'un son strident, arborant son bâton de sucette, prit en tenaille par son index et son pouce avec doigtée et finesse. Et c'est d'un air bien vislard qu'il balança une bonne rétorque a son antagoniste... « Approches donc que je te fasse quelques petites gâteries. Mais sois pas trop brutal, j'voudrai pas faire une crise cardiaque en voyage ta face de pée. »
Kaze raiton sur le bâton de ma sucette pour 20 pc, activation. 110 - 20 = 90 pc
Sujet: Re: FB/Une rivalité dérisoire a un affrontement~[PV:DOSAKU] Lun 20 Déc - 15:32
- Le combat peu débuter -
« Le combat peu débuter » Après mettre caché dans cette épaisse brume, il fallait maintenant, que je mette en place une bonne stratégie, je devais lui donner un enchaînement de coups surpuissants pour lui montrer que je n'étais pas n'importe qui. Il avait l'air d'être si sur de lui ce petit Omoi-san, je vais lui montrer ce que c'est de me sous-estimer ainsi de ma force surhumaine, il allait mordre le sol comme un "chien" cet imbécile de suceur de sucette.
- Rusé comme un singe et féroce comme un chien - Une fois bien camouflée, j'observai mon adversaire, Omoi-san, pour voir la réaction qu'il aurait, arrivera-t-il à me retrouver ? J'en doutais fort, car, j'étais quand même le roi de la discrétion et personne ne pouvait me battre à ce jeu. Par la suite, tout ce que Omoi-san trouva de bien à faire et de s'adresser à moi en me disant tous et n'importe quoi, il a commencé à bluffer avec ses bêtises du genre, je pouvais tomber dans un ravin et me faire très mal, mais ce qu'il ne sait pas, c'est que lors de ma formation à l'école de discrétion pour les experts en taijutsu, on a tous eu un entrainement ici-même, tous les élèves de cette école, nous étions formés sur cette montagne et donc je la connaissais par coeur. Il pouvait dire tout ce qu'il voulait, j'allais bel et bien rester cacher. Désespéré par l'attente, je me mis en place une petite stratégie assez efficace qui risquait de lui faire très très mal. J'allais lui montrer l'un des enchaînements les plus basiques de mon école, mais aussi, la plus puissante à mon niveau.
Soudain, une lumière vive et un son grincent se fit entendre, je me bouchai les oreilles avec réflexe. Ce bruit était tellement désagréable. Subitement, le son horrible ne se faisait plus entendre, un calme absolu, et tous ce que je pouvais voir devant moi c'était une lumière brillante comme le soleil qui attendait en pleins milieux du champ de combat. Aucun doute, c'était bien Omoi-san qui avait provoqué ça, je ne savais pas quel genre de technique il avait pu utiliser, mais je n'avais aucun impacte physique, qui sait, peut-être un genjutsu, je n'en savais rien, mais il fallait que j'agisse vite. Je me relevai du sol en enlevant mes bandeaux cotés à mes deux bras et j'entamai le début de ma stratégie.
D'une vitesse affolante, je courus en direction de Omoi-san, qui lui, ne s'apercevait de rien comme un gros imbécile. Je bondis dans l'air en exécutant un magnifique mouvement vif contre Omoi, qui d'une fraction de seconde, s'apercevra qu'il était attaqué et que je venais de le prendre par surprise, ma stratégie avait marché. Je lui donnai un puissant coup de poings contre sa nuque et j'enchaînai par le combo du chien, un combo rapide, efficace et enragé. Je terminai par un coup de genoux dans son estomac pour qu'il puisse bien sentir la douleur, il s'écroula par terre contre le sol inerte crachant du sang, criant de douleur. Ça lui apprendra de me sous-estimer.
Ryuzuki - « Alors ?! Ta bien mangé ?! Fils de plage va ! Ça t'apprendra à me sous-estimer ainsi ! c'est toi la sous-merde tu vas voir quand je vais te mettre t'a raclé sans est fini pour toi ! Omoi-San ! Fini t'es propos de gamin, cette fois-ci, agit comme un homme ! Un vrai ! Montre moi que tu as vraiment changé et que tu es devenu un vrai Shinobi ! » Criai-je de toutes mes forces avec désespérance. Après lui avoir enchaîné ce violent rafale de coups physiques, je me redressais en gigotant ma poignet et je le fixai du regard. « Putain connard tu m'a fais mal à ma poignet... »
Action de Ryuzuki a écrit:
« J'utilise le combo du chien, comme je suis en pleine discrétion et que tu ne sais pas où et quand j'attaque, tu te prends la technique directement sans aucun droit d'esquive, de parer et de la bloquer, tu ne peux donc rien faire contre ça; mais comme tu as 5 en intuition et que j'en ai 6 en discrétion, je suis sous l'obligeance de sortir de ma cachette.
Sujet: Re: FB/Une rivalité dérisoire a un affrontement~[PV:DOSAKU] Lun 20 Déc - 22:33
« Gangsta Black kick ass of Ryuzuki »
S'extirpant de ce souffle grisâtre et de ce décors rocheux tel un lâche saisissant son unique opportunité, frappant sa cible par déloyauté et par crainte de sa gargantuesque puissance, le Chikuza vint asséner un uppercut suivit d'un enchaînement prénommé "combo du chien" a notre homme. Ce dernier fit tâche de feindre le knock out, tel un Molière jouant somptueusement son rôle d'acteur prédéfini. C'est ainsi, faisant mine de simuler moult blessures, titubants, crachant d'amples amas de sangs dut a une morsure de lèvre volontaire, qu'Omoi fit croire au bleu que sa succession lâche et prompt de coups, s'arrachant de tout brin de puissance, porta ses plus beaux fruits. Et c'est l'amalgame d'une insouciance ambiguë et d'un messie en plein dribble qui allait perdre le pouilleux.
« Alors ?! Ta bien manger ?! Fils de plage va ! Ça t'apprendra à me sous-estimer ainsi ! c'est toi la sous merde tu vas voir quand je vais te mettre t'a raclé sans est fini pour toi ! Omoi-San ! Fini t'es propos de gamin, cette fois-ci, agit comme un homme ! Un vrai ! Montre moi que tu as vraiment changé et que tu es devenu un vrai Shinobi ! » Notre homme s’en retrouvait a devoir masquer une profonde risette et se contenir d’une esclaffe pantagruélique… Le point ou ce foutu bleu pouvait débiter un tas incommensurables de conneries a foutres dans le même sac, en devenait a chaque fois plus reversant. Nonobstant, Jactant moult affirmations plus ou moins fausse, sans nul trouver de repos, incessamment il devenait impertinent et c'en était une vraie plaie a tel point que notre protagoniste puisse s'impatienter de mettre fin a cette partie d'échangisme musclée. « Putain connard tu m'a fais mal à ma poignet... » Voila ce qu'il en résultait quant on osait taper dans la froideur de l'acier. Par déduction il jactait encore, se plaignant, tandis qu'Omoi se plaisait a jouer les blessés et ce n'était qu'une question de temps avant que les chevilles de l'autochtone n'enflent jusqu'en exploser.
C'est alors qu'un fin bruit de craquèlement se fit entendre, a la suite de quoi le kumo-jin fit un jet habile dirigé vers son antagoniste. Un bâton de sucette scindé en deux que la foudre, généré par l'élite du village, arborait. S'en suivait, l'air pourfendu, un son strident et une vitesse sans équivoque. C'est ainsi que l'énergumène fut empaler a deux reprises, blessures corporelles, non-mortelles, qui allaient tout du moins s'en révéler être handicapante, pour le coup.
L'épéiste des nuages se releva avec un sourire édenté, tâchant d'essuyer le sang don ses lèvres étaient imbibées a en devenir pulpeuses d'un revers de la main. C'est en scrutant son adversaire avec arrogance, qu'il prit un air de déraison. « Mon attaque peut paraitre lâche et prompt a ton instar mais il en relève du talent d'un kumo-jin. Et puis, je ne tape pas dans la merde... Ça éclabousse. » C'est alors, son récital anticipé n'ayant toujours pas atteint son aboutissant, qu'il s'exaltait puis se délectait d'un nouveau bonbon a la cerise. Il reprit donc sur un tout autre ton, la taciturnité l'ayant d'ores et deja rattrapé. « Je n'échangerai pour rien la saveur cerise a la tienne... » Un énième clin d'œil d'arrogance, suscitant la perte de sang froid, une montée en adrénaline et des ardeurs incontrôlées chez la cible, c'est ainsi qu'il s'y prenait pour pousser Ryuzuki a l'erreur.
J'ai activé ma technique au préalable, j'use du chakra pour la maintenir en action libre, je scinde le bâton en deux et te le jète sous le coup de la surprise au corps avec le kaze raiton ce qui donne des dégâts a un bâton de sucette. J'ai 2 en précision, tu as 0 d'esquive, aucune technique d'esquive, j'te poutre donc et -20 pv.
Sujet: Re: FB/Une rivalité dérisoire a un affrontement~[PV:DOSAKU] Mar 21 Déc - 19:16
- Coup de pression -
« Stratégie incontrôlable » Je sentais rapidement en moi, une grosse montée d’adrénaline après avoir exécuter cet enchainement, tenant mon poignet droite, je fusillais du regard mon adversaire mal en point, j’étais maintenant prêt à en terminer avec lui, c’était bientôt terminé pour ce pauvre Omoi-san.
- Coup de pression – Je me tenais debout devant le jeune black, il crachait une quantité de sang assez impressionnante, faut croire que mes coups étaient dur comme fer même si mon poignet de droite essayait d’endurer la douleur, car, étant gaucher depuis mon tendre enfance, je n’utilisais jamais mon bras droite sauf pour de petite chose, j’utilisais plus ma main droite lors de l’adolescence pour « faire des choses personnels » que toutes adolescences font. Enfin passons, ce n’est pas le sujet, me tenant devant mon adversaire, débile comme j’étais. Je baissais petit à petit mes gardes et l’afro-kumoiens se mit alors à m’adresser la parole, il commença à me dire des choses sur sa stratégie et sa façon de pensé, il se relevait assez durement quand soudain, il brandit le bâton de sa sucette.
Le bâtonnet de sa sucette au goût cerise devint brillante, illuminée par le chakra électrique de Omoi, en effet, Omoi-san possédait la même affinité que la mienne, en fait, tout deux on était comme pareil, même style de combat, même stratégie. Le seul problème bien entendu c’est que j’étais beaucoup plus talentueux que lui. Son bâtonnet à la main, il me fit un coup rapide dont je ne pu esquiver à la normal, son coup était fort et précis, il me frappa en pleins dans l’intestin grêle, je me retrouvai rapidement agenouiller contre le sol tenant mon ventre de toute mes forces. Sur ce coup là, il m’avait bien eu, je n’avais rien vu, son attaque était tellement rapide et ingénieux. Pour finir, je m’écroulai par terre, le coup était tellement puissant que ma salive sortait complètement de ma bouche et mon front était à moitié ouvert, c’était dégoutant.
Ryuzuki - « Aheuh… Moi je te le dis sale afro-Kumoien de merde, tu m’auras pas comme ça, ce n’est pas avec t’a sucette de pédale que tu vas m’avoir… Je vais te montrer ce que c’est de vouloir ce mesurer à une personne aussi talentueux et aussi beau que moi ! » Dis-je avec arrogance et énervement.
Le me relevai en résistant à cette monstrueuse douleur, mon bras droit appuyait sur mon ventre, mon œil gauche était formé d’un gros cocard, et je m’essuyai le front avec mon bras gauche. Il me restait plus qu’une seule solution, il fallait que je sorte ma carte maitresse. Je titubais vers Omoi-san quand je le martyrisais du regard, mes yeux devenaient froids et remplit d’émotion de peur, de haine. J’allais utiliser l’une des choses les plus efficaces dans ce monde Shinobi, l’hypnose. Rapidement Omoi se trouva dans une mauvaise posture, il ne pouvait plus bouger aucun membre de son corps, il était comme paralysé. Tout ceci n’avait rien à voir avec le genjutsu, car j’utilisais la pression comme manière d’hypnose et il ne pouvait rien faire contre ceci. Il était foutu, mais le seul problème, c’est qu’on ne sait jamais quand le corps de l’adversaire devient valide. En tout cas, c’était terminé pour lui.
Ryuzuki – « Alors ?! Comment te sens-tu maintenant Omoi-san ? Tu n’a pas l’impression d’être bercer sur un grand et magnifique champs de nuage ?! Tu n’a pas l’impression d’être apaiser ? Que ton corps se soulage petit à petit ? Qu’il devient soudainement de plus en plus lourd ? Oui exactement ! Tu es sous hypnose Ahaha ! »M’exprimai-je avec narcissisme. Un petit sourire narquois et malsain se dessina sur mon visage.
action de Ryuzuki Chikuza a écrit:
Utilisation de la pression. Donc en conclusion je me prends ton attaque (même si j’aurais pu l’esquiver) et j’utilise donc la pression pour pouvoir t’immobiliser pendant 1 tours.
Dernière édition par Ryuzuki Chikuza le Jeu 23 Déc - 13:06, édité 12 fois
Sujet: Re: FB/Une rivalité dérisoire a un affrontement~[PV:DOSAKU] Mar 21 Déc - 20:34
« Gangsta Black kick ass of Ryuzuki »
L'autochtone se prosterna comme on le ferait devant une divinité, sous les effets de la charge d'Omoi... En cette instance, l'on aurait put considérer le roi du catastrophisme comme cette fameuse divinité adulé par les miséreux. Juste que nul dieu ne souhaiterait avoir cet énergumène que ce soit en apôtre ou en un esclave, trop peu plural pour le coup mais bien trop excentrique également. « Aheuh… Moi je te le dis sale afro-Kumoien de merde, tu m’auras pas comme ça, ce n’est pas avec t’a sucette de pédale que tu vas m’avoir… Je vais te montrer ce que c’est de vouloir ce mesurer à une personne aussi talentueux et aussi beau que moi ! » Il était vint de parler dans sa fatalité, dont il n'en résulterait que de l'énergie rejetée en vint et la pollution venant vélocement polluer notre monde. Qui plus est, ses paroles s'en extirpaient de tout sens. Elle n'avait que pour but de montrer son ressentit, son dégout, le misérable qu'il était. Ce fut d'autant plus drôle pour notre homme quant il s'aperçut que la chute de l'aborigène lui avait octroyé un fastueux coquard qui s'en révélait être d'un pourpre vif, aux formes saillantes.
C'est ainsi que le gamin abracadabrant effraya notre robuste gaillard de sa peinture amalgamé : améthyste, glauque, topaz, tout trois adhérant a une vision des plus froide, digne de l'indigène qu'il était. Le chikuza en était devenu rejetant au plus haut point, ayant atteint le summum de son accroissement, et c'est ainsi que notre noir préféré s'en était retrouvé paralysé de dégout et de peur... Lui qui prenait habituellement plaisir a donner naissance a ses émotions au sein même de la populace l'entourant, par ses dires se délectant de pessimisme brute. La situation s'en retrouvait être un tantinet ironique. Dans l'élan de ce même regard que le bretteur souhaitait d'ores et deja oublié, Ryuzuki avait sut se mouvoir pour en reprendre une posture a peu près humaine. « Alors ?! Comment te sens-tu maintenant Omoi-san ? Tu n’a pas l’impression d’être bercer sur un grand et magnifique champs de nuage ?! Tu n’a pas l’impression d’être apaiser ? Que ton corps se soulage petit à petit ? Qu’il devient soudainement de plus en plus lourd ? Oui exactement ! Tu es sous hypnose Ahaha ! » Narcissisme, sourire narquois, son arrogance devait certainement jouir d'un accroissement pantagruélique...
Nourrissant, du plus profond de son être, l'envie de foutre une bonne correction a son présumé rival, Omoi restait humble aux dires du bleu qui ne se sentait plus. C'est alors qu'il tâcha de se plonger dans le silence, coupant ses sens du monde extérieur pendant un instant... Instant qui s'en révéla être long, durant lequel notre protagoniste reprit l'entier contrôle de ses faits et gestes, dominant ce dégout aussi susnommé peur. Décidé, dans un départ trop peu plural pour ce qui devait être une récréation expéditive, a ne pas utiliser le kumo ryû ou le style des nuages, celui qui fut susnommé "l'afro-kumoien" avait changé de décision. Durant un cour laps de temps, tout sentiment serait mit de côté afin de lui offrir une tranche malléable et vorace. Il empoignait donc le manche de son katana aussi prénommé "kumo tetsu", changeant de posture, l'extirpant lentement sous un son strident. « Kumo Style... Front Slash! » Son sabre vint pourfendre l'air, s'en adjacent une découpe rapide et habile sur 160°, qui n'en laisserait pas indemne la lopette lui faisant front.
Scrutant son opposant, redorant ainsi le style des nuages et la voie de l'épéiste, il en reprenait un ton sarcastique accompagné d'un air taciturne. « Tu geins sans cesse... Nonobstant moult choses n'ayant de signification... Tu pourrais bien te vider de ta salive, dessécher et mourir. Qui sait...? » C'est alors qu'il abattit la tête de son sabre en diréction du sol, cette légère secousse l'ayant essuyé du sang qu'elle arborait. « Et puis... Entre nous. Tu parles d'un sale-afrokumonien ou je ne sais quoi. Mais a ton contraire de cul blanc a la chevelure glauque, je suis digne d'arborer ce bandeau mis en valeur par ma chevelure soyeuse en perpétuel contraste avec ma peau. » C'est cette rétorque riche en mépris du côté de Ryuzuki, qui permit a Omoi de savourer, un tant soit peu, sa sucette avec encore plus de plaisir qu'a l'ordinaire. Et notre héros savait constamment qu'une classe acquise par jactance et dires farfelues, ne valait pas le charisme naturel des noirs de kumo, prenant dans le même paneton Killer-bee, Ei ou même Darui.
Je me défais de ta pression par la psychologie car on a tout les deux 3 et que j'ai plus d'intelligence que ta. Soit 1 pour moi et 0 pour toi. Par la suite, je te lance l'attaque "Kumo Style - Front Slash" avec le kumo tetsu.
Sujet: Re: FB/Une rivalité dérisoire a un affrontement~[PV:DOSAKU] Ven 24 Déc - 17:02
- Les prostituées d'Iwa & de Kiri no Cuni -
Pendant plusieurs minutes, je restai cloîtré debout sur le sol, je fixais le regard de mon petit black préféré. Rapidement, il se fut bercer par mon magnifique regard de beau gosse, et oui, personne ne pouvait résister un mon charme et à ma beauté aussi irrésistible, ce n’était pas pour rien que j’avais cette réputation de « baby face », j’étais tellement fringuant que je faisais même tomber les petits gays du village. Personne, et je dis bien personne, ne pouvait me résister. J’étais le don juan le plus connu du village même si en vérité, je n’ai jamais touché et embrassé une fille, j’avais tout simplement une réputation de frimeurs et n’importe où j’allais, j’étais connu par tout le monde, surtout par les petits bars où trainait les alcooliques le soir qui désespèrent sur leurs vies conviviales. Personnellement, j’adorais les bars, c’était remplit de petit mec qui déprime sur le pourquoi ils ont épousés leurs femmes alors qu’elles ne savent même pas tailler une bonne pipe tel que les bonnes prostituées qu’on pouvait trouver à Kiri et à Iwa no kuni, et oui, vous ne rêvez pas, Kiri et Iwa étaient les deux villages les plus connus pour avoir les meilleurs et les plus bonne prostituées au monde ! J’aurais aimé y aller au moins une fois, mais par manque d’argent je ne pouvais pas vraiment penser à des projets de voyages On m’avait dit que ce faire tailler une petite pipe par des prostituées de Iwa coutait la maudite somme de 30 euros, surtout que, là durée de la pipe ne dire que à peine 10, 15 voir parfois 20 minutes mais c’est qu’il fallait vraiment se retenir.
Revenons à notre combat, je venais d’exécuter une forte pression contre mon petit black blondinet, il était complètement tétaniser et son corps tremblait de peur, il essayait de se débattre comme il le pouvait, mais il ne pouvait rien faire du tout. Il était effrayé, remplit de haine et il s’apprêtait à souffrir sous l’agonie, et oui, je le voyais dans ses yeux, ça se sentait. Je lui servais un sors digne d’un noir comme lui, c’est-à-dire l’esclavage dans les champs de coton… Mais que dis-je ? Non je ne suis pas raciste, non je n’insulte pas les noirs, mais les gamins comme Omoi méritait de petit coup de fouet tel qu’un aborigène. Je le répétais encore, je n’étais pas raciste, loin de là, mais je n’aimais pas du tout Omoi-san et j’adorais le taquiner un peu sur le passé sur ses ancêtres même si cela ne se faisait pas, en vérité, tous ce que je pouvais dire sur Omoi-san de méchant était complètement faux, mais bon il faut bien être un facho devant un aussi gros facho que lui, le facho combat le facho comme on dit. Je fusillais les magnifiques yeux de Omoi-san quand ma main gauche commença à faire les signes chakratiques, j’étais prêt à en terminer avec ce minable.
Quand soudain, ses deux bras se mirent à bouger et à exécuter des mouvements lents, qu’es qui se passait ? Etait-il arrivé à parer mon coup de pression ? C’était la première fois que je voyais une personne aussi déterminer pour casser une telle action, moi qui croyait que j’allais lui porter mon coup de grâce, ce n’était pas fini, en lui, il restait encore en lui une petite lueur d’espoir, on pouvait apercevoir une flamme brillé dans son regard qui était devenu noir et remplit de détermination, limite, il était déjà noir, mais ses yeux devenaient noir mais vraiment bien noir c’est-à-dire pas noir marron comme ça peau de noir mais noir comme le chocolat amère que les gros adorent manger pour on ne sait quelle raison. Puis soudainement, il reprit rapidement ses esprits en dégainant son sabre étrange, il se dirigea vers moi avec une vitesse affolante, il fit un mouvement bizarre que je ne pu comprendre, sans était fini pour moi. Enfin du moins… C’était ce que je croyais.
D’un instinct inée, les yeux grands ouverts, j’exécutai un saut rapide dans les airs. Un bond tel qu’un gros kangourou, et par miracle, j’esquivai la technique sans m’en rendre compte, mon adversaire était là, juste en face de moi venant à rater son attaque fétiche. D’un petit reflexe, je concentrai tous le chakra possible dans mon poing gauche et je lui assenai un violent crochais du gauche en pleins dans le crâne, son corps entier trembla et tomba à terre contre le sol, Omoi-san était tout déboussoler, il avait cru pouvoir m’avoir avec son jutsu, mais j’étais bien plus intelligent et rusée que lui. Depuis le début du combat, j’avais tout prévu, il ne pouvait plus rien contre moi sans était fini, il avait beau attaqué, j’allais en faire qu’une bouchée de lui. Confiant, je m’approchai de lui en lui adressant mes dits.
Ryuzuki – « Ahaha ! Tu es terminé Omoi-San… Tu ne peux plus rien contre moi petit Black ! Avoue que tu es vaincu une fois pour toute avant que je ne t’emmène à l’hopital voir pire … à la morgue. » M’exprimai-je avec audace et remplit d’un grand et magnifique petit culot.
action de Ryuzuki Chikuza a écrit:
J'utilise ma technique Chikuza Style - Kaihi, ce qui me permet non seulement d'esquiver ton attaque mais aussi te d'infliger obligatoirement 30 PV. Je t'aime Omoi tu le sais ça ? <3.
Donc; Omoi-san → 120 - 30 → 90 PV restant; dégât obligatoire et oui, encore =).
Sujet: Re: FB/Une rivalité dérisoire a un affrontement~[PV:DOSAKU] Lun 27 Déc - 12:30
« Gangsta Black kick ass of Ryuzuki »
Adjacent a l'assaut de notre noir et a ses paroles quelque peu provocantes a l'instar du bleu, Omoi ne put jouir d'une sensation de défoulement innée... Son opposant exécuta donc une technique a double facettes, ayant pour but d'esquiver le coup adversaire et d'en relancer un contre dans l'immédiat, vindicatif pour le coup. Le poing de l'autochtone s'écrasa sur la somptueuse frimousse dont avait été gratifié lors de la naissance notre protagoniste, amochant un tant soi peu les traits lui donnant tant de valeur aux yeux du monde... Il n'en restait pas moins que la beauté du bleu n'affleurait toujours pas, même gueule cassé, celle du noir.
Ce même noir, furieux, quittant son pessimisme, sa taciturnité et sa nonchalance pour laisser libre cours a tout ses moyens dut se taper les dires du boulet qui le surplombait, le prenant de haut. « Ahaha ! Tu es terminé Omoi-San… Tu ne peux plus rien contre moi petit Black ! Avoue que tu es vaincu une fois pour toute avant que je ne t’emmène à l’hopital voir pire … à la morgue. » Notre héros présuma que son antagoniste essayait de lui pomper le bambou en vint... Peut-être en était-il tombé amoureux et essayait-il de lui jouer de ses charmes, inexistant en l'instant, en usant d'un pessimisme non-maitrisé. La fatigue et la puanteur de l'hominidé ainsi que ses dires tout autant douteux que son odeur putride, firent craquer notre jeune homme qui décida promptement de mettre un terme a cette guérilla. « L'heure n'est plus a la connerie d'un déchet... Face a ton racisme et a tes dires puants, je n'ai d'autres choix que de mettre un terme a cet affrontement. Tu auras tout le temps de te lamenter en suite. »
C'est ainsi que le bretteur des nuages se releva, prenant un air apathique, laissant sa sucette se rallier au sol rocailleux gisant sous ses pattes. Il empoigna de nouveau le manche de son sabre, l'extirpant lentement de son fourreau laqué sous un son strident alors que le soleil perça les nuages pour venir illuminer cet instant qui allait devenir glorifiant pour notre entité...
Notre protagoniste prit dans un temps premier un bon recul aidé d'un bond ample se délectant de souplesse... Puis il fit mine d'attaquer une cible derrière le Chikuza, ne remarquant d'aucune manière la ruse. Omoi surplomba l'autochtone, outrepassant son arrière-train, lui assénant un coup rapide accompagné d'une tranche souple et malléable sur un arc horizontal de 180°. « Back Slash » La fillette lui ayant fait front depuis un bon moment, allait prochainement s'agenouiller a son cul, ayant fait les frais d'une tranche souple et rapide, lui ayant pourfendu toute la face dorsale. Un amas de sang fit mine de se répandre sur le sol avec une vivacité impressionnante. Peut-être s'en relèverait-il mais le reste du combat ne pourrait être mener avec brio et l'autochtone ne pourrait espérer nulle victoire. Il serait deja un exploit pour un indigène de se remettre d'un pareil coup...
J'achève dosaku point, on en a convenu ainsi pour terminer le rôle play puisqu'il ne daigne répondre et que l'examen approche a géant pas!
Dernière édition par Omoï le Lun 27 Déc - 17:16, édité 1 fois
Sujet: Re: FB/Une rivalité dérisoire a un affrontement~[PV:DOSAKU] Mar 4 Jan - 15:34
- Plan B -
Je restais tétanisé contre le sol, regardant mon adversaire qui titubait sur ses pas. Je le regardais avec froideur, mon corps ne pouvait plus se débattre, s'il me faisait une attaque quelconque, je risquais sûrement le K.O. voir même la mort, mon corps n'était plus en état pour combattre. Il suffisait qu'il me donne un seul coup pour que je ne puisse faire plus aucun mouvement. Sa prochaine attaque risquait d'être fatidique sur mon sort, il fallait que je choisisse quelque chose. Ma stratégie avait complètement tombé à l'eau, j'aurais dû réfléchir à deux fois avant de combattre bêtement sans élaborer un plan B. Je serrai mes lèvres et je commençai à réfléchir. Mes poings serrés, je me ré-mémorais les choses que j'avais apprise quand j'étais à l'école de corps à corps. Les bases d'un ninja de type Taijutsu, à ce moment même je me souvenais ce que mon ancien maître m'avait dit. "En cas d'extrême urgence, utilisé toute vos force dans votre vitesse et ... échappez-vous". C'était plus aucun doute, il me restait qu'une seule option. Je me mis en position de kata, fixant mon adversaire qui fit un bond rapide en arrière et il exécuta un coup vif avec son épée farfelu en ma direction. Je me disais dans mon petit crâne "vas-y fait le ... "Fait le ! Fui avec toute tes forces !"
Avec un reflexe inée, je réussi à esquiver son attaque je ne sais comment, après ce détournement de situation, je pris alors fuite. J'enlevai tout ce qui pouvait me porter lourd dont mes équipements de combats, et je couru a toute vitesse en direction du village. Mon acte était, certes, lâche. Le laisser gagner ainsi par forfait était une grosse honte, je savais que j'aurais pu le battre, mais dans ces circonstances s'étaient impossible. J'avançais rapidement devant moi, sans même jeter un seul coup d'oeil derrière moi, par peur de le voir en train de me poursuivre, vous imaginez ? Ça me ferait direct une crise cardiaque de voir un mec me poursuivre comme un chien, surtout si c'est un black de son genre. Une fois arrivé à ma demeure, je promis de ravoir ma revanche, et que ce jour-là, je le battrais sans aucune difficulté.