Narbe und Gebrochen Herz - Jed Kurotaki (Terminée)

Jed • Kurotaki


Informations générales
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■ Nom : Kurotaki

■ Prénom : Jed

■ Âge : 19 ans

■ Sexe : ♂

■ Taille : 6'2''

■ Poids : 152 lbs

■ Origine : Iwoise

■ Rang : Genin

■ Affinité primaire : Fûton

■ Village : Iwa

■ Spécialité : Kenjutsu

Avant toute chose, il est important, voir très important, de savoir que ce corps n'a pas été donné comme ça par charité. Il m'a fallu faire un dur labeur afin d'obtenir ce physique plus qu'enviant que beaucoup d'autre homme aspirant à ce même statut désirent d'avoir. Alors, allons-y de haut en bas, simple question de logique de simplicité de compréhension. Ma chevelure est d'une coupe courte qui est miraculeusement inutile à peigner. Raide et noire avec des reflets violet-grisâtre, elle ne passe pas inaperçu. Mes yeux son normal, souvent refermé et ne laissant qu'une ligne blanche visible, mis à part mon iris teinté d'un bleu marine. Ce qui me distincte des autres, c'est mes trois cicatrices sur tout le côté droit de mon visage. Par chance, mon oeil fut épargné. Vous apprendrez plus tard la signification de ces cicatrices et de la lourde histoire qui les accompagnes.

Sur le côté gauche de mon visage, une bande, un tatouage, passe sous mon oeil. Juste en dessous, le chiffre 69 y est tatoué. Pourquoi 69? Non ce n'est parce que c'est ma position favorite au lit avec une femme... Même que c'est loin d'être le cas si je peux me le permettre... Ça signification m'est propre : vous n'en saurez pas plus que ça. Cela conclut pas mal mon visage.

Passons à mon corps. Comme je l'ai dit précédemment, ce corps n'est pas apparu par magie. Bâtit à la suite d'un nombre incalculable d'entrainement, d'un régime particulier et d'un mode de vie exemplaire, j'ai fait de moi une arme vivante. Pourquoi? Ce sera précisé plus tard. Je suis alors très grand du haut de mes 6 pieds et 2 pouces. Musclé, ma force n'est vraiment pas négligeable. Mes bras sont chacun tout deux de véritables armes biologiques, capable de tout faire, de la couture au meurtre des plus sadiques qui soit, en passant par la cuisine. Ma dextérité est sans égale, magnant l'épée depuis mes plus jeunes années, domaine de prédilection des Kurotaki. En bas de la ceinture, on ne va pas spoiler l'instrument le plus incroyable dont je dispose : il ne faut pas gâcher la surprise au femme! Mes jambes sont telle que mes bras à l'exception de leur longueur. Sculptées à l'entrainement intensif, elles peuvent endurer une course à la proie durant des heures sans me lâcher. Elles me sont essentielles pour l'utilisation de mon art de prédilection.

Passons aux vêtements. Rien d'extraordinaire, je porte une sorte kimono noir usé sans manche avec un dessous blanc. À la taille, une «ceinture» blanche pour rattacher mon fourreau qui traverse mon dos de la droite vers la gauche. En bas, en plus du bas de mon kimono, je porte des culottes noires avec des bottes shinobis aux pieds. Ah! Aussi, j'oubliais, je porte un bracelet au bras droit. Je suis simple dans mes vêtements, je ne m'encombre pas pour rien. En plus, je porte à ma ceinture un sac shinobis dans le dos, question d'y mettre mes effets personnelles, armes, rouleau et tout autre choses utile ou non. Ceci conclut donc mon physique.

Mentalement, comment suis-je? Hum... Certain vont aimer, d'autre vont se dire qu'ils voudrait être dans une autre équipe et certain vont dire qu'il serait un honneur de combattre contre moi ou à mes côtés. Allons-y sphère par sphère de la vie de tout les jours. Plus intimement, même si je ne suis pas très intime en ce moment avec des gens en particulier, je suis ce qu'on peut appeler une personne en or. Fidèle, fiable, loyale, franc et toujours prêt à rendre service... Où même à me sacrifier si nécessaire, autant au sens figuré qu'au propre. Avec la dame, je suis galant, toujours à l'écoute, pouvant faire de moi l'homme le plus romantique que ce monde a connu. Avec les amis, un super pote toujours prêt à se faire du plaisir en toute légalité... Ou non, mais je garde toujours et je garderai toujours ma pudeur.

En temps normal, avec les autres habitants. Je suis neutre, parfois froid et hostile si on essaie de m'importuner ou encore d'importuner mes amis ou des gens qui me sont inconnus se faisant harceler inutilement. Je n'aime pas vraiment faire l'autorité, mais je n'aime encore moi qu'on trouble la tranquillité publique. Avec les autres shinobis, je reste formel. Je suis même froid avec ceux de rend inférieur au mien. On se doit de respecter les supérieurs, on se tient à carreau et au grand jamais on les emmerde. Avec mes coéquipier, tout dépend des relations que j'entretiens avec eux.

Face à d'autre shinobis n'était pas d'Iwa, la méfiance à sa place. Je n'attaque que si je me sens menacer. Je ne tue que sur nécessité ou si c'est les supérieurs qui me l'ordonne... Cependant, je reste le seul législateur de ma vie, si on me donne un ordre de cet ampleur, je reste d'esprit critique et je m'assure si cet ordre est correctement donné ou s'il est totalement irrationnel et dénudé de toute justice. Mais même à ça, je reste d'avis que tuer n'est pas la solution. Si je tue, je n'en suis pas affecté moralement, je reste béton. Certes, cela dit, je ne tue pas des innocents et encore moins pour des raisons totalement irréfléchis. Je suis très philosophique. Je préfère me battre, vaincre ou perdre, et laisser la chance à l'autre de se venger, de se reprendre et de montrer sa juste valeur au combat... Ou moi-même avoir cette chance si perte devait m'arriver.

Au combat, stratégique et vicieux, aussi simple que ça. Même si je reste loyale, je peux me permettre quelques petits débordement, car selon-moi il n'existe aucune loi universelle sur la façon de se battre et rien ne peut être considéré comme injuste. On profite simplement de ses forces et on exploite les faiblesses de l'ennemie. Quand je vous dis que c'est simple, faut me croire! Je ne suis pas une personne viscérale, par-contre ça ne m'étonnerait pas que je m'emporte un peu. Or, c'est certain que si je venais a en arriver aux choix entre la vie ou la mort de mon adversaire, selon le cas de figure je vais agir, mais encore je suis déjà d,avis de vouloir laisser la vie sauve à ce dernier, mais si ça mort est nécessaire à ma propre survie, mon choix sera alors par conséquent sa vie contre la mienne. Égoïste, mais tout à fait naturel.

C'est un parcourt assez particulier si je peux me le permettre. Digne des grands escrimeurs de ce monde, mon passé n'est pas plus un fardeau qu'une fierté. Alors, commençons où tout a commencer! C'est dans un après-midi ensoleillé de printemps que la plus merveilleuse des femmes mise au monde l'être que je suis tout en ayant à ses côtés le très respecté chef du clan Kurotaki. L'accouchement se passa s'en encombre selon les dires de ces derniers. C'est dans un foyer chaleureux et bien entretenu que je fus élevé. Fils unique malheureusement, je n'eus de compagnons personnels, passant seul avec ma mère mes premiers jours.

Dès l'âge de mes 7 ans, l'impatient qu'est mon père décida qu'il était déjà venu le temps de faire de moi un vrai Kurotaki. Tout en étant fort compréhensif, il m'apprenait déjà les bases du Ninjutsu, du Kenjutsu et l'art de la survie, de l'indépendance. À l'académie, il ne me fallu que quelque démonstration et quelque bagarre avec certains effronté jaloux de moi pour montrer que j'étais loin d'être un faible et qu'il ne fallait en aucun cas me marcher sur les pieds. En plus d'être rapidement le mec le plus respecté, j'étais aussi le plus talentueux de ma génération. Incontestablement, j'étais ce qu'on pourrait appeler l'Itachi d'Iwa.

Quelques années plus tard, c'est là que Sara entra dans ma vie. Elle était tenace et c'était dès lors ma rivale incontestable. Croyez-moi ou non, à ce moment, personne aurait pu croire qu'on puisse plus tard devenir des amis, de très bons amis même. On a même déclaré bagarre en pleine période de cours et nous avons carrément foutu le bordel dans la salle. Tables en morceaux, chaises enfoncées dans les murs, fenêtres fracassées... On a eu chacun une punition proportionnelle au foutoir divin qu'on avait provoquer. Je m'en rappellerai toujours de ce moment-là. Je me rappelle encore les commentaires des autres, disant qu'un jour on s'entretuerait jusqu'à ce qu'on meure dépuisement. Pourtant, on s'était dit ensemble que ça avait été une bonne bagarre comme il y en a rarement. C'est justement après ça que qu'on a arrêtés de se faire la gueule. Non pas parce qu'on ne voulait plus avoir de telle conséquence, plutôt parce qu'on avait plus de raison de se battre ou de prouver lequel d'entre nous était le meilleur : Nous étions de force égale.

Même si ma vie avait, à cet époque, l'apparence d'une vie parfaite de Shinobis respecté promettant à une grande carrière, il faut croire que les contes de fées resteront toujours que de pure fabulation faites pour rassurer les enfants ignorant tout de la réalité. À mes 13 ans, je revins chez moi de l'académie en compagnie de Sara et je fus, avec elle, témoins du meurtre de mes parents. J'ignore qui est le ou les individus à l'origine de ça : ma maison était presque toute enflammée à mon arrivé. Il n'y avait rien à faire, c'était trop tard. Mais je ne me suis pas mis à faire une dépression pour autant. J'avais conscience de la réputation de ma famille et ça pouvait arriver n'importe quand. Je remerciai alors la vie de m'avoir laissé la chance de poursuivre la mienne, même s'il fallait la poursuivre sans eux. La famille de Sara me recueillit par la suite.

Envie de me venger? Certes, oui, mais personne avait une moindre idée de ce qui pouvait être à l'origine de ce meurtre. À l'époque, Iwa était encore en guerre contre Konoha, mais je ne me suis pas mis en tête l'idée de venger ma famille sur d'autres familles innocentes. C'était simplement une idéologie irrationnelle et injustifié. Seul ceux qui avait mis le feu pouvait être la victime de ma colère et de ma haine. Si un jour je venais à lui tomber dessus, cette personne payerait. Par la suite, je pus récupérer le journal de mon père, effet qui m'était destiné s'il venait à mourir. Avec ça, je pouvais poursuivre ma formation de shinobis du clan Kurotaki.

À mes 15 ans, je tombai sur la femme de ma vie. Non, ce ne fus pas Sara, or cette dernière je la considère plutôt comme la soeur que je n'ai jamais eu. Ina Makutsô, une adolescente aux couette noire de mon âge sur qui je suis tombé par hasard alors que j'étais seul au centre-ville d'Iwa. Ce fus le coup de foudre! C'était une évidence pour moi, c'était la femme parfaite pour moi. Tout chez elle me plaisait, absolument tout. Je ne l'avais jamais vu avant. Et c'est justement ce qui causa ma perte.

Un signe précurseur m'avait fait douté, mais aveuglé par l'amour j'oubliai ce détail. J'avais trouver dans ses affaires un bandeau de Kiri, mais elle m'avait dit qu'elle avait reçu ça de la part d'un voyageur. Autre fait, elle maîtrisait parfaitement le Suiton, affinité plutôt rare en sol de Tsuchi no Kuni. Je suis resté en couple avec elle jusqu'à mes 17 ans. Deux ans, je vous l'accorde, c'est long pour une relation de ce genre à mon âge. Un beau soir, la raison pour laquelle elle était avec moi me fut démontré d'une forte regrettable façon. Trouvant enfin le journal de mon père, il ne lui restait qu'une étape pour finir enfin sa mission : m'exécuter. Malheureusement pour elle, me sous-estimer avait ses conséquences. C'est là que je fus défiguré, recevant de plein fouet un sabre à trois lames au visage. Mon œil fut épargnée, mais mon coeur lui fut brisé à jamais. Pour ce qui en ait d'Ina, elle ne m'a pas laissé le choix. Contre ma volonté personnelle et au risque d'en perdre la vie en plus de retirer en moi toute confiance à l'égard des femmes, je dû la neutralisé par l'empalement de mon katana à la lame noire dans son coeur. Horrible comme mort, horrible comme façon de dire «je casse».

Cela fait deux ans depuis que cette tragédie digne des histoires d'amour les plus sombres, voir morbide, à eu lieu. J'ai 19 ans maintenant et je suis encore Genin. Même si j'ai l'air d'un bloque de béton armé impénétrable à la forte personnalité, la mort d'Ina m'a profondément brisé à l'intérieur. Mise à part Sara, ma confiance n'est plus une chose que l'on peut me demander sans de gros efforts. En plus de ça, par sa mort, j'ai ainsi su qui était derrière le meurtre de mes parents : le clan Makutsô de Kiri. Certes, je ne nourris pas cette émotion viscérale qu'est le désir de la vengeance, mais s'il advenait que je tombe sur les membres de ce clan, il en paierait de leur vie.

PS : J'aimerais une analyse littéraire critique et constructive à la sauce de Thalie pour cette présentation, ainsi que le rang de Genin bien sûr. Merci d'avance.

PS 2 : Quand je dis à la sauce de Thalie, je veux dire dans sa façon, pas que ce soit elle qui fasse la critique. J'aurais tout aussi bien dire à la sauce de Ryuzuki, mais ça aurait pu sembler louche dit comme ça...

J'veux pas paraître gonflant, mais... J'attends depuis un moment déjà.

Bienvenue sur NSI v5, alors j'ai lu attentivement ta fiche et j'ai remarqué peu de faute d'orthographe ce qui rend plaisant ta présentation. Les tournures de phrases sont bonnes, je dois aussi te dire que j'aime les descriptions à la première personne car on arrive à discerner ton personnage à l'extérieur comme à l'intérieur. Tu varies ton vocabulaire ce qui rend tes phrases fluides et qui permet aussi une rapide compréhension. Pour l'histoire, je n'ai rien à dire, elle est très bien fait, encore une fois tu as utilisé la première personne du singulier et j'aime cela car l'histoire gagne en intérêt du fait que l'on arrive à percevoir les sentiments de ton personnage lors des évènements majeurs de ta vie. Voilà, donc je n'ai qu'une chose à te dire : continue ainsi Sinon voilà tes points d'expérience pour cette jolie présentation que j'ai beaucoup apprécié 8xps.