.:: Umiko...

Nom : Je l'ignore, j'aimerais bien le savoir pourtant.

Prénom : Ma mère m'a intitulé, Umiko, l'enfant des mers.

Age : Actuellement, j'ai 20 ans, je suis jeune et pourtant...

Sexe : Je crois que le mystère est résolu.

Village : J'ai été élever dans le village caché de la roche. Mais j'ignore d'où je suis originaire.

Rang : Tsuchikage

Description Physique :

Je ne me sent pas être une fille jolie, j’ai ouïe dire que je ressemblais à ma mère que j’ai gardé l’éclat qu’elle avait peu avoir étant vivante. Je mesure un mètre soixante quinze et mon poids ne vous regarde pas. Je porte des. Je dirait que mon physique est assez commun. N’importe qu’elle autre femme pourrais s'identifier à moi et inversement. Des cheveux brun, oui je ne suis pas blondes, assez long, je n’aime pas me les faire coupé. Mes yeux sont de forme amande, de couleur noir comme ceux de mon père. Je ne pourrais vous dire se que je porte car j’en change chaque jour et oui comme tout le monde normalement. Mais je pourrais vous en dire un peu plus sur mon style vestimentaire. Je suis une adepte des pantalons évidemment beaucoup plus pratique dans le monde dans lequel nous vivons. Pour le haut, le porte le plus souvent des débardeurs qui me permette de mieux exécuté des mouvement avec mes marionnettes. Bien évidemment, je porte le bandeau du village caché de la roche sur moi, autour de mon cout signe de ma loyauté envers se village qui m’a temps donné alors qu’ils n’étaient forcément obligé de me porté attention. Et pour finir, une chose que je porte chaque jour, c’est une longue veste représentant le grade de Tsuchikage.

Description Morale :

Je suis quelqu’un de plutôt calme sur les bords, mais qui néanmoins laisse échappé un zeste de fantaisie de temps à autre. Je tien cette particularité de ma mère qui était une femme avec un tempérament assez fort. Mon côté calme viens de mon père. Étant le fils du Kazekage, il se faisait souvent petit pour ne pas subir les reproches des autres qui lui enviaient d’être bien née. En temps que Tsuchikage, je me dois d’être à l’écoute de chaque un des mes shinobis, répondre au besoin de chaque habitant de la roche. Oui, maintenir une serait sérénité est l’une de mes priorités. Cette nouvelle responsabilité m’a fait grandir. Avant je ne me concentrait que sur mon art, les marionnettes. Aujourd’hui je vous le monde qui m’entoure d’une tout autre façon. C’est cette sagesse qui m’a permit d’obtenir la confiance de mon peuple. Car ils semblait tous retissant de mon élection à grade de Tsuchikage du à mon jeune âge et au fait que je ne soit pas née à Iwa. En effet, ils avaient raison de se méfier. Pourquoi serait-je leur Kage si je n’ai pas d’attache propre à ce village ? Tout simplement car j’ai une dette envers eux tous. Je leurs dois tous le faite de m’avoir si bien accueilli. De m’avoir permit de grandir dans se village alors qu’ils auraient bien pu me laissé mourir. Oui, c’est pour tout cela que je me devait de les protégés au péril de ma vie. C’est vers ce chemin que se dirigeait mon nindo…

Histoire :

C'est ainsi que tout commence...

Un amour impossible entre deux personnes que tout oppose, c’est ainsi que tout commence. Suna et Kiri n’ont jamais été très proche et pourtant, deux de leurs habitants vont faire basculer les choses.

Tsuya, j’ignore qu'elle est son nom mais cette femme est ma mère. Elle fut l’une des ninjas du village caché de la brume. Fervente, au service de son village. Elle fut très rapidement un élément clés pour le Mizukage de l’époque. Diplomate, forte, et soigneuse à ces heures perdues. Elle savait tout faire et c’est ainsi qu’elle était devenu le bras dois du Mizukage. Membre important du conseil de Kiri, aucune décision ne pouvait être prise sans sa présence. Vous me demanderez pourquoi ? Je vous dirais, que l’ignore moi-même. La seule chose que je sais, c’est que le Mizukage s’était amouraché d’elle… Tsuya, elle fut le fruit d’un amour entre deux habitants du pays de l’eau. Deux personnes banales travaillant comme artisan. Son père, mon grand père était peintre dans le bâtiment. Sa mère, ma ba-sama, était vendeuse de fruit et légume. Rien ne la prédestiné à devenir une grande Kunoichi de la brume et pourtant. A l’âge de douze ans, elle décida de donné un sens à sa vie en s’inscrivant à l’académie des ninjas de Kiri. Peu de temps après elle prit conscience comme bon nombre de supérieur qu'elle possédant de grandes aptitudes. Ainsi elle passa les échelons avec une grande aisance jusqu'à devenir Juunin de la brume. Ces parents, mes grands parents, avait finit par rendre l’âme d’une mort naturel. N’ayant aucune autre attache, elle décida de voué sa vie à servir son village corps et âme. Elle attira très vite l’attention sur elle. Le Mizukage l’avait remarqué, et se fut pas ces capacités seules qui l’intéressaient. Tsuya, comme son l’indique était comme un éclat de beauté. Elle ne laissait personne indifférent. Mais trop prise par son travail elle ne remarquait en rien les avances des hommes pas même ceux du Mizukage. En effet, comme je vous l’ai dit, elle avait donné son âme à son village et ne voyait rien autour, jusqu’au jour où…

Satoshi, j’ignore également son nom, mais je peux vous dire que cet homme est mon père. Ninja lui aussi, mais du sable. Oui, de Suna. Il n’avait pas le talent de ma mère mais n’était pas pour autant un ninja de bas étage. Il avait atteint le rang de Juunin lui aussi et c’était spécialisé dans le Kugutsu. L’art des marionnettistes. Suna était un village assez pauvre à l’époque, et n’avait pas la même philosophie que Kiri qui eux pratiquaient des méthodes archaïques pour sélectionné leurs meilleurs shinobi. Issu d’une famille de ninja, mon père avait une voie toute tracé, il n’avait guerre le choix que de suivre la voix de son père qui était le Kazekage en personne. A la fois moqué et envier par tous, il fallait qu’il face ces preuves plus que les autres car bon nombre de personne le disait faible et privilégier. Jusqu'à sa mort il aura tenté de prouvé qu’il était un ninja comme les autres pas un simple fils de Kage. Avoir un ami venait du village caché de la roche n’arrangeait pas les choses. En pleine guerre ninja on le disait traite se mêlant à l’ennemi. Sans son père il serait mort assassiné plus tôt que prévu. Ainsi les guerres entre village faisaient rage et mon père servait le sien même s’il devait en mourir. Au fond de lui, il rêvait d’une vie meilleure sans toutes ces hostilités. Il ne cessait de répété qu’il était née dans la mauvaise époque voir dans le mauvais monde. C’est ainsi qu’il voyait là vie.  Mais comme je vous l’ai dit il n’avait guerre le choix que de ce plié à cette règle. Il avait toujours pensé que sa vie serait faite que de batailles, que de morts. C’est lors d’une mission d’infiltration que sa vie bascula…

Un soir, seul venant de Suna, infiltré dans le village caché de la brume. En pleine mission d’espionnage. Devant récolter des informations primordiales pour contrer la puissance de Kiri. Tous se passaient bien jusque là. C’était sans comptait les excellentes facultés de ma mère à la détection ennemi. Kunai sous la gorge, mon père était à sa merci. En y réfléchissant bien, je ne serais sans doute pas née si les évènements qui allait suivre n’avait eu aucun effet sur elle, la femme qui avait donné son âme à son village. Tournant sa tête pour regarder droit dans les yeux l’individu qui allait mettre fin à ces jours, mon père vit qu’il s’agissait d’une femme. Et quelle femme, une beauté sans pareil. Un cours instant il s’était même demander pourquoi cette femme était ninja. Elle méritait tellement mieux selon lui. Tsuya, ma mère, elle eu un sentiment étrange quelle n’avait jamais ressentit auparavant. Un stress inhabituelle l’avait envahi, son cœur se mit à battre a toute à allure. D’un geste de défense elle s’écarta de mon père pensait que son comportement était du à un Genjutsu. Non mère, se n’était pas une technique. C’était se que bon nombres appelaient, le coup de foudre. La foudre avait donc frappé ma mère et mon père. Les rendant incapable de s’attaqué l’un l’autre. Et pourtant, mon père était un intrus venu récupéré des informations confidentiel pour contre attaqué le village pour lequel ma mère était dévoué. Étrangement, tout cela était devenu que des petits détails. A cet instant, j’étais fier de les avoir pour parent. Parlant de longues heures, ils partirent mieux se retrouvé dans un lieu sure, sans guerre, sans ninja, juste eux. C’est ce qu’ils pensaient mais c’était loin d’être le cas. En effet, un shinobi de Kiri les avaient suivit et constata les fait et en déduit immédiatement que ma mère trahissait son village pour un ninja ennemi. Foutaise ! Il alla immédiatement informer le Mizukage de l’époque qui fut fou de rage, lui qui avait tout fait pour attiré l’attention de ma mère sur lui et qui au finale avait été devancé par un autre homme qui plus est venait d’un village ennemi. Sans attendre il envoya une unité mettre fin à leurs vie tout les deux…

Seul, mais héritière...

La chasse avait durée trois longues années. Entre temps j’étais venu au monde sous la crainte et le stress de mes parents. Toute fois, ma mère ne manqua pas de me donné un prénom, un prénom unique qui reflétait parfaitement qui j’étais et d’où je venais. Elle m’appela Umiko, l’enfant des mers. Pour ma sécurité j’avais été confié au meilleur ami de mon père un shinobi d’Iwa. Je fus donc élevé dans le village caché de la roche connaissant parfaitement l’histoire de mes parents, la chasse qui avait été faite contre eux, la souffrance qu’avait ressentit ma mère en me laissant dans ce village. J’eu la chance d’avoir été élevé par un homme bon, qui m’avait enseigné pas mal de chose. A l’âge de douze ans comme ma mère, je lui fis par de mon désire de devenir un shinobi. A son visage je savais qu’il s’y attendait et sortit dans les fins fonds de son placard une marionnette, là, marionnette de mon père le shinobi du village caché du sable. A cette instant j’ignorais qu’elle était le nom de ma mère, qu’elle était le nom de mon père, mais je savais une chose et cette chose était que j’étais née d’un amour vrai et sincère. Je sais que j’étais aimé par mes parents et qu’il n’avait guerre un le choix que de me laissé grandir dans ce village, Iwa Gakure no Sato.  Au file du temps, j’avais donné un sens à ma vie, mes parents étaient morts mais je les représentaient tout deux. Le temps passait et je devenais une Kunoichi de plus en plus importante pour le village caché de la roche. J’avais gravis les divers échelons au fur et à mesure que mon talent de marionnettiste grandissait. J’avais reçu ce don de mon père, la diplomatie et le chakra impressionnant de ma mère. Et c’est grâce à tout cela que je fini par devenir Tsuchikage, cheftaine du village caché de la roche…

Aujourd’hui, je représentais les villages d’Iwa, je me devais de protégé se village sous les regards de mes chères parents qui devait sans doute être très fière de la femme que je suis devenu. Tout un peuple comptait sur moi, et je n’avais qu’un seul et unique but, mettre terme à toute guerre ninja. A cause de tout cela je me retrouvais seul. J’étais encore jeune, j’avais encore besoins d’eux, et les guerres me les avaient pris sans même me demandé se que je pouvais ressentir. Je n’avais aucunes rancunes contre Kiri et Suna, au contraire. Une nouvelle génération de ninjas avaient prit place et je me devais d’instauré la paix. Et le grade de Tsushikage me le permettrais…

Et c'est à ce moment même que ma vie commence...