[F.B] Guerre et paix

Les enfants tournoient autour de l'être comme des polissons assoiffé de rire et de joie il se contentent de virevolté autour de lui comme des abeilles affamé par le pistil d'une plante rare. L'être se contentait d'être assis la au centre d'un village qui l'avait accueillis à bras ouvert. Comment cela aurait put être différent ? Sa simple présence parmi eux leur retirait le poids des batailles qu'ils avaient pu subir, la colère de voir l'un des leurs tomber. Les enfants des rues tournaient avec leurs tête de turc, les riches et les pauvres main dans la main se contentait de regarder le jeu des enfants un sourire au lèvres. L'être n'avait pourtant rien de bienveillant, sa tunique noir virevoltait au-dessus des plus jeunes qui se contentaient de se reposer prêt de lui. Ces bras malingres s'appuyait contre ces cuisses les mains joints en un poing osseux. La capuche recouvrait son crane et sa figure dissimulant son visage à tout ceux qui aurait aimé connaitre l'être qui venait d'arriver. Dans son sillon, la vie avait changé alors qu'il avait passé l'entrée du village et remonté cette route qui se voulait être l'unique du village, les personnes l'avait vue arrivé de loin, sa tenue le classant dans les êtres à ne pas approché sous peine de souffrir d'une mort lente. Ils l'avaient donc regardé à travers leur fenêtre, essayant d'assimiler leur peur au courage du faible, mais bien vite les portes s'ouvrirent, ils semblaient qu'il n'y avait rien à craindre de cet être en noir. Il avait trouvé repos au centre du village, il c'était assis et c'était contenté de dirigé son visage vers la plus haute battisse du lieu. Bien vite, le vent c'était levé, les enfants étaient venu joué prêt de lui et une fois que la tranquille mascarade de son pouvoir fut installé, ce village était un havre de paix loin de guerre du passé et des conflits des rancœurs que ces villageois avaient put entretenir jusqu'à la.
C'était le seul endroit ou le vieux coeur du ressuscité pouvait se sentir bien, quand le calme et la paix revenait autour de lui, les âmes en souffrance se calmaient, cela alimentait bien entendu son pouvoir empathique, le bien entraînant le bien, l'infection sentimental ne faisait que se renforcé pour finir par un état de certitude proche d'une abnégation farfelue. il y eut un bruit sec, tous tournèrent la tête dans la direction du bruit. Kurasu leva la tête, le vêtement se tordit en une supplique rapide suivant les mouvements disgracieux du corps vieillissant. Une fois la dernière personnes dépassé, il se fixa, les ténèbres de son capuchon dirigé vers un groupe d'homme remontant la rue visiblement très amoché par l'alcool qu'ils ont du faire coulé par hectolitre. Les enfants vinrent se réfugier prêt de leurs parents, bien qu'il ressentait que leur joie était toujours intacte, en pressant un peu plus les choses ils auraient pu faire en sorte que tous retourne jouer et profiter de la vie, mais leurs vies leurs avaient apprit à craindre les moindres choses, leurs faiblesses avaient été révélé au grand jours et devant de telle actes, ils c'étaient bêtement retrouvé à plier toujours plus bas devant les êtres qui se montraient plus fort qu'eux.

- Restez ici dit il d'une voix lascive, d'un mouvement lent du haut vers le bas son vêtement tomba vers le sol comme de vulgaire oripeaux. Les femmes firent un mouvement de la tête et les enfants se contentèrent de sourire de manière béate. Le groupe regardèrent cet être qui semblait se déplacer d'une manière surprenante vers eux. L'un deux s'avança titubant légèrement, il prit à pleine main le tissus noirâtre.
- Ho désolé désolé monsieur je ne voudrais pas vous rendre encore plus misérable que vous ne l'êtes déjà fit remarqué l'homme, Kurasu baissa le visage vers l'homme qui se tenait en face de lui, une brume blanchâtre émergea de la noirceur de son habit. Certains homme n'arrive pas à ce contrôler, il fit glisser sa main sous celle de l'homme, un quart de tour vers la droite pour forcé l'énergumène à lâcher prise, il s'approcha d'un mouvement vif pour lui induire une poussé rapide qui le fit reculer de quelques pas. Les autres se mirent à approcher, soutenant leur compagnon comme si il venait de subir une attaque dévastatrice. Les hommes se mirent en ligne, beuglant quelques insanité, le mouvement offensif avait fait perdre son avancé empathique, mais il se contentait maintenant d'avancer, à chaque pas, les hommes semblaient prendre conscience de la futilité de leurs actes et leurs dires, jusqu'à l'apparition d'un nouveau larrons, ce dernier n'avait pas prit le temps de réfléchir, visiblement ce n'était pas le fort des trois compères. Il essaya d’asséner un coup de couteau rapide, mais l'alcool et la lenteur n'arrangeait en rien sa prise de position. Kurasu fit un quart de tour pour éviter la lame, sa main venant prendre l'homme par la main tenant l'arme. De tel mouvements offensif fit disparaître le contagion sentimental, les autres semblèrent reprendre leurs raisonnements limité. Ainsi bloqué par la poigne de fers de Kurasu, l'être leva la main pour donner deux coups puissant au niveau de la tête de l'homme, un mouvement rapide pour le faire venir à lui. il se tordit, ces mouvements rapide donnant l’impression de n'avait aucun corps sous le linceul noir qui lui servait de vêtement. Kurasu se saisit de la cheville de l'homme pour l'envoyer valdinguer contre les deux hommes encore dans les brumes de leurs questionnements.

- Apprenez juste à faire passer vos pensées avant vos actes leur fit remarquer Kurasu. Bien entendu, ce n'était en rien suffisant ces hommes avaient la fierté mal placé, le corps souffreteux de Kurasu leur donnaient la désagréable impression d'avoir été battu par un vieillard. Mais avant qu'ils ne purent se relever, le vêtement c'était emparé de leurs membres les forçant à se baissé devant lui. Kurasu s'assit devant eux, ainsi ligoté il ne craignait pas grand chose de leur part.
- Je vais vous apportez la paix dit il, ces mains se joignant en un signe étrange, il resta ainsi méditant au milieu d'une rue déserte. L’agrégea d'âme ne libéra ces prisonniers qu'une fois ceux ci endormis dans la rue. Ils n'y restèrent pas bien longtemps, le lendemain il aidait dans le village, Kurasu regardait la vie des toits du village. Il ne pourrait pas rester bien longtemps, le temps que le cycle de l'empathie soit maximal, ainsi il pourrait s'en aller et laisser le temps continuer son oeuvre.

Ce monde est devenu fou, c'est ce que répète en boucle les esprits tourmenté qui forme la trame de l'âme de Kurasu. Ces pas l'avaient mené bien loin du premier village qu'il avait trouvé. Ces pas frappaient le sol dans un rythme soutenue, il ne sentait pas son corps ni la faim et la soif que se corps clamait et il semblait que se genre de foutaise purement humaine ne le touchait pas vraiment, ou alors les âmes finiront par lui laissé un moment de répit pour apprécier la teneur d'un bon repas. Son esprit embrouillé lui avait fait perdre toutes saveurs, toutes odeurs. Il était enfermé dans ce corps comme une prison et les seuls moments ou il pouvait s'en libérer c'était dans un espace calme et remplie d'une paix solide. Autant dire qu'il ne s'en libérait pas souvent.

Cette forme ne siée pas vraiment à la mission qu'il pouvait réaliser, son pouvoir arborait une pénitence et un savoir que beaucoup recherchait, la paix était utopique et il portait en lui suffisamment de pouvoir pour la faire renaître. Mais sa transformation n'avait pas été des plus simples, ni des plus gracieuse, ce corps se mouvait dans ce monde sous la forme d'un être moribond à la tunique noir et au visage dissimuler derrière d'épaisses étoffes. Il serrait étonnant que certain ne le traite pas de démon, pour le moment les seuls à l'avoir vue furent prit dans son désire de paix ainsi ils ne pouvaient craindre l'apparence qu'il avait revêtis, mais il avance d'un pas certain depuis plusieurs jours maintenant, il croise des personnes qui ne seront peut être pas affecté juste pas sa proximité. Il avait sentie la peur de nombreuses fois, mais c'est tout de même le sentiment qui domine le plus les personnes devant subir les guerres ninjas il ne s'en était pas formalisé outre mesure, mais son dernier arrêt ou il avait pu réellement se reposer l'avait fait réfléchir, pendant un instant il lui avait semblé qu'il reprenait un peu de cette humanité arrachée. Il avait prit pleinement conscience de son corps, les miroirs qu'il avaient croisé ne faisait que lui révéler un corps qu'il ne reconnaissait pas et même lui ne parvenait pas à ce dire qu'il portait la confiance et le désire de paix.

Ces rêveries se finirent sur un objet lancé en sa direction, son vêtement se tordis pour accueillir la chose sans blesser l'homme qu'elle abritait. L'être tourna dans la direction du projectile, un groupe de personne semblait l'attendre l'incertitude avait mué en peur et cette dernière avait semblait il mué en une forme de haine aveugle. Kurasu se contenta de faire face à cette milice, sans même qu'ils aient à parler, l'être savait les passions qu'il avait pu déchaîner dans les discutions de comptoirs.

- N'approche pas de notre village Démon ! lança un être qui semblait bien trop jeune pour porter la fourche qui brandissait avec véhémence en direction de Kurasu. L'être habillé de ténèbres se contenta d'ouvrir les bras, sa tunique s'ouvris comme les ailes d'un papillon noirâtre.
- Je viens pour vous aider dit la voix guttural de Kurasu, l'image qu'il faisait naître dans les coeur par son image était bien loin des paroles qu'il disait. Les hommes prirent le partie de la peur et la première ligne constitué d'homme de ferme et de journalier apeuré enrôlé pour de l'argent se mirent à courir vers la chose, le premier envoya un coup de fourche bien trop court pour le toucher, le second armé d'une faux voulut lui asséner un coups diriger du haut vers le bas. Tous reculèrent d'un bas alors que Kurasu avait levé un doigt maigre vers le ciel, un mouvement de balancier de gauche à droite. Un homme c'était interposé, prenant le coup au niveau de sa clavicule droite, la lame en bonne état avait continué son chemin sur plusieurs centimètre faisant céder l'os, coupant et déchiquetant les chaires et les muscles. Tous reculèrent d'un pas ne comprenant pas pourquoi un homme qui avait prit sur lui de chasser le démon venait à le protéger. Kurasu fit glisser sa main sur le visage de l'inconnu, recouvrant ces yeux, il baissa la tête.
- Kimochi Kansensei dit il, l'homme se redressa, la douleur l'avait quitté et il prit sur lui de retirer la lame que l'homme avait lâché sous la surprise du geste de son camarade.
- Ne gâchez pas vos vie inutilement n'est ce pas mon jeune ami ? demanda Kurasu à l'homme blessé, ce dernier se redressa la main sur l'épaule.
- Oui ... mon ami dit l'homme, un sourire mêler de douleur alors qu'il pressait sa blessure pour limiter l’hémorragie.

Le dernier homme en vie, le poids de son corps soutenue par son arme planté dans le sol. Le bois de la fourche faisait un demi cercle dangereux. L'homme regardait ces compagnons à terre, la chose se trouvait quelques pas plus loin assis dans son coin silencieux comme à son habitude. L'homme qui l'avait appelé son ami gisait prêt de lui, sa blessure avait eu raison de lui. Kurasu leva le visage ou plutôt le trou noir béant qui lui servait de visage vers l'homme qui reposait de plus en plus de poids sur une arme qui allait lâché sous peu. Kurasu ce leva, un regard pour les hommes à terre visiblement aucun n'était mort mais certain se trouvait entre la vie et la mort. Il secoua la tête visiblement défait par ce qu'il voyait et surtout par leur entêtement.
- Cela vous à coûté bien plus que vous ne le pensiez fit il remarquer, l'homme essaya de lever le regard en direction de Kurasu, il cracha une gerbe de sang et tenta une nouvelle fois de se relever, une fois de trop pour la fourche qui céda sous le poids de l'homme. Une fois à terre, Kurasu se mit à son niveau ces doigts malingres s'emparant de sa tignasse pour le soulever. Malgré son corps souffreteux, Kurasu avait une poigne et une force surprenante.
- Vous ne pouvez vous en prendre qu'à vous fit il savoir lâchant sa proie qui tomba lourdement sur le sol, Je vous laisse vous occuper de vos blessés ceux qui refuse la paix ne mérite pas mon aide conclut il, continuant sa route. L'homme lui cria bien quelques insultes qui s'envolèrent de son esprit.

L'homme resta un moment à terre, il y eut bien quelques respirations saccadé de la part de certains de ces compagnons. Une ombre grandis sur lui, une main le retourna pour observer le visage du mourant.
- Je peux vous aider, mais il faudra faire quelques choses pour moi en retour lui demanda l'homme. Il venait de faire le plus étrange de tout les combats. Chacun de ces camarades ce donnant des coups entre eux, certain était même allé jusqu'à ce mutilé alors qu'il parvenait à toucher la chose. Jusqu'à l'homme étendu plus loin, lui avait carrément changé de camps préféré ce monstre habillé de noir. Pour montrer son accord il remua la tête la parole lui avait été volé en même temps que son sang venant imprégner le sol.
- Je veux que tout mes camarades aillent bien aussi demanda l'homme à terre.
- Parfait j'avais besoin de main dit il puis il tomba dans les pommes.

Kurasu continuait son petit périple, le temps c'était rafraîchie de lourd nuage s'amoncelait au dessus de sa tête. La pluie menaçait, bientôt de lourd orage allait zébré le ciel. Cela faisait resurgir de nombreux souvenir mais ils n'appartenaient pas tous au corps qui accueillait les âmes. Les batailles, la guerre était bien souvent accompagné de la pluie, un lourd malheur pesait sur sa tête si il y avait quelques de pire que se retrouver mort dans l’anonymat le plus complet et se avoir à cause d'un malheureux gamin retrouvé infesté de centaine d'âme n'était pas un malheur suffisant. Une petite pluie ne lui changera pas son destin et même si un ennemie devait tomber du ciel tant pi après tout il était ninja et les merdes était une facette de cette vie qu'on devait bien finir par apprécier.

Comme lui avait suggérer l'attaque un peu plutôt un village se trouvait au bout de la route un petit chemin serpentait dans les bois pour rejoindre l'ouverture qui délimitait l'entrée du village. Kurasu soupira, un voila blanc opaque émergea des ténèbres de sa capuche. Il emprunta le petit chemin, peu de personne semblait le prendre, il n'y avait aucune trace ou tant bien même de marques d’animaux.
- Sa sent le piège, petit petit petit petit dit le moribond dans sa capuche, la pente tranquille avait ralentie sa marche, mais en sentant toutes ces sentiments négatif il se surpris à sourire, il ne savait pas si le corps qui l'abritait avait suivit ce petit moment de joie rapide. Son premier pas dans le village n'annonçait rien de bien, l'endroit était délabré, une ou deux maisons étaient encore debout, mais cela semblait étonnant qu'un jour des gens y est habité. Pourtant il pouvait déterminer le nombre de personne dissimuler dans les décombre.

- Que me voulez vous ? La première attaques étaient destiné à m'attirer ici ? demanda l'être seul parmi les décombres.

Ils avaient bien rient pendant un moment, voyant l'être comme l'incarnation du mal, il déblatèrent quelques histoires qui ne le regardait en rien et l'énervait déjà profondément. Ressentir un sentiment était pour Kurasu une monté aux enfer ou bien une descente au paradis tout dépendait de l'endroit ou l'on se place. Chaque sentiment qu'il ressent pouvait être ressentie par toutes les âmes en même temps et comme une bonne partie, voir la totalité, de ces dernières étaient des âmes de shinobi, les ressentiments comme la colère ou la haine semblait résonner avec beaucoup plus d'intensité, mais cette corde vibrante entraînait bien entendu son lot de tristesse éprouvante. Une forme si pure qu'elle faisait remonté des souvenirs enfouie qui ne lui appartenait en rien. Ces hommes avaient commencé à mettre en marche la machine et pour le moment uniquement la colère régnait. Il apprit que chacun d'entre eux était d'ancien prêtres ou moines défroqués qui luttait contre les forces du mal ou leurs force du mal Kurasu ne savait pas bien comment interpréter leur propos.
- Et c'est tout ? Une bande d'imbécile à moitié mort sur le chemin pour m'attiré dans un village en perdition ? demanda l'être écartant légèrement les bras comme pour bien appuyé son questionnement. Il n'eut que les rires sarcastiques pour toutes réponses. Il dut tirer les conclusions qui s'imposait à lui, visiblement il n'y avait rien qu'il puisse faire pour faire changer ces hommes d’avis ou en tout cas, il n'en avait aucunement l'envie sur le moment ce qui était largement suffisant pour mettre à mal ces quelques capacités reposant sur ces sentiments. Il se contenta donc d'avancer pour se retrouver au centre des hommes qui l'encadrait sur chacun des toits encore en place. Il leva les bras comme un prêtre désirant commencé son prêche, son vêtement se mit à convulser suivant ces mouvement, les bandeaux voltaient comme de véritable tête de diable. Les hommes n'esquissèrent aucun mouvements, l'habitude de voir des choses aberrantes endormaient les sens, on ne faisait que relativiser et faire appuyer chaque mouvement d'un homme sur sa destiné et si il faisait quelques choses de surprenant, on mettait cela sur le compte du Chakra, mais pour sa part il n'était pas sur d'en utiliser il n'était même pas sur que l'étoffe qui le recouvrait était un simple tissus. Il y avait dans ce monde des choses qui n'avaient aucune explications, comme un homme pouvait être immortelle, ou un autre ayant des capacités défiant toutes concurrences. Il y avait bien plus comme explication que le chakra et il en était persuadé. Les hommes levèrent leurs armes dans sa direction, la colère qu'il ressentait se muait peu à peu en tristesse et il ne fit rien pour calmer sa capacité et laissa alors une forte empathie remplir l'endroit. Les hommes se retrouvèrent entrain de trembler, bien rapidement l'un essuya de rage les larmes qui coulaient sur ces joues. Kurasu leva un doigt vers l'homme le plus affecté par ce qui se passait.

- Ne transformé pas la tristesse en rage cela ne vous amènera rien de bon, ou alors voulez vous tellement vous battre que vous préférez mettre en sourdine ce que votre coeur vous dictes ? dit il d'une voix lascive, pour toutes réponses l'homme se rua sur lui, sa lance tournant autour de lui comme les prouesses d'une majorette. Il frappa le sol d'un mouvement nerveux juste un pas devant kurasu qui avait suivit les sentiments de l'homme à la perfection. Un nuage de poussière s'éleva, les autres entamèrent des séries de signes visiblement ils n'allaient pas s'arrêter sur une simple tristesse, ces hommes avaient connu bien pire. Il y eut un nuage de cendre qui l'entoura, il baissa le visage vers le sol.
- Ils ne veulent pas de la paix je ferais donc naître la discorde qui les forcera à se tenir enfin tranquille, il avait parlé suffisamment fort pour qu'on puisse l'entendre, mais le nuage de cendre ne semblait abriter que lui enfin pour le moment . Une lame traversa la noirceur, trop de sentiment de haine pour une telle attaque, Kurasu se déplaça suffisamment pour laisser passer le coup, sa main vint se saisir du visage de son attaquant puis dans un mouvement de balancier il l'envoya valser contre le sol. Dans cette position il offrait une cible plus que parfaite, chose que l'un de ces adversaires profita en lui asséna un puissant coup qui l'envoya valdinguer plus loin. Le vêtement s'enroula autour de lui pour amortir sa chute et il l'aida même à se relever dans le même mouvement. Quand il fut enfin rétablie l'homme lui faisait face, à cause du décore il avait du mal à déterminer la personne qui se trouvait en face de lui, mais il était prêt à en découdre pour toute sollicitude, Kurasu lui indiqua quelques choses derrière lui, l'homme prit la menace au sérieux et fit rapidement volte face faisant alors un contre magnifique avec son arme.
- Que le spectacle commence murmura Kurasu, ce combat ne faisait que commencer, mais heureusement pour lui il avait poser les premiers pièges de sa capacité et cela n'allait pas aller en s'améliorant pour les bonzes qui osaient l'attaquer. L'homme posa les questions d'usage à savoir "Mais que fait tu ?" et autre fadaise stupide que pause toutes personne confronté à ce soucie, un allié devenue ennemie sans raison apparente. Un frère ou un allié qui vous attaque au moment le plus cruel, il y a de quoi se poser des questions ou bien devenir fou. Les deux se mirent à se battre, l'un essayant de raisonner celui qui d'après lui avait perdu la raison. Pendant que les deux se battaient, il en avait encore deux autres à trouver dans cette purée de pois. Une légère décharge de chakra dans les jambes et il s'extirpa de la zone, les deux qui assurait l'arrière de la technique ne furent pas vraiment surpris de le voir émerger, d'une manière ou d'une autre cela devait être prévu dans un plan D ou E.

Obliger de bouger, son corps craquait à chacune de ces esquives, la lame le frôla bien quelques fois, mais une fois qu'ils eurent fini leurs enchaînements, ils se firent face, le nuage de poussière ou de cendre recouvrait encore une bonne partie des rues du village en ruine, on pouvait entendre des lames s'entrechoquant. Les deux ennemies se demandèrent ce qui se passait la dedans, visiblement aucun ne pouvait arrêter le jutsu pour le moment.
- Si on arrêtait de se battre maintenant ? demanda Kurasu ouvrant légèrement les bras comme un démon un peu trop paternelle pour ces brebis les plus égaré. Les deux hommes se regardèrent, mais il n'y eut jamais une seule once d'hésitation dans leur regard, les bras de l'être tombèrent le long de son corps. Il n'y avait donc rien à faire, il pourrait utiliser ces capacités pour les calmer, mais la chaîne empathique serait vite brisé, une fois qu'il ne se trouverait plus dans les parages ils finiraient par ce donner une autre bonne raison pour se mettre à le poursuivre. Il fallait quelques choses de plus brutale bien certainement. Sa main disparut dans les morceaux de tissus noir, il chercha un kunai qu'il avait emprunté à l'allié qui était passé dans son camps avant de prendre son partie. Le premier attaqua dans une vrille rapide, Kurasu leva le bras et une gerbe d'étincelle jailli de cette rencontre. Le katana de son adversaire contre le kunai finement ciselé de son ancien ennemie. Il eut un rictus, son regard essaya d'aller dans son dos ou était apparut le second ennemie qui lui donna un coup à la vertical, le tissue fut trancher net, une gerbe de sang d'un rouge profond s'extirpa de la blessure.

- N'as tu pas honte ? Demanda Kurasu, son adversaire sembla surprit par cette demande, ils se trouvaient sur un champs de bataille et quiconque s'endormait ou devenait trop lent risquait de ce prendre un coup fatale. Mais il avait honte, l'adversaire recula de quelques pas, il ne comprenait en aucun cas ce qui se passait, sa main tremblait faisant tinter la lame de son arme contre les tuiles noircies par le temps. Il se sentait honteux, désespéré, il n'entendait même plus les questions incessante de son ami, tout semblait se transformé en un torrent de reproche que seul la souffrance pourrait endiguer. Il leva son arme et fit pivoter la lame sur son torse avant d'appuyer et de tirer un coup sec, un flot de sang se déversa sur le sol, l'homme geint mais tint sur ces jambes. La honte avait disparut, seul subsistait la douleur. Moment de grâce, Kurasu appuya un peu plus sur son arme pour faire reculer l'homme de quelques pas, il ne comprenait pas ce qui se passait mais quand il vit qu'il était retourner sur terre, il se rua à nouveau sur l'être habillé de noir, il en émergea de nouvelles étincelles, l'homme blessé se rua une nouvelle fois, mais cette fois ci Kurasu avait prévu autre chose. Il tourna sur lui même, forçant son adversaire à suivre se mouvement pour se retrouver devant l'attaque de l'homme qui fit une petite esquiver pour tout de même aller toucher Kurasu. Mais cette fois ci, c'est son allié qui se mit à devant l'attaque l'accueillant en pleine poitrine. Il y eut une nouvelle fois de la honte pour l'adversaire blessé et pour finir une nouvelle blessure qu'il s'infligea à lui même et qui le laissa sur le carreau. Une forme émergea du nuage de poussière pour venir le frapper d'une arme qui avait été liée à sa main par un bout de tissus. Kurasu laissa l'arme traverser le tissus noir au plus prêt de son corps et il vint saisir d'une poigne de fers la main et la garde.

- Que souhaitait tu faire après avoir défait ton camarade, me tuer ? Ramasser une nouvelle fois les blessés laisser les morts à la terre ? dit il, il dirigea la lame vers le sol, l'homme n'avait plus suffisamment de force pour se battre visiblement ce dernier coup était remplie de désespoir. Kurasu soupira et le gratifia d'un majestueux coup de pied qui fit tomber lourdement l'homme sur le sol. Kurasu se contenta de marcher sur le toit jusqu’à la fin de se dernier. Il se laissa choir sur le sol sa tenu l'aidant dans chacun de ces mouvements. En partant il trouva cet ennemie devenu allié assis, dormant paisiblement contre un mur. En fixant son attention sur lui on aurait pu écrire quelques poème à la fainéantise, si son cou n'avait pas prit cette étrange forme compressé. Kurasu remua la tête de gauche à droite son habit appuyant cette négation silencieuse.
- Au moins vous êtes en paix maintenant, il laissa un moment de flottement, le visage se tournant vers le ciel ...

... Ou tout du moins vous êtes bien plus calme ...

Kurasu c'était arrêté au bord d'un chemin qui serpentait à travers les bois, il se souvenait qu'il n'y avait pas si longtemps que il se serait pressé sur chacune des branches que comptait cette forêt, essayant de gagner du temps. Mais ce temps gagné à quoi lui avait il servit en fin de compte ? Il trouva un arbre suffisamment étrange pour se déposer dans ces branches, son habit d'un noir emprunt de tristesse remplie les vide offrant à Kurasu un trône de verdure et de bois. Depuis qu'il c'était relevé, quelques choses semblait le suivre, quelques chose clochait dans son petit monde. Au début il avait mit cela sur le compte des âmes siégeant en lui, parfois bruyante et parfois silencieuse cela l'avait complètement détraquer jusqu'à croire qu'il ne serait jamais lui même. L'habite de la cohabitation avait fini par lui attribuer une seconde vue et une chose bien plus terrible que se corps le poursuivait. Une bonne heure dans le calme de la foret lui servit à mettre à plat ces sentiments, un bon millier de sentiment différent pour enfin de compte être rattrapé par un destin tragique. Une branche craqua non loin de lui, il releva la tête essayant de déterminer d'ou venait se bruit mais ces sens ne servait à rien il lui suffit de se raccrocher au sentiment qui n'était pas les siens puis dans un geste théâtrale, il pointa son doigt squelettique dans la direction de l'homme caché.
- Que me veut tu ? lança l'être habillé de noir, la nouvelle rencontre se dévoila un homme bien habillé, un chapeau haut de forme sur le haut de son crane, une canne d'un bois à l'air solide ou trônait un pommeau en forme de crane. D'un mouvement rapide il vint retirer son couvre-chef, se scinda en deux un rictus sur ces lèves, les yeux ne quittant pas la forme noir au corps blanchâtre.

- Je me présente Yokai mais ne vous fier pas à mon nom j'aime jouer un rôle et sachez que je ne me déplace que rarement uniquement quand l'ordre vient de très haut lui dit le jeune interlocuteur. Kurasu c'était légèrement penché en avant, ces mains sur ces genoux essayant de déterminer les sentiments de l'être en face de lui, mais rien ne ressortait de sa personne qu'un trou béant aspirant toutes choses qui se trouvait prêt de lui.
- Cela ne répond pas à ma question Yokai-san, pourquoi vient tu me trouver ? demanda l'être dépliant son corps qui émit de funeste bruit. Son corps fut retenu par des câbles qu'il parvenait maintenant à distinguer, des ombres sortirent des feuillages pour tourner autour de l'arbre qui lui servait de siège. Le corps ainsi ligoté, Yokai s'approcha à petit pas alors que les hommes qui avaient fomenté ce piège émergea de l'ombre. Tout les hommes qu'il avaient combattu avant de tomber dans le traquenard des prêtres. Pourquoi cela ne l'étonnait pas plus que cela des les voir en parfait état, les mouvements bien plus fluide que lors de leur dernière rencontre. Kurasu dégagea l'un de ces bras pour aller se frotter le visage, montrant l'oeil grand ouvert sur le dos de sa main, l'autre main les doigts ouvert vers le ciel.
- Encore des chasseurs de démon dit il, d'un mouvement lent il referma la main en un poing vengeur pour lever la main un doigt vers le ciel. L'oeil ouvert sur le dos de sa main se retrouva à scruter les hommes derrière lui.
- On peu le dire ainsi fit remarqué Yokai faisant tourner le haut de sa canne pour libérer une lame d'un noir profond. Il se rua sur l'être macabre donnant un puissant coup sur l'arbre, libérant ainsi les mouvements de la chose qui se leva d'un bond rapide pour asséner un coup puissant au niveau de l'estomac de Yokai.
- Genjutsu fit il juste remarquer avant de lui donner un second coup qui l'envoya balader plus loin, un des hommes derrière, prit dans le même genjutsu se mit à crier pour aller attaquer l'un de ces alliés. Les pans du vêtement noirâtre de Kurasu vint faire prisonnier deux autres membres qui en détournant deux attaques vinrent s'entre tuer.

Kurasu s'approcha des deux derniers hommes qui se battait, l'un ce demandant ce qui lui arrivait. Ces mouvements furent à nouveau entraver, des liens maintenue par Yokai debout aidé par sa canne. Il baragouina quelques choses, les corps de ces camarades se mirent à flamber le feux forma d'étrange signe sous lui.
- Je ne croyais pas utiliser cela contre toi, mais je crois que tu serra plus calme une fois la bas fit remarquer Yokai, son pouce passant sur sa lèvre venant chasser le peu de sang que les deux coups avaient pu faire sortir, il plaça sa main sur les signes les plus extérieurs. Il fut entouré d'une lumière cramoisie le faisant simplement disparaître.
Quand la lumière faiblit, il se trouvait au centre d'une salle, les arbres avaient totalement disparut il régnait un silence macabre l'unique lumière du lieu venait d'un puits de lumière situé au centre de la pièce qui déversait son lot de rayons jaunâtres. Kurasu se vint se mettre sous la lumière, levant la tête il pouvait distinguer quelques choses de bleu, le ciel peut être. Il devait en avoir le coeur net cherchant du regard un moyen de monter à l'étage supérieur, il vit que les ombres se mouvaient autour de lui.

Des ombres sans aucun sentiment, se contentant de tourner autour de lui comme des ennemies insaisissables. Kurasu se mit sous la lumière, ces êtres ne semblaient pas bien apprécier les rayons du soleils. Mais au lieu de l'attaquer comme aurait fait tout ennemies, il se contentèrent d'infecter la lumière de manière à la réduire doucement jusqu'à extinction. Kurasu fit un mouvement des bras, les pans de sa tunique s'agrandir pour s'accrocher à l'étage du dessus. Dans un mouvement ample il se projeta vers le haut juste avant de voir les ombres dévorer la dernière goutte de lumière. Son passage vers le niveau supérieur se fit sans encombre, seul les ténèbres du dessous formait une mers d'un noir d'encre. Kurasu s'avança pour s'y refléter, il ne remarqua pas sa peau en principe blanchâtre qui avait prit un teint légèrement rosé. Il devait s’occuper de savoir ou il se trouvait, mirant les murs parfaitement éclairés de la pièce circulaire, il chercha une autre issus que le puits de lumière disposé au dessus de lui, visiblement, rien ne lui permettrait de monter d'un étage si ce n'est un miracle, le puits se trouvait à plusieurs mètres au dessus de sa tête et bien que sa tunique animé de chakra pouvait s'étendre et s'animé d'une vie soudaine, cela lui semblait impossible qu'elle puisse s'étendre jusqu'à la. De plus, son étoffe semblait manqué d’entrain à la tache, lui qui devait tout le temps la calmer, la elle se reposait molle prit de soubresauts. Un bruit le fit pivoter sur lui même, mais la salle demeurait vide si ce n'était se bruit spongieux qui emplissait doucement la pièce, elle n'était qu'une faible trame sonore, maintenant c'est le sons principal, impossible de ce concentrer dans tout se brouhaha. Un coup d'oeil vers le bas et il vit ce à quoi le bruit faisait allusion.

Les ombres s'extirpaient de leur trou, rampant entre les rainure des dalles de pierres, les ténèbres visqueuses c'était insinué partout au centre de la pièce, la ou il était entrée, le liquide noir formé des ombres fit émerger une chose à l'aspect humaine. Doucement le monstre tendit ce qui ressemblait à un bras en sa direction, le reste des ombres finirent par former le corps vêtue d'une simple tunique la tête montrait une légère différence de couleur. Quand les détailles furent en place, il put enfin ouvrir les yeux et il y régnait un blanc absolut. Surpris de cette constatation inutile, Kurasu remarqua deux autres entités pas tout à fait formé il en profita pour donner un coup dans celle qui se trouvait le plus à sa porté, l'être mal formé tomba à la renverse et s'explosa au sol tel un amas de boue informe, une fois fait, un nouveau bruit surgit des ténèbres de plus en plus présente. Pas le temps de se poser de nouvelle question, il en frappa un autre, le monstre le mieux formé l'attrapa par son vêtement la bouche s'ouvrant et se fermant donnant une l’impression que le monstre essayait de dire quelques chose. Ces bras réagir rapidement, saisissant ce qui ressemblait le plus à un poignet il le tourna rapidement faisant céder la main qui redevint un liquide noirâtre. La chose recula sous la perte de son membre, Kurasu lui prodigua un brutale coup de poing qui transforma sa tête en un déluge noirâtre qui éclaboussa le sol. A nouveau, le bruit retentit dans la pièce, il découvrit d'ou ce sons provenait alors qu'il faisait disparaître un quatrième être noir. Des pierres de différentes longueur émergeait du mur donnant une sorte d'escalier succins aidant à la progression de Kurasu.

Une fois le rythme donné, il est simple de constitué sa mélodie, a chaque être voulant se former, il faisait en sorte de le faire disparaître. Pas trop rapidement non plus, car si il n'avait pas la forme humaine les marches de l'escalier n’apparaissaient pas. Il devait se dépêcher, chaque monstre qu'il détruisait ne faisait pas que disparaître, il se liquéfiait pour augmenter la quantité d'eau noir qui montait de plus en plus dangereusement. Une fois qu'il jugea que les marches allaient suffisamment haut, il s’empressa de les grimper quatre à quatre pour finaliser sa fuite en avant par un saut de l'ange tout bonnement magnifique. Les mains formant un signe de concentration pour que son étoffe se réveille un peu et projette ces mandibules pour l'aider à s'échapper de ce niveau. Cela ne fut pas si facile que cela, car bien que le tissus parvint à s'accrocher au puits menant au-dessus, il refusait de monter, ni de l'aider dans ce sens. C'est donc à la force de ces bras malingres qu'il passa dans ce nouveau niveau. Et ce dernier lui apporta son lot de surprise.

A terre, il pouvait voir que ces mains avaient retrouvé leur forme d'origine, une couleur humaine était revenue sur ces mains et avant bras qui avaient perdu leur maigreur pour retrouver les muscles entraîné qu'il avait eut avant sa mort regrettable. Une chose lui entourait la tête, d'un mouvement il chassa le linceul noir qui tomba à terre après avoir voltigé quelques temps. Une fois remit sur ces pieds, il constata avec surprise que ces habits n'étaient plus les même, l'épaisse tunique noir avait cédé la place à un pantalon cintré et un haut sans manche. Sa capuche avait prit la forme d'un linceul noir qui jonchait le sol de pierre. Il fit de nouveau mouvements pour assouplir ce corps qu'il avait crut ne jamais revoir un jour. Dans cette nouvelle pièce, il y avait un escalier coller le long du mur qui montait en pente douce vers l'étage supérieur. Peut être que sa prochaine étape allait enfin le libérer de cette tour de malheur. Il monta d'un pas lent mais décidé, appréciant ce corps qui lui répondait sans craquement, sans douleur ni cris. Yokai se trouvait sur les marches il semblait attendre sa venu.
- Je suis heureux de te savoir sur la bonne voie lui dit il, Kurasu se figea à quelques marches de l'homme. Ce dernier se leva sans un autre mot et continua son ascension montrant le chemin à suivre. Il monta encore une volé de marche pour se tenir devant l'ouverture lumineuse. La noirceur commençait déjà à envelopper l'étage, mais elle ne semblait pas le menacer bien au contraire. Si il y réfléchissait bien jamais les ombres ne l'avaient attaqué directement. Au premier étage il avait préféré fuir les ombres, dans le second étage les ombres avaient prit une forme humaine, mais il se souvenait que les ombres essayaient de lui parler et il ne leur avait pas laisser le temps. Kurasu fit volte face, entre les ténèbres et la lumière un choix simple dans les grandes ligne, mais il devait en avoir le coeur net. Il descendit une volé de marche pour se trouvé a la limite entre ombre et lumière. Une main émergea des ombres pour venir lui saisir la cheville, il n'y avait aucune force juste une chose qui essayait d'émerger des ténèbres. Yokai lui mit la main sur l'épaule, une voix calme.
- Que fait tu ? Ton repos ne se trouve pas par la lui fit remarquer Yokai sa seconde main se posant sur son autre épaule. Kurasu eut un sourire mauvais. La tête baissé il fit un pas vers les ombres et faisant volte face dans le même mouvement.
- Je viens de comprendre, je ne croyais pas que ce jutsu existait encore fit remarquer Kurasu, nous sommes dans les premiers étage de la tour appelé l'incarnation de l'âme c'est bien cela ? demanda l'homme, les ombres se mirent à ramper sur ces jambes, ces mains perdirent doucement leur couleur rosé. Yokais fit une grimace et sauta en arrière pour mettre une bonne distance entre eux.

- Oui ce jutsu fut oublié, mais quand on sait ce qui ta donné ta seconde vie il faut faire des excès dit il, Kurasu recula d'un pas, les ténèbres grimpèrent bien plus vite sur son corps.
- Le jutsu de Babel au premier étage saloperie tu comptait rendre mon âme au royaume de mort c'était bien joué finit il par dire tombant en arrière pour plonger dans la noirceur. Il y eut une petite mise en garde qui se perdit dans le marasme de voix qui peuplait à nouveau son corps. La lumière lui revint, la douceur de la brise le renvoya sur terre, première fois depuis qu'il était revenu dans cette vie, il était allongé au milieu des bois. Il leva le bras au dessus de son visage, ces doigts squelettiques craquèrent quand ils les firent bouger. Kurasu ne put s’empêcher de soupirer, il ne pouvait pas s’empêcher qu'on lui avait offert une seconde chance, même un choix. Il ne pouvait pas quitter ce monde sans y laisser sa trace. Quand il parvint à se lever, sa tunique le soutint un moment comme pour lui souhaiter la bienvenu ou bien le remercier de son choix.

Les mêmes remarques que sur ton RP précédent, RP remplit de frisson et de suspect, chiant à lire car tu ne fais aucun paragraphe mais l'histoire est plutôt bien construite.

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