« No Shaking Throne » [Avec Kawa Ryōzō]

♦ Nom & Prénom : Akiko 秋子 Hyuuga (Deux personnes sont au courant, le Kage et Kawa Ryozo)
♦ Ages : 15 ans
♦ Village : Suna
♦ Rang souhaité : Genin 最大の級・
♦ Nindô : Devenir un Anbu, même si cela doit comporter des sacrifices.

♦ Apparence du personnage : Akiko, contrairement à la douceur de son nom est une brute épaisse mais dans un corps enfantin, ce qui a pour cause de lui attiré multitudes d'ennuis, de façon répétitive. Comment décrire un homme possédant un corps d'enfant, cela reviendrait à décrire un simple nourrisson, et bien c'est presque sa. En effet notre jeune protagoniste possède un corps banal, voir même assez fin pour son âge, il n'y avait presque rien de musclé chez lui mais cela ne voulais pas dire qu'il n'avait aucune puissance dans ses bras et jambes, il était juste sec. Des bras assez longs, il était comparable à une araignées, ce qui lui permettait d'être agile avec une vitesse plus important que la moyenne des shinobis. Il reçut plusieurs fois des insultes pour son maigre corps, il était la bête de foire de ses camarades de classe, mais au fil du temps et au fil des combats qu'il remportait il finit par ce faire respecté. Son corps devint un atout pour lui, mais la description charnel intéresse peut de personne du moins ce qui l'englobe, il faut être plus précis pour que cela captive les foules, pour que cela vous surprenne. Son visage? Personne ne l'a encore vus, si ce n'est le Kage, on ne peut seulement apercevoir les cheveux du jeunes hommes d'une couleur rouge flamboyante et son long cou, effectivement Akiko portait un masque sans cesse pour masquer son visage, ou plutôt ses yeux. Oui car le jeune homme cachait bien son jeu, il était l'un des membres du clan Hyuuga, il avait donc pour particularité de posséder leurs majestueux Dojutsus, digne des plus grands clans de Konoha. Malheureusement notre protagoniste était de Suna, un Hyuuga déchu? La réponse était positive mais toute chose en son temps. Mais ce masque cachait aussi des blessures de guerre, lors d'un incident important qu'il vaut mieux essayé d'oublié, j'ai bien dis essayé, on dit souvent que c'est le passé et qu'il faut oublié mais quand les traces sont visuelles comment faîtes-vous? Voilà ce qu'était devenus la race humaine, un tissu de mensonge, nous n'avons jamais le choix, vivre ou mourir, cela nous est imposé, je dirais même vivre ou survivre. Mais vous que diriez vous si votre visage vous remplissait de dégout, que feriez-vous, oseriez-vous vous balader dans la rue comme si de rien n'était, ou alors vous vous contenteriez de porter un masque? Effectivement vous ne pouvez pas le savoir vous n'êtes pas à la place de ce jeune homme, la peine se transforme alors en haine qui se transforme en dérapage, les dérapage qui le mèneront à la débauche et la débauche qui le mènera droit à la mort. Que dire de plus, si ce n'est qu'accesoire, Akiko porte souvent un katana sur lui qui n'hésite pas à utiliser comme bon lui semble, il à une attirance assez étrange pour le combat, comme un drogué en manque de consommation.


♦ Psychologie du personnage : Une psychologie complète peut vous révéler le caractère d'un personnage, mais son fond vous êtes-il décrit lui? Savez-vous vraiment ce que la personne pense, ou ne connaissez vous qu'une simple facette de vous, posez vous cette question pendant que j'essayerai de vous décrire avec le maximum de détail la psychologie de cet homme complexe de nature. Tout d'abord notre héros si on peut le désigné ainsi, naquit dans un contexte particulier, éduqué seul par son père, sa mère étant décédé d'une overdose de drogue, son géniteur arrivait à peine à contrôler le petit homme. D'une nature impulsive et colérique on aurait pus croire que l'enfant était habité par le diable, il n'avait aucune relation avec les enfants de son âge et préférait la bagarre aux jeux de société, l'âme d'un gladiateur tout craché, vous savez selon la mythologie les spartiates se battaient entre eux à leurs plus jeunes âges et le survivant était choisis pour devenir soldat. Et bien dans toute sa subtilité cela se retrouverait chez la personne de Akiko. Il eut souvent quelques petits conflits avec les habitants de Kumo car il aimait se frotter aux marchands et prendre des grosses roustes, d'une mentalité assez sadique il n'avait aucune peur d'aller au front, quitte à se faire défoncer il préférait tenter le tout pour le tout. Mais à côté de sa il remportait quand même quelques combats, mais cela était vraiment minime par rapport au nombre de défaites qu'il avait sûbit, mais notre protagoniste n'était pas du genre à lâcher l'affaire si facilement, il était foutrement téméraire. Au décès de son père le jeune garçon se retrouva orphelin, seul mis de côté par tous le village qui le détestait, il s'en foutait. Pour lui la vie avait déjà été dur comme sa avec lui, il vivait au jour, vivant des petits larcins qu'il faisait, oui car notre jeune homme avait une petite particularité, il était cleptomane, il ne pouvait s'empêcher de voler quelque chose dans tous les endroits où ils se rendaient. Et plus il grandissait plus cela empirait, venait s'ajouter à cela le caractère très brute de la bande qu'il avait construit, oui il avait l'âme d'un chef, en effet il aimait guidé ses troupes à la baguette et son jeu favoris? Frapper à plusieurs les élèves de académie pour lui cela était jouissif, c'était presque devenus un loisirs, si bien que le jeune homme en venait même à frapper les passants de Suna. Après plusieurs altercations il décida de se calmer, mais ce ne fut que temporaire, car l'homme croit changer, mais ne change pas, cela n'est qu'une illusion, c'est la dur réalité. La reprise fut de plus belle, il avait arrêté l'académie, traîna dans les rues avec sa bande, à la recherche de personne à frappés, à la recherche de bande rivale, il ne perdait presque jamais, il était devenus l'homme le plus détesté de Suna, le plus fou, le plus diabolique, le plus sadique, le plus respecté après le Kage. Et pourtant il savait que tout pouvait s'arrêter du jour au lendemain, il savait qu'il pouvait mourir, mais selon vous avait-il peur de la mort? Même devant la mort en personne il pourrait lui cracher à la gueule sans jamais regretter, il en déjà fais l'expérience et ce n'est surement pas le début. Pour résumé en quelques mots subtiles la définition exhaustive de cet homme, celui est, colérique, impulsif, sadique, lunatique, fou, et stratège, du moins il le pense...

♦ Histoire :

Drop of blood and heart of ice

Que savons nous de l'homme ? Avare, lunatique, colérique, pervers, sournois. Mais la femme elle? Il y a un vieux dicton qui nous dis que la femme possède quatre vingt dix neufs vices, et l'homme un seul, la femme. Vérité ou vieux dicton, note jeune protagoniste était plongé en plein dedans. A sa naissance, sa meurt mourut, elle n'avait pas supporté l'opération elle était bien trop faible, toute sa vie elle avait vécu dans la drogue, elle n'était qu'un squelette déambulant de les rues à la recherche de son dealer. Elle ne s'était jamais vraiment occupé de Akiko si ce n'est pour lui vendre ses jouets pour que ce déchet achète sa consommation. Mais pour faire un enfant il faut bien sûr deux personnes, ce qui en revient à parler du père du jeune garçon, il n'était pas de Suna mais de Konoha, effectivement il n'était autre qu'un des membres de la branche principale du clan Hyuuga. Il avait rencontré la mère du jeune homme lors d'une mission à Suna et était tombé fou amoureux de lui, bien sûr elle n'en n'avait que pour son portefeuille. L'homme n'en savait rien et fit un enfant à la femme pour lui prouver son amour, elle s'en contrefichait et continuait même à se droguer, la folie de Akiko viendrait surement de la. Puis les 9 mois passèrent, l'accouchement allait avoir lieu, la génitrice ne comprenait même pas où elle était et mourus ou bout de quelques secondes, un père en larme, un bébé poussant des cris, voilà comment se passait la naissance du jeune homme, spectaculaire. La suite n'était pas plus charmante, le père décida de rester à Suna pour s'occuper pendant un certains temps du nourrisson, mais savait-il qu'il avait plus subir et que l'éducation de l'enfant serait veine? L'enfant grandit dans des conditions déplorables, le père avait arrêté les missions et se retrouvait donc au foyer à éduquer seul son enfant, au premières années de son existence, le garçon apprit les bases des Hyuuga comme le respect et les techniques de bases, il était brillant, c'était incroyable tout semblait si beau. Mais la déchéance fût au rendez-vous. Au fil du temps le comportement de jeune homme se dégrada, il devenait plus agressif, plus assoiffé de combat était-cela le revers des Hyuuga, leurs facettes cachées? Akiko avait perdus tout respect, il ne me prêtait même plus attention à sa père, quelques regards si ce n'était pas en trop. Ils ne communiquaient plus, le père sombrait dans l'alcool, et il était devenus comme la mère un vrai déchet, alors à quoi bon continuer de vivre quand nous n'avons plus de repères? La question ne se posait pas on subissait, on survivait quitte à faire des sacrifices, car la vie ne peut être vécu qu'une fois. Vivre au jour le jour, vivre comme si le lendemain vous n'étiez plus là. Mais le jeune homme se souviendra quoi qu'il arrive d'une phrase, c'était le jour de la mort de son père, il était à son chevet, même si pour lui il n'en n'avait plus rien à faire, son père lui pris le cou par la main et emmena sa tête près de son visage de façon à pouvoir lui chuchoter quelques mots dans la bouche:

-Profite de ta jeunesse, survit car à mon âge tu n'es plus qu'un déchet, ne te laisse pas faire par le Kage tu as le choix, on a toujours le choix, mais les sacrifices seront des plus conséquents

Après de telles paroles le garçon avait rit, son père moins, il était mort. Que dire, l'enfant était seul avec à peine de quoi se nourrir, membre de l'académie et détestez de tous Suna. Mais étrangement il n'éprouvait aucune peine, il savait qu'un jour il allait devoir se débrouiller seul, il savait que ce jour arriverait. Pour se nourrir il vivait du vol, ou de dons que lui faisaient les marchands, du moins ceux qu'ils l'aimaient bien, car sinon pour le reste il devait se débrouiller. Pour ce qui était du scolaire ses notes restaient dans la moyenne, mais il n'allait plus beaucoup en cours, il connaissait déjà les bases qui allaient lui servir pour survivre dans cette jungle. Sa bande grandissait, comportant chaque jour de nouveaux membres, plus fou les uns que les autres, ils étaient désormais cinq, chacun avec un objectif précis, comme le vol, la nourriture, les armes, les informations, tout le monde servait à quelque chose. Le groupe de malfrats avait pris en main Suna, le Kage était débordé par les incidents qui se répétaient, Akiko en profitait pour y faire un trafic d'armes, ainsi il s'accoutumait d'un Katana assez fin et d'une taille moyenne, cela lui permettra de mettre son agilité à profité, il n'avait jamais tué personnes, prendre une vie ne servait à rien, faire souffrir était plus intéressant, c'est ainsi que le jeune homme grandit, ou tomba droit vers les enfers, à vous de voir, mais dans cette déchéance répétitive il y avait une petite lueur d'espoirs, c'était alors que nous arrivons à ce jour fabuleux.

Mistake of the Hangman

Tout commençait par une envie de se rendre à l'académie un soir d'été, le soleil était en train de se coucher ce qui avait pour don de créer des contrastes des plus magnifiques, des contrastes d'une couleur rouge flamboyante mélange avec un rose pétant ce qui créait un petit rosé. Le jeune Akiko était avec sa bande prêt à en découdre avec un Genin qui avait refusé de se rejoindre à leurs groupuscule, il se nommait Kawa Ryozo, cette fois-ci le groupe de malfrats allait lui faire la peau. A peine sortit de l'académie que la bande l'encerclait prêt à le tabasser jusqu'à qu'il ne puisse plus se relever, mais tout ne se passa pas comme prévus, le jeune garçon poussa l'un des ennemis qui l'entourait et partit en courant tel une balle. Akiko ne mit que quelques secondes à se lancer à sa poursuite suivis de son groupe, le jeune fuyard était rapide et malheureusement les malfrats arrêtaient la course poursuite un à un, de vrai lopettes, mais le jeune protagoniste ne lâchait rien. Il avait une envie folle de se battre contre le jeune fuyard, celui-ci s'enfonça alors dans un magasin à l'allure étrange et qui ne laissait présager rien de bon. En effet cela faisait plusieurs mois que le magasin avait fermé et que plus personnes n'osait y pénétré, mais les deux jeunes hommes s'en fichaient, ils allaient en découdre à l'intérieur de celui-ci. Le sourire sadique aux lèvres Akiko savait que dans un endroit clos l'homme en face de lui n'avait aucune chance, il commença donc par lui lancé des shurikens que Kawa esquiva avec facilité, il s'était bien entraîné à l'académie le petit. Mais cette attaque il ne pourra l'esquiver, me jetant sur lui munis de mon Katana, il roula sur le côté assez habillement, bien joué. Seulement il était déjà en train de foncer droit sur lui, ca y est c'était le dénouement, il allait le buter, enfin, enfin Akiko être libre de ce poids, lâchant quelques paroles d'une rage inouïe j'allais lui porter le coup de Katana fatale:

- Crève petite pute !!!

Quand soudain plus rien, notre protagoniste avait juste ressentis un choc à la tête, puis le néant, il ne voyait plus rien n'entendait plus rien, il ne savait même pas si il était vivant. Il sentait plus mon corps, mais une voix apparus au fur et à mesure, elle était d'un ton grave c'était forcément un adulte mais parmi toutes les voix de Suna cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas connus une si grave, puis ses sens revenaient un par un, l'Ouïe, puis le toucher, d'ailleurs Akiko n'arrivait plus à bouger, il était ficelé de partout, putain comment sa se faisait, qui avait bien pus lui faire sa. Il sentait le mur glaciale sur lequel il était adossé, l'enfoiré qui lui avait fais sa allais le payer, il détestait qu'on puisse jouer à ce genre de jeu avec lui, il ne voyait rien, comme si ses yeux étaient incapables de s'ouvrir c'était horrible et honteux. Quelques minutes plus tard il sentit qu'on le prenait par le bras, on l'emmenait plus loin, il essayait de se débattre mais il n'y avais rien à faire l'homme était beaucoup plus fort que lui, impossible de se dégager, cet homme devait être vraiment épais. Il atterrit alors sur le sol comme une merde, en effet il l''y avait projeté, il grognait, gueulait de toutes les forces qu'il pouvait, il injuriait la personne qui lui faisait sa, même si il ne la connaissait pas tous les jurons y passaient. Il se prenait des coups de pieds dans le ventre, la sensation était désagréable, du sang ne tarda pas à sortir de sa bouche, il se faisais ruiné de coups, il sentait que la fin était proche, puis il fus relever et entendis comme un bruit de lame qui sortait de son étui. Ce qui suivit était le pire qu'il pouvait arrivé dans la vie d'un homme, se faire défiguré, la lame se plantait dans la visage du jeune homme de part et d'autre, l'ennemi y prenait son pied, impossible de voir de qui il s'agissait, impossible de lui faire payer, impossible de se débattre, alors comment survivre? Puis plus rien, c'était comme-ci l'homme s'était arrêté, Akiko sentait le sang couler le long de son visage, son visage le brûlait, il avait envie de s'arracher les cheveux, il criait de toutes ses forces, quitte à faire éteindre sa voix à tout jamais, il espérait secrètement que quelqu'un l'entende. Ce qui fut chose faîte, comme si pour une fois Dieu avait daigné faire en geste envers Akiko, oui car son ennemi venait de tomber au sol comme une vulgaire mouche, il sentit soudain les cordes se dénoué, le sourire aux lèvres le jeune homme enleva d'un geste rapide et bref son bandeau, il pus voir que Kawa était devant lui et un énorme homme, environ un mètre quatre vingt dix était allongé sur le sol, le jeune Genin en était donc venus à bout. Il était vraiment doué, le regardant je compris vite, mais sans mon masque il pus voir alors mon Byakugan, il aurait pus alors me dénoncer, mais alors que je regardais le sol je pus voir comme une ombre qui retournait vers Kawa, il possédait donc la capacité du clan Nara, il était l'un des l'heure. Le regardant avec un regard amical je lui fis un signe, montant mon doigt vers mon nez je lui faisais le signe de se taire, ceci était notre secret, personne ne pourrait le savoir, seuls nous deux connaissions nos capacités.


Remettant alors son masque qui était sur le sol il sentait toutes les cicatrices qui étaient imprégnées dans son visages, il était couvert de honte, comment dire, Akiko ne se regardera plus jamais de la même manière, il ne verra que dégoût et défaite devant son miroir, alors comment s'en sortir après un choc pareil? La réponse ne pouvait être encore donné nous verrons bien par la suite, me dirigeant vers la sortie j'activais mon Byakugan pour voir si il y avait d'autre assaillants, heureusement pour nous il n'y avait personne si ce n'était ma bande. Et merde, à peine avions nous mis un pied dehors qu'ils sautèrent sur mon nouveau "compagnon" tel de grosses brutes, en repoussant un avec mon katana que je lui plantais dans une partie non dangereuse je leurs criai d'arrêter mais rien à faire, ils ne m'écoutaient plus, regardant Kawa qui était sur le côté j'acquiesçai de la tête, nous allions nous battre ensemble contre mon ex groupe, contre mes ex compagnons. Activant mon Byakugan je pouvais percevoir leurs flux de chakra, j'en avais trois contre moi, ils s'agissaient des plus gros de la bande, cela n'allait pas être facile, j'attaquais directement avec les 64 poings du Hake, englobant ainsi avec moi les trois adversaires, je les distinguais bien et j'étais prêt à leurs faire de sérieux dégâts. Je lançais l'assaut mes coups étaient rapides, net et précis percutant chacun de leurs membre. Ce fût bref, ils tombèrent au sol, se tordant de douleurs, ils n'étaient vraiment que des bons rien, je pus alors constaté que Kawa en avait aussi finis avec ses ennemis, parfait. En quelques secondes je pus me rendre compte à quel point j'avais été pitoyable dans le passé. Regardant mon jeune coéquipier je rangeais mon Katana dans son fourreau, je lui glissais alors quelques paroles, j'essayais de lui faire comprendre certaines choses avec un ton calme et rassurant contrairement à d'habitude:

-- Arrête de rester dans ton coin et rejoins les ninjas de Suna, je compte m'engager demain, viens à l'aube devant la tour du Kage. Nyark nyark

♦ Nom & Prénom : Ryōzō Kawa
♦ Ages : 15 ans
♦ Village : Suna
♦ Rang souhaité : Genin 最大の級・
♦ Nindô : Aider le village de Suna, et rechercher des membres de la famille Nara.

♦ Apparence du personnage :

Avec sa silhouette assez fine, ses cheveux noirs et sa taille assez grande ; Kawa ne passe pas inaperçu. Certains disent qu'ils ressemble à un squelette, d'autres qu'il fait plus vieux que son âge. Kawa n'en pense trop rien, il n'est pas très attaché à l'apparence des individus. On le remarque aussi par la façon dont il est négligé. Toujours de grandes cernes sous les yeux, c'est certainement là l'élément le plus important de son charme. Habitué à ne pas beaucoup dormir de ses nuits, Kawa reste la majorité de son temps dans un état de rêve éveillé. Il peine parfois à s'endormir à l'Académie, et fini par être la risée de la classe. Ce maquillage violet qui cerne ses yeux a toujours été visible. Mais cela n'empêche pas notre protagoniste d'être réactif quand il le faut et attentif en classe. Sa dégaine et sa manière de se déambuler caractérise bien son esprit flemmard. Des mouvements lourds, de petits pas, le buste légèrement penché en avant. Associé à sa façon de se vêtir, même un sondage des habitants de Suna pourrait remarquer que ce jeune homme vient des bas quartiers du village. Toujours la même veste en tissu, bordée d'une capuche en poils d'animaux sauvages. Toujours le même pantalon noir, troué par tout les aléas de la vie. Et enfin, toujours les mêmes chaussures, un peu trop larges. S'il avait les moyens de s'acheter des vêtements, il n'en changerais pas pour autant, il dit que c'est inutile et le seul fait de réchauffer le corps est nécessaire pour juger de la qualité d'un costume. Si vous pensez reconnaître un air de famille entre le jeune Ryōzō et la famille Nara du village caché de la feuille, vous n'avez pas tord. Il est l'un des descendant de cette famille, mais il vit pour le village de Suna.


♦ Psychologie du personnage :


Adepte de l'inactivité, Kawa aime ne rien faire et s'enfermer dans ses pensées. C'est ainsi qu'il se repose la plupart du temps pour ne dormir que quatre à cinq heure par nuit. Vous ne le verrez jamais prononcer une phrase en s'emparant d'une émotions extravagante, avec lui, tout est au minimum. S'il peut ne pas utiliser toute ses forces dans un combat, il en fera le moins possible ne cherchez pas plus loin. Son enfance à l'écart de la société lui a permis d'être autonome. Séparé de ses parents dès la naissance l'enfant sais ce qu'est la douleur de ne pas avoir de famille et de souffrir à la vue de ce qu'ont les autres. Mais tout ces sentiments de chagrin, tout ce qu'il a vu de ses yeux, tout ce qu'il a vécu ; font de lui une personne d'un moral d'acier, sans peur, sans complexes ni déceptions. Un côté excentrique s'est révélé durant la semaine où il s'était exclu de chez lui, pour dormir dans le cimetière. Quand on est enfant on peut croire bien des choses, et même que sa mère peut revenir à la vie. C'est le principe des religions, les plus démunis ont plus de choses à demander à une divinité car il n'ont rien, tandis que les personnes aisées ou satisfaite de leur vie n'en ont que faire et trouve le monde correcte à leur image. Kawa avait compris tout cela pendant une de ces nuits. Il quitta le cimetière et se jura de ne plus faire parti de ce genre de personnes. Il valait bien mieux que ça. De nos jours, certaines caractéristiques se sont révélées à Kawa depuis qu'il tente de devenir un Ninja. Sa force mentale à augmenté, il est désormais capable de tenir une discutions pendant maximum cinq minutes. Il a appris de bonne manière, ainsi que des formules de politesse, mais la pratique de ces injonctions lui paraissent encore inutile. Beaucoup de points restent un mystère sur ce jeune homme, il est assez difficile à cerner.



♦ Histoire :

Light Moon, Dark Cemetry

Qui, dans ce vaste monde, aurait pu prédire que je rejoigne les contrées de Suna. La vie révèle parfois certaines surprises, tout comme la mort. Mais, pour ma part, ma naissance fut ponctuée de chacune d'entre elles. La famille à toujours été quelque chose de flou pour moi. Je n'ai jamais eu aucun renseignement sur mon Père, et ma Mère ... C'est une autre histoire. J'ai eu du mal à le comprendre ; ce plaisir particulier à dormir dans une tombe. C'est lorsqu'un étranger vint me conter cette histoire que je compris le sens de famille.

Non loin du village caché de Suna, vivait autre fois une femme. Elle refusait de se joindre à la communauté, et d'en obtenir la protection. Sa maison était la seule située hors des remparts de l'imposant et charismatique village du Sable. Son goût prononcé pour la liberté et sa volonté d'indépendantisme lui avait valu le courage de s'installer à l'écart du peuple. Mais, la sécurité n'étant pas de mise, et la maisonnette plutôt charmante, des pilleurs ont fait une entrée une nuit, et saccagé la demeure de la jeune femme pour n'en laisser que les babioles les moins intéressantes. Au lendemain, un amoncellement de personnes circulaient autour du jardin dans lequel même les camélias avaient cessé de vivre. La mort se sentait à plein nez. La demoiselle avait laissé la vie dans cet assaut, mais le courage n'est pas toujours suffisant pour protéger ce qu'on aime. Une pluie diluvienne tomba le second jour, l'enterrement avait lieux dans une des météo les plus macabres. Le tonnerre grondais et l'homme animant la célébration avait du mal à se faire entendre. Un trou se creusait dans le sol, arrachant les herbes, et les plantes qui se trouvaient là pour glisser un cercueil au fond du gouffre. La terre qui recouvrait la tombe n'avait plus la moindre trace de végétaux. Mais les plantes renaîtront de leurs cendres sur la parcelle de terre, ce qu'un humain ne peut se vanter de faire. Un moment de silence. L'irruption d'un pleur arrêta net les individus qui se retournaient vers le village. Personne n'avait de larmes aux yeux, cette femme était une inconnue pour le village. Mais une personne pleurait, il n'y avait pas de doute. C'était les cris d'un enfant, ou plutôt d'un nourrisson. Un homme assez âgé s'approcha de la pierre tombale et raya d'un gravât trouvé sur le sol les écriteaux gravés dessus. On pouvait y lire :

Hana Ryozo - Décédée à 28 ans.
Kawa Ryozo - Décédé à la naissance.

Avec le reste de force que l'homme avait, il ouvra le cercueil pour en sortir un nourrisson. L'homme restait d'une passivité dérangeante pour les personnes présentes qui claquaient des dents, affichant un visage ahuri. Le vieux ouvrait la bouche, prenait son inspiration, enfonçant son dentier dans ses gencives :

« Ce petit ira loin, croyez moi.»

On dis souvent que deux vies sont égales, une vie vaut une vie. J'en suis la preuve incarnée. Je n'ai jamais trouvé ma naissance différente de celle des autres. Naître dans un cimetière autour de la mort, ce n'est pas banale. Certains disent que je suis l'enfant qui symbolise la chance. J'ai toujours détesté ce surnom ; après tout j'ai perdu ma famille, j'ai vécu une enfance seul, livré à moi-même. Mais il en aurait fallu plus que ça pour me déstabiliser. Devenir un Ninja, représenter le pays du Sable, vivre dans la communauté ; c'était là l'échec de ma Mère, et je n'avais aucune raisons de mourir si tôt. Après tout, je me suis pas mal démerdé jusqu'ici ...

Mistake of the Hangman

Comme à mon habitude, je restais seul. Je m'étais posté devant l'Académie de Suna, non pas que ce soit un lieu qui me plaise, et bien au contraire j'en avais vraiment a claque de suivre des cours théorique sur ce qu'était le Chakra, et tout cela. Il n'y a que la pratique qui fait avancer. J'aimais rester à cet endroit, on y avait une belle vue du coucher de soleil. De plus le calme omniprésent m'était plus apaisant que ces enfoirés de voisins à la silhouette bien grasse qui gueule comme des porcs tout au long de la journée. Une petite bande du quartier venait mettre fin à ce moment que je chérissait tant. C'était Akiko et ses fidèles serviteurs. Je n'étais pas réellement en état de me battre, regardant une nouvelle fois la bouteille de Saké qui était complètement vide, je n'arrivais même plus à y lire les inscriptions. A la vue de leurs armes, je n'avais qu'une solution honnête : fuir.
Je prenais mes jambes à mon cou et détalais dans la direction opposée. Il me courrait après, Akiko en chef de file ... Apparemment ils en avaient après moi. Ces pauvres gamins errant n'ont vraiment aucune occupation, ni aucune notion de courage. En venant à cinq contre un, armés, contre une personne à moitié ivre, on pouvait effectivement dire qu'ils mettaient toute les chances de leur côté. Je m'amusais de leur lâcheté à en exploser de rire. Je me déplaçais fébrilement jusqu'à un magasin abandonné dans lequel je trouvais refuge. Le silence était impressionnant, je dirais même inquiétant. Je me déplaçais dans les rayons et m'intéressais plus à la crasse et la poussière qui se soulevais des babioles que des babioles en elles-même. Mon opposant entrais dans un fracas, tout en lançant un Kunai au rebond. Je remarquais son agilité avec stupeur. Mais mes réflexes se voyaient augmentés à cause de l'abus de substance alcoolisée. Ses petits chien n'avaient visiblement pas réussi à le suivre, le combat devenait effectivement plus intéressant et plus égal, si on oubliais le passage de l'alcool. Il se jetait sur moi tel une furie. Bien que le mouvement précédent m'avait paru trop lent, celui-ci n'était pas de la même trempe. Mon cerveau me jouait des tours, le temps n'était plus une valeur sure. Mon ennemi était plaqué au sol en plein vol. Cette vision m'était hilarante. J'aurais aimé pouvoir voir son visage au moment ou sa trajectoire à dérivée pour rejoindre l'attraction terrestre. Dommage qu'il porte à longueur de journée ce masque si laid. Après tout s'il est plus laid que ça au-dessous je pourrais le comprendre.
Mon esprit entrait dans des raisonnements inutiles et qui ne faisait que compliquer la situation. J'en revenais au moment où Akiko tombait au sol, et observais à ma droite un homme, assez trapu, un bon mètre quatre vingt dix, un sabre à la main prêt à me découper en rondelle. J'aurais du y penser plus tôt, la grosse bête s'empare de la petite, mais s'il y a une double ration, il va de mise que l'individu se fera un plaisir de trancher un gosier de plus. Il avait bien remarqué ma passivité, et mon incompréhension totale de la suite des péripéties. Il ne mit pas plus de dix secondes pour me faire assoir sur une chaise et m'enrouler une corde autour de mes membres principaux. Pieds et poings liés, j'observais mon voisin qui était dans la même posture que moi, plongé dans le vide et l'inconnu. Je m'endormais pris dans la spirale de l'alcool et de la fatigue. Ce n'était vraiment pas la bonne journée pour se la couler douce avec un petit apéritif.

...

Je m'éveillais dans un léger sursaut, la bouche un peu pâteuse, une petite gueule de bois. J'entendais à nouveau ces cris de discordes ; ce sont eux qui m'ont permis de mettre un terme à ce sommeil. Il faudrait d'ailleurs que je pense à acheter un réveil avec les mêmes tonalités, je reconnais que le mien est peu efficace... Me retrouvant seul dans la pièce, j'en concluais que mon cher ami Akiko avait été pris pour la victime de service et que mon tour viendrait sous peu de temps. Je tirais sur mes liens, ils étaient bien noués, il me fallait trouver une solution rapide et efficace. J'observais l'environnement, les objets qui m'étaient à disposition, un Katana de décoration m'intriguait, je me déplaçais sur ma chaise en donnant de petits a coup du bassin. Je reconnais que la déception me touchais à ce moment là ... c'était un jouet pour les gosses. Il me fallait changer d'horizon. Je me souvins que notre combat avait laissé quelques bout de verre qui me seraient surement utiles. Arrivé à ma destination, je me saisissait de l'un d'eux et animait ma libération d'un grand geste d'étirement, tel un lion rugissant. Malheureusement je ne savais pas vraiment rugir, et j'aurais pu me faire remarqué alors je me contentais d'un étirement.
Je poussais la porte d'entrée, avec la volonté indéniable de partir, ce chien d'homme masqué pouvait bien m'attendre, c'était sa leçon. Quoi que, j'aurais bien aimé le tuer de mes propres mains et dormir dans mon cercueil habituel avec ses organes chauds auprès de moi. Les cris de douleurs m'insupportais. Je relâchais la porte battante et me retournais vers la provenance du son strident. Je repensais aux points commun que j'avais avec cet homme, même si nous essayons parfois de nous entretuer, nous restons les mêmes. Et sans ce rival qu'est ce que je pourrais m'emmerder. Je n'avais pas d'armes et rien à ma disposition à part quelques bout de verres. Mais, qui à dis qu'on a besoin d'une arme pour défaire un opposant qui fais vingt centimètre de plus que soi ?
Je m'approchais de la pièce, lugubre, sans un bruit. Je poussais la porte tout en prenant mes distances. L'homme était de dos, je n'avais rien à craindre. Mon ombre s'allongeait, elle s'approchait de lui comme un serpent. Je n'avais pas l'habitude d'utiliser ce genre de technique, ma mère m'avais toujours dis de le cacher et de l'utiliser qu'en de rares occasions. Elle disait que mon père était un Nara, il vivait de son vivant au village caché de la feuille, Konoha. Si les autorités l'apprenait, je pourrais être recherché par cette famille et tué, du seul fait que je vive à Suna et que je ne sert pas le village de ma famille. Après tout, je suis d'autant plus de Suna que du pays du feu. Je vis ici depuis mon plus jeune âge et je porte le nom de ma mère, Ryōzō. Je sentais mon ombre rejoindre celle de mon ennemi, j'aimais beaucoup cette sensation, comme un frisson de joie, comme si mon corps se nourrissait. Mon opposant se retournais , me faisant face.
J'exécutais un Mandra, pour l'immobiliser. Il n'y comprenait rien c'était hilarant, un petit sourire animait mon visage, je m'excusais à mon adversaire de ne pas le tuer avec une arme, mais lui promettais que sa mort sera originale :

« Voyons qui de nous deux est le plus endurant ! Kuhuhu. »

Je faisais en sorte que mon ombre domine son corps, pour pouvoir le manier à la perfection. J'avançais ma main autour de ma gorge, et la sienne bougeais de la même façon. Mon regard était plein d'excitation. Moi même je ne savais pas qui de nous deux supporterais cette strangulation, mais cela valait le coup d'essayer. Je serrais de toute ma force ma trachée respiratoire, entrant dans une apnée inconsciente, toussant de douleur. L'homme tombait raide mort au sol, j'en était tout ému. Je m'emparais du Katana posé au sol et tranchais les liens qui scellais les membres d'Akiko, avec nostalgie. Je voyais pour la première fois le visage du jeune homme, je sentais qu'une pudeur s'installait entre lui et moi. Non pas à cause du sang qui dégoulinait de son visage, mais à cause de ces yeux blancs immaculés. Je connaissais bien ces yeux et je ne me trompais pas. Pour le rassurer, je faisais danser mon ombre, afin qu'il ne se sente pas le seul de nous deux a avoir un secret. Je réalisais que malgré nos caractère, au fond, nous étions les mêmes. Je sortais de ce magasin et me jurais de ne plus y remettre les pieds. Personne n'avait observé la cène, c'était l'essentiel. Mais la bande à Akiko courrait en ma direction. J'affichais une expression l'air de dire : " Allé ça recommence...". Mais Akiko prenait les devant, et s'attaquait à ses alliés. Je compris qui cet évènement qui nous lie était pour lui un lien fort qui ne pouvait pas être rompu, même pas envers ses plus fidèles amis de son enfance. Il est vrai que ce sentiment me parcourait, je me lançait à l'assaut du dernier ennemi, Akiko furieux en mobilisait trois d'entre eux. Notre combat d'équipe était vraiment intéressant, comme si j'avais fais ça toute ma vie. Un coup de boule m'avait suffit pour assommer mon opposant. Au contact avec sa tête je sentis une légère différence de force. Ma main se glissait devant ma bouche, pour montrer que je n'avais pas fais exprès. Akiko s'approchait de moi, et me disait par l'intermédiaire de son masque :

-- Arrête de rester dans ton coin et rejoins les ninjas de Suna, je compte m'engager demain, viens à l'aube devant la tour du Kage. Nyark nyark

Je ne répondais pas, je partais dans la direction opposée en laissant échapper un sourire malicieux, en signe d'acquiescement.