FB: Rencontre Inattendu [Akiko]

Chapitre un : Le commencement.
Un rencontre inattendu, un jeune garçon, pourquoi est-il là ?

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Fière d’en être arrivé là… Mais pourquoi ?

Le pays de la roche, j’en connaissais tout les coins et recoins. Etant enfant, je voyageais souvent à travers les divers villages qui arborais cette contré. J’étais devenu un membre important de se pays, et c’est se qui me valait d’être souvent présente aux cœurs de divers problèmes que pouvaient rencontrer le pays de la roche. Je prenais mon rôle très à cœur. On m’avait donné une lourde responsabilité car un peuple tout entier croyait en moi. Je me devais de m’appliqué chaque jours pour répondre aux besoins de chaque un de mes habitants. J’étais fier de mon village, fier de ce qu’il était devenu. Je ne dirais pas que tout cela est du a mon travaille, non, se serait très prétentieux de ma part. Je dirais plutôt que c’est le travail de chaque un d’entre nous. Nous sommes Iwa Gakure no Sato. En effet, je ne suis pas seul dans l’histoire, j’ai besoin de tout le monde pour avancer. En quête d’une paix durable, il à fallu que je j’impose se petit corps de femme que j’avais. J’avais réussi en quelque sorte en changer les idéaux du village caché de la roche. Tous, nous vivions bien, paisiblement, à l’abri de toute guerre, enfin, c’est se que nous pensions. Il fallait dire que jusqu'à maintenant, je n’avais jamais était confronté à une situation de crise. Mise à par quelques petits coups d’états de certains mercenaires qui me croyait faible. Croyant profiter de la faiblesse d’une femme, ils semaient la terreur dans certain ville du pays de roche. J’étais parvenu avec l’aide de mes shinobis à tous les arrêtés. Mais se genre de situations n’avaient pas pour autant prit fin. Je me devais de resté en alerte pour protéger mon village. J’avais réussi à gagner leurs confiance, il ne fallait pas que je la perde…

En quête d’une paix sans faille… Pure utopie ?

Il fallait que tout cela cesse, toutes ces guerres inutiles. C’est pour cela que je vivais, pour mettre un terme à toutes ces tueries. Étais-je folle de croire qu’un jour le monde dans lequel nous vivons trouverais la paix ? Sans doute. Mais je n’y pensais pas, je ne pensais qu’à l’avenir, au résultat de cette quête de paix. Je ne voulais pas me résoudre à croire que mes idéaux ne puissent se réalisé. Non, il fallait que j’y croie. Sans sa, je n’aurais sans doute plus le gout de vivre. La vie n’aurais aucun sens à mes yeux si nous étions résolut à combattre jusqu'à la vie de ce cher monde. Il ne fallait pas que j’abandonne, même si cela prendre toute une vie, j’essaierais, je réussirai à instaurait cette paix dont je souhaite. J’étais jeune, à vingt ans, j’avais toute une vie devant moi pour réalisé mon rêve et même le voir grandir. J’avais tant perdu, Tsyua, Satoshi, Miharu et tant d’autre, tous des personnes chère à mon cœur. Tous morts à cause des guerres entre ninja. En même temps, si je voulais instaurer une paix durable, il fallait que tout les éléments nuisible disparaisse, cella était donc finir en un cercle, vicieux et sans fin. Plus il y a de morts, plus on tue et plus on tue, plus il y de morts. Non, il y avait sans doute un autre moyen il fallait que je réfléchisse. Je passais mon temps réfléchir, après tous, j’étais seul, sans attache, mise à par mon peuple. Au fond de moi j’étais triste, triste de ne pas pouvoir rire bêtement, triste de ne pas pouvoir pleuré de joie. Oui, pour faire cela il fallait une vie heureuse. Ce qui était loin d’être le cas de la mienne. Sa pourrais paraître égoïste de ma part, mais aussi pour cela que je désirais tant cette paix…

Mon art, une obligation ? Non… Une passion !

Étant enfant je trouvais sa amusant, c’était un passe temps après chaque un des mes cours quand j’étais à l’académie des ninjas d’Iwa. J’adorais sa, construire une marionnette, un pantin articulé dont j’avais le doit d’en faire se que je veux. Certain avaient des formes assez étrange, c’était fait exprès, je vous les dits c’était une passe temps. Oui je m’amusais beaucoup. Mais au fur et mesure que je grandissais, se soit disant « Passe temps » était devenu une véritable passion. J’avais hérité du don de mon père, celui de pouvoir manipuler les pantins que je créai avec mon chakra. Ce fut étrange de voir une Kunoichi de la roche manipulé les marionnettes. Après, je n’étais pas vraiment de la roche, j’étais un mélange de Kiri, et de Suna. Pendant de longue année, jusqu'à l’âge de mes quatorze ans, je fus le sujet de divertissement de bons nombres d’habitants d’Iwa. Ils s’amusaient tous à me regardant faire gesticulé ces pantins désarticulé. C’est ainsi que je su dans quelle direction je me dirigeais moi, en temps que Kunoichi. Je fis de cette passion mon arme principale pour tout combat que je disputais. J’avais affiné mon style, de telle sorte que mes opposants ne pouvaient voir les gestes de mes mains. En quelque sorte, cela m’évitait de me battre moi, je laissais mes pantins le faire à ma place car pour moi, c’était ainsi que chaque personne devais agir. Sa ne devait pas être un simple combat ou le sang gicle dans tout les sens. Non, on devrait plutôt prendre cela comme un sport sans guerre ou le gagnant heureux sa victoire et le perdant simplement déçu de sa défaite sans douleur, sans haine. Un simple sport…

Et maintenant ?

Aujourd’hui je suis là, m’attelant à mes tâches habituelles. Des paperasses, rien de plus, rien de moins. C’est ça être Kage. Aux premiers abords, cela ne parait pas très excitant. Vous devez sans doute vous dire que je dois m’ennuyer à mourir. Non pas vraiment. C’est rôle que j’ai choisi, et en aucun cas cela ne dois me déranger. Perché en haut de ma tour de Kage, j’en avais terminé avec tout ce qui était administrative. J’avais un peu de temps pour moi. Le village tournais rond, sans débordement, j’étais enfin libre pour le peu de temps que sa allait durée. J’avais donc décidé de marché un peu dans les rues du village à la rencontre des habitants de la roche. C’est une chose que je faisais souvent, une activité que très peux de Kages prenaient la peine de faire. Mais pour moi s’était une façon de m’intéressé au peuple qui m’entourais. Ainsi, ils avaient tous l’habitude de me côtoyé, de me voir grandir en même temps qu’eux. Je passai une bonne heure en leur compagnie, mais si je voulais un peu de temps pour moi il fallait que je les quitte. C’était une belle journée pour se rendre au pleine de la roche. Un endroit très paisible, plat, immaculé de blanc sur le sol. Un endroit agréable et beau avoir. J’adorais m’y rendre, ce fût ma destination une fois que j’avais quitté les rues du village. Arriver au lieu énoncé auparavant, je me posai délicatement sur un rocher pour ainsi contemplé le travaille que dame nature nous avais fait. Néanmoins, je ne fus pas seul très longtemps sur les lieux, en effet, je voyais une silhouette s’avancé vers moi, il s’agissait d’un jeune adolescent, vu son physique. Je ne pouvais en dire plus étant donné qu’il portait un masque étrange, similaire à ceux des Anbu de Konoha. Qui était-il ? Il semblait lui aussi m’avoir vu, le mystère allait sans doute être élucidé car j’avais décidé de prendre là parole.

Umiko : « Hum… Que fait tu ici toi ? Je suis persuadé de ne jamais t’avoir vu dans les parages. Tu n’es pas un habitant d’Iwa, sans quoi je le saurais. »

Iwa? C'est couleur caca!

Saleté de réveil bon pour la casse, moi qui comptait me levé tôt la matinée commençait mal. Il était environ dans les dix heures du matin, m'habillant assez rapidement je me rendais dehors pour y respiré l'oxygène, pour me sentir libre, pour me sentir vivre. Le soleil n'était pas au rendez-vous aujourd'hui le temps était voir même assez grisâtre. Regardant en l'air je me demandais bien quand la pluie commencerait à faire son apparition, espérons que cela n'arrive point bientôt, je n'aimais pas trop être tout mouillé, l'eau n'était pas mon fort. Portant toujours mon masque au visage je me baladais dans les rues de Suna, à la recherche de quelque chose d'assez particulier, un magasin qui venait d'ouvrir ses portes, apparemment leurs masques étaient des plus splendides. Je ne connaissais ni le lieu ni l'endroit j'espérai seulement pouvoir trouver cette foutue boutique. De longues minutes passèrent et au final je n'avais toujours pas trouvé ce foutus lieu, je pensais dans les moindres petites ruelles sombres de Suna, je croisais quelques fois de vieilles connaissance à qui j'avais mis d'énormes raclées en combat, c'était comique de les voir s'écarter du chemin quand je passais, pitoyable être qu'ils étaient. Souriant comme d'habitude je me rendais à l'évidence il fallait vraiment que j'arrête de cherché, mais si cette boutique n'était pas dans ce village, j'allais cherché ailleurs, dans un village que je connaissais particulièrement bien pour ses catins des plus splendides, le village caché de Iwa. Rien qu'à y penser cela me donnait une certaine envie de m'y rendre, et puis merde c'était décidé, Iwa j'arrive! Je retournais alors chez moi pour y prendre quelques objets on ne sait jamais si je me faisais attaquer il fallait que je puisse me défendre.

Au bout de quelques minutes j'avais enfin réunis quelques armes, sortant de ma demeure, je pus constater que le temps n'avais toujours pas changé, espérons qu'il soit meilleur à Iwa. Me rendant vers la porte du village je pouvais voir que les habitants me regardaient avec dégout comme si j'étais un monstre parmi leurs si beau monde. Mais je ne faisais rien, j'essayais de me calmer en ce moment, même si la haine que j'avais en moi me chuchotait des mots si cruels des fois, des mots qu'ils ne peuvent être prononcés. Continuant de marcher comme si de rien n'étais, je fus percuté à l'épaule, me retournant plein de rage j'allais tabasser celui qui m'avais fais ça, mais à l'a vus du petit enfant aux affaires troués, chifonnés avec ce fruit de la main, je compris vite, quelques secondes plus tard déboulais un marchand furieux, il ne fallait pas qu'il trouve le garçon sinon il allait lui faire la peau. D'un petit geste du pied, je faisais un splendide croche-patte aux marchands qui vint tomber lamentablement sur le sol tel une grosse merde. Souriant légèrement je fis signe au petit garçon de courir, ce qui fis sans perdre une seconde. Pourquoi avais-je fais ça? Et vous qu'auriez vous fait? J'avais vécu ce que ce petit mioche pouvais enduré, il ne volait que de la nourriture, il essayait de combler son besoin primaire, se nourriture. Je ne pouvais rien y faire, je possédais certes une grande folie mais j'avais un bon fond, c'était aussi simple que sa. Arrivant aux portes je pus croisés les gardes, je ne les aimais pas beaucoup, je les détestais, j'avais pour habitude de leur glisser quelques mots avant de quitter le village, mais aujourd'hui je fus surpris de voir que c'était réciproque, en écoutant les piètres paroles de ces singes sans cervelle:

« Hey petit chieur, tu t'en vas définitivement du village?»

«Non je vais voir ta mère à Iwa, il paraît qu'elle prend pour pas chère, de toute façon vus ta sal gueule elle doit pas faire rentrer beaucoup d'argent. » répliquais-je sans perdre une seconde

Riant de toutes mes forces je pouvais voir le garde qui essayait de se rendre vers moi pour me tuer, mais son coéquipier le bloquait, il savait que c'était peine perdue, j'aurai pus le laissé là sur le sol en sang tel une grosse merde. Il ne faut jamais provoquer un homme qui vis dans le mal. Je commençais alors à courir en effet je voulais me rendre à Iwa le plus rapidement possible, pas le temps d'admirer le paysage, je voyais seulement quelques couleurs, jaune, vert, marron caca. Et oui j'approchais du village de Iwa, cela se voyais au vue des montagnes que j'apercevais au loin, espérons que les gardes me laisse passer. Mais très vite je fus rassuré, je n'allais pas à devoir grimper toutes ces montagnes en effet je pouvais apercevoir une plaine qui s'étendait devant mes yeux, le sol était immaculé de blanc, ce qui rendait le paysage assez mystérieux. J'avançai tel un serpent dans le désert, j'essayais d'être discret même si je pouvais percevoir au loin une femme, à en voir les courbes il s'agissait surement d'une femme, je ne savais pas que les catins traînaient aussi dans les plaines, mais j'étais ravie de l'apprendre, m'approchant de celle-ci je pus voir qu'elle était vraiment magnifique, je restais bouche bée devant cette beauté de la nature, oh oui j'espérai qu'elle était une catin, de plus elle commença la discussion alors que je ne lui avais rien demandé cela paraissait intéressant et très prometteur:

« Hum… Que fait tu ici toi ? Je suis persuadé de ne jamais t’avoir vu dans les parages. Tu n’es pas un habitant d’Iwa, sans quoi je le saurais. »

« Je suis à la recherche de femmes pour remplir mes désirs, je ne suis pas d'ici bien sûr, se sera combien pour l'heure sinon? Autant parler affaire maintenant » disais-je d'un ton ironique

La regardant avec un air assez sérieux je me demandais bien qui pouvait être cette femme, elle était si gracieuse, si jovial qu'elle me donnait envie de lui donner mille baiser, ou alors de me reproduire avec celle-ci, je pouvais être son esclave sexuel tout ce qu'elle voulait mais je la désirais plus que tout. Regardant autour de nous je vus qu'il n'y avait pas un chat, c'était vraiment tranquille, c'était parfait et à prévoir si des choses érotiques se passaient en ces lieux. Malicieux comme deux, je ferais tout pour avoir ce que je voudrais, son corps.

Chapitre un : Le commencement.
Un rencontre inattendu, un jeune garçon, pourquoi est-il là ?

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Jeune Garçon assez frêle…

J’avais donc eu bon. C’était effectivement un étranger dans le pays de la roche. S’il venait d'un pays voisin, cela voulait dire qu’il avait fait surement un long voyage pour venir ici. Mais quel était l’objet de ce déplacement. Que faisait un jeune homme seul voyageant à travers les différentes contrées ? A première vu s’était un jeune homme typique au niveau physique. Mais il semblait cacher quelque chose d’atypique caché derrière son masque. Avait-il une cicatrice ? Le visage complètement brulé ? Ou était-il si moche que se masque fut sa seul option pour ne pas effrayer le monde ? Je me posais toute ces questions qui m’amusaient fortement d’ailleurs car, j’imaginais toute les solutions possibles et l’idée qu’il soit moche me fit faire un léger sourire. Je n’allais pas m’esclaffé de rire devant se garçon même si j’en avais très envie. Je pus déceler en lui un niveau assez faible car oui, il était un ninja cela ne faisait aucun doute. Il avait sur lui tout un attirail visant surement à le protégé de toutes situations hostiles. Il avait maximum, le niveau d’un Genin, raison de plus de se demander pourquoi sa venu ici. C’est donc ainsi que se jeune garçon m’interpella. Les questions que je lui avais posées furent répondues immédiatement par le jeune garçon. En tout cas, il n’était pas la pour des raisons de guerre et se fut une bonne nouvelle. Sa je le su immédiatement car son niveau et son attitude ne se rapprochaient pas de se genre de choses. Non, il était là pour autre chose, une chose bien précise, il ne semblait pas être juste venu pour la beauté du paysage. Non, il était aussi là pour une autre beauté, mais la quelle ? Hum…

Ce garçon… Sale Garnement ! Sale Gamin !

Ce sera combien l’heure ? Il avait dit autre chose mais c’est cette question qui me marqua le plus. Pour qui me prenait-il se gamin ! D’autant plus que justement se n’était qu’un gamin. Je ne cherchai pas à comprendre plus, ni à analysé le ton qu’il avait prit pour posé cette question. Blague ou pas le mal était déjà fait. Ce petit pervers était là juste pour assouvir ces petites envies de puceau. Ces plaisirs solitaires ne lui suffisaient sans doute pas, il lui fallait plus. Oui, comme vous pouvez le voir, ce gamin avait fait ressortit une autre facette de ma personnalité. Oui, j’étais quelqu’un de très gentil, mais il ne fallait pas abusé de celle-ci. En effet, j’avais une autre facette, une sorte de fantaisie, que les gens irrespectueux faisait ressortir en moi et ce gamin n’avais pas fait exception. Je ne lui montrais aucune expression fâcheuse. Rien de cela n’apparaissait sur mon visage, au contraire, je lui fis un grand sourir lui tendant ma main en m’avança vers lui. A cette instant, plus rien ne comptait, se gamin m’avait manqué de respect moi, le Tsuchikage de la roche, il ne manquait plus que sa. Etant face à lui mon sourire était toujours au rendez vous ainsi que ma main tendu. En une fraction de seconde mon visage avait prit un ton de rage absolu et ma main tendu s’était transformé en un poing dans la figure caché derrière un masque du garçon en question. Ce dernier alla valdinguer un mètre plus loin, et masque ou pas, je suis sur qu’il avait sentit la douleur, car son masque fut nettement fendu sur le côté. Il m’avait cherché et il m’avait donc trouvé. Sans prendre d’information sur son état je retournai m’assoir sur le rocher sur lequel j’étais avant cette rencontre désagréable.

Umiko : « Non mais pour qui tu te prends, sale mioche… Sais tu au moins à qui tu viens de d’adresser ?! Va faire tes propositions douteuses aux femmes de ton village. »

Un regard vide… Les Hyuuga… C’était donc sa…

Brisant légèrement son masque je peux voir son œil, un œil vide de puissance. Une pupille célèbre, connut à travers le monde ninja. Le byakugan, c’était donc se qu’il cachait. Pas de cicatrice, pas de brulure, c’était sa pupille qui faisait l’objet de tout se mystère, mais pourquoi le caché t-il ? Pourquoi cacher se don héréditaire qui avait la capacité de voir le monde d’une autre façon. Je me suis dit tout de suite qu’il cachait quelque chose mise à par son dôjutsu. J’oubliai rapidement le petit écart qu’il avait fait auparavant me prenant littéralement pour une prostituée pour m’intéressée d’avantage à lui. Je ne savais pourquoi j’allais continuer à échangé des mots avec lui, mais ce fut se que je fis…

Umiko : « Qui es-tu…? »

Le Kage? On se fais une petite danse?

J'étais donc debout devant cette femme qui m'intriguais tant, elle avait l'air si calme et jovial, elle affichait même un large sourire, j'espérai pouvoir me la mettre dans la poche, mais apparemment j'avais de trop grandes attentes, quand elle entendut mes paroles celle-ci se braqua de tous son être, son sourire disparut, son air devint alors très grave. Et voilà j'avais encore merdé, il était difficile pour certaines personnes de comprendre les femmes, et j'en faisais partis à mon plus grand désarroi. La jeune femme allait me taper sur les nerfs je le sentais, mettant mes mains dans ma poche je savais que j'allais être là pendant un bon bout de temps, regardant brièvement autour de moi je pus encore constaté que nous étions seuls, c'était parfait, nous n'allions pas être dérangé pendant notre discussion, et nos ébats sexuels si il y en avait. Ce que j'espérai vraiment au vue des formes de la demoiselle se tenant devant moi. D'un seul coup cette femme me tendit la main avec un sourire des plus gracieux et accueillant, ca y est j'avais réussis à la charmer, nous allions passer un bon moment ensemble, quand soudain une énorme douleur se fit sentir sur mon visage, je tombais sur le sol poussiéreux de la plaine formés de roches, activant mon Byakugan aussitôt pour lui faire payer cet affront je m'arrêtais net, le chakra que dégageait cette personne était énorme, il était de la même densité que celui de mon Kage, comment cela se faisait-il ? J'avais donc une femme bien mystérieuse en face de moi, et d'ailleurs très curieuse, je pus croisé son regard qui essayait de discerner le mien, désactivant le plus rapidement mon Dojutsus j'espérai qu'elle n'ait rien vus, surtout que celle-ci jactait au même moment, elle essayait de me faire une leçon de morale dès plus ridicule qu'il soit, je suis un homme c'était normal que j'ai des idées tel que celles-ci, écoutant la voix aigus de la femme je répliquais sans perdre de temps à ses paroles:

-« Non mais pour qui tu te prends, sale mioche… Sais tu au moins à qui tu viens de d’adresser ?! Va faire tes propositions douteuses aux femmes de ton village. »

- A vrai dire vous avez une beauté bien supérieur aux femmes de mon village, un petit pas de danse vous dirait-il? Une petite valse, ou bien de la salsa, ou alors je connais une danse bien plus sensuelles? Quand dîtes vous ma chère?

Bien sûr que je n'étais pas sérieux, mais j'essayais d'esquivé le fait qu'elle est vus mon oeil, et j'espérai qu'elle n'avait rien vus, sinon je m'étais foutus dans une merde incroyable. J'étais n'avoir jamais existé, seul le Kage de Suna est au courant de mes origines ainsi que Kawa mon coéquipier. Mais je pus voir que la jeune femme était en pleine réflexion, elle cherchait, elle voulait découvrir qui j'étais, percé mon secret, que faire? Partir sur le champ sans rien dire, ou rester devant-elle et attendre qu'elle découvre? Non je ne pouvais pas partir comme un lâche il fallait que j'accepte mon destin, mais elle qui était-elle, car j'avais beau cherché je ne voyais pas, dans le fond j'espérai qu'elle ne soit pas la Kage d'Iwa car mon manque de respect pourrait me coûté la prison. Mais son chakra était si imposant que je me trouvais à la limite paralysé devant tant de puissance, je ne pouvais plus fuir, je devais subir, sachant que la beauté de cette femme m'envoutait, j'étais comme aspiré au plus profond de son âme ou de son décolleté profond. Et puis tant pis elle pouvait me démasquée, maintenant je m'en foutais, je m'étais toujours caché et pourquoi maintenant je ne me montrerai pas au grand jour? Comme ce cocon qui va éclore en papillon et montrer sa vrai beauté au monde. J'avais toujours été caché par mon père, mes origines je les avais toujours reniés, aucuns liens avec ma famille et je vivais mieux ainsi, mais maintenant qu'ils étaient tous morts à quoi bon me caché, à quoi bon résisté si cela me faisait souffrir. Les dernières paroles avant de mourir de mon père avait été révélatrice pour moi et des plus bénéfiques, désormais je n'avais plus aucune honte, je n'étais pas laid sous mon masques, mais les cicatrices qui y trônaient n'attiraient pas beaucoup de monde. Quand soudain la jeune femme devant moi prononça des paroles qui furent comme un choc pour moi, elle avait compris, ca y est c'était le moment venus, le dernier instant, quelques paroles, une réplique et une révélation:

« Qui es-tu…? »

-Voilà qui je suis Tsuchikage-sama!

J'enlevais alors mon masque d'un geste rapide, dévoilant ainsi mon identité, mon regard, mes yeux et mes cicatrices. Maintenant elle savait qui j'étais et je savais qui elle était, il s'agissait tout simplement de la Kage d'Iwa, mon raisonnement partait du principe qu'elle possédait presque la même quantité que Musikashi Sawen, le Kage de Suna, forcément une personne avec une tel quantité de chakra ne pouvait être que Kage. Je me sentais soudainement libéré en entendant le bruit sourd de mon masque qui tombait au sol, c'était la première fois que je l'enlevais devant une personne et étrangement cette femme m'inspirait toute confiance, je n'arrivais pas à lui mentir. Mais maintenant c'était à moi de lui poser une question, d'une voix plus amical que mes précédentes paroles:

-Alors êtes vous effrayé par ce que vous voyez? Ou éprouvez vous de la pitié comme la moitié des personnes qui verraient une chose de la sorte, et que faîtes vous en ces lieux, vous devriez être dans vos bureaux?

Chapitre un : Le commencement.
Un rencontre inattendu, un jeune garçon, pourquoi est-il là ?

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En cour.

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