[PV; Shieru Mikaerisu]Confessions

۞ Tendô s'apprêtait à se lever et aller regarder l'aube comme il le faisait tout le temps. Cela lui permettait de méditer et de réfléchir aux éléments futuristes. Est-ce qu'un jour il réussirait son nindô... Est-ce qu'il sèmerait la terreur aux yeux des criminels. Il n'avait pas la réponse à ses questions là mais en tout cas il avait bien structuré ses propres idées. Bien sûr, il savait qu'il se mettait un peu en danger dans les origines de celle-ci, mais qui ne tente rien n'a rien, c'est bien connu non ?

Il se leva alors de la chambre de sommeil où veillait toutes ses œuvres corporelles. Les six corps qui sèmerait la terreur peut être un jour. En tout cas, ceux qui avait du les confronter n'ont jamais fait leur retour, ce qui confirmait à Nagato la puissance de ses corps si .... dévastatrice. Nagato était dur, mais au fond de lui il savait qu'il faisait tout ça pour le bien de l'humanité prochaine qu'il sent arriver dans pas longtemps.

Il s'apprêta à se diriger vers la porte d'issue de sa chambre, et empoigna la poignée pour sortir de la salle de sommeil. Il se dirigea vers le toit du repère, et lorsqu'il aperçu Shieru Mikaerisu, un des membres de son organisation qu'il appréciait tant bien que mal, face au témoignage qu'il avait partagé avec Nagato. Il s'assit à côté de lui et lui dit :

- L'aube arrive. N'est elle pas belle dans toute sa splendeur qu'elle dégage de par, son aura ?! Et si un jour on y arriverait à refaire le monde, tu crois qu'il n'y en aurait plus d'aube toi ? Plus de coucher de soleil ? Plus rien ...

۞ La dernière phrase que Shieru avait dite, avait marqué Nagato. Alors comme ça, il était prêt à l'aider pour accomplir le but de l'organisation, mais il le faisait à contrecœur ! Et bien, la personne qui habite en Shieru est mystérieuse. Malgrès que la dernière fois Nagato avait eu l'occasion de parler avec lui, apparement celui-ci n'avait pas tout dis ! Il fallait resté calme, humble, froid et honnête avec ce genre de personnage. Car sinon, tout peut arriver. Mais si il devrait y avoir un combat, il était prêt à l'accueillir comme il se devait.

<< Et bien, je ne pensais pas Shieru que tu étais dans mon organisation à contrecœur. Tu essayes juste de te convaincre que c'est par ce que tu as intégré notre organisation que tu es protégé de nous alors que si tu ne serais pas avec nous, ta vie n'existerait plus dans le monde des ninjas. Je te comprend parfaitement. Mais il en faut beaucoup plus pour me déstabiliser et je pense que tu n'est pas à la hauteur pour le moment. Mais je pense que tu as raison quand tu dis que les couchers de soleil et l'aube du matin renferment des secrets. Mais avec l'objectif de la lune rouge, ces secrets seront bientôt percés ne t'en fais pas. >>

Je regardais mon Chef droit dans les yeux tout en écoutant ce qu'il me disait et en cherchant déjà ce que j'allais lui dire, il allait bientôt finir sa phrase que je regardais de nouveau le magnifique lever de soleil qui se trouvait encore devant tout en souriant et en repensant légèrement à mon passé mais son discours ne m'avait pas plus. D'où il me disait ça !!? Mon regard avait changé et sans était de même pour mon caractère. Je le regardai droit dans les yeux de nouveau mais avec un regard de colère, de haine et de mépris envers cette personne. C'est quand je voulus lever le poing sur lui que je repensais encore à ce que me disais mon père. Il me disait qu'un homme sachant contrôler ses émotions était... Toutes ses paroles étaient brouillées d'un coup, j'étais pertubé et c'était la faute de CE NAGATO ! Je le regardais encore une fois droit dans les yeux tout en serrant brusquement les dents et je le pris par le col tout en lui criant dessus.

<< Tu te prends pour qui au juste ?! Hein ?! Tu sais au moins ce que j'ai vécu en tant que gamin dans le Village de Taki ? Il n'y avait pas que le massacre de mon Clan qui ai jamais perturbé ma vie ! Tu ne sais pas à quel point je peux haïr mon Village Natal ! Et tu crois vraiment que j'ai peur de ton organisation ? Laisses-moi juste te dire que si je me suis engagé dans Akatsuki c'est pour me venger et rien d'autre. Mais je peux te dévoiler aussi d'autres secrets si tu veux... Enfin pour toi, ce ne sont pas des secrets, je lis en toi comme dans un livre Nagato ! Je sais par exemple que tes parents sont morts à cause de deux ninjas de Konoha et que c'est pendant cette période que tu as rencontré Konan et que ton ami Yahiko est mort. Comment je le sais ? Et bien car je sais manipuler les gens, regarder leurs pensées pour m'en servir contre eux à la base. Maintenant ne dis plus des choses comme ça ! Tu m'as compris ! Tu crois vraiment que j'ai peur de toi car tu es le Chef de cette Organisation ?! >>

Je ne savais pas vraiment si il m'avait compris mais je ne voulais plus repenser au passé, surtout quand c'est en rapport avec mon Village Natal, je le lâchai puis me rassis sur le sol tout en regardant de nouveau le lever de soleil qui allait bientôt s'achever devant moi et l'homme assit à mes côtés. Je m'étais un peu emporté et je ne savais pas ce qui m'avais pris mais je savais que de la Haine était parvenu jusqu'à mon coeur une nouvelle fois. Sans doute mon autre personnalité, elle ne se manifestait pas souvent ses temps-ci celle là mais elle était toujours très dangereuse. Et j'étais comme elle, c'est pour ça qu'on disais que j'étais un Prédateur, dans tout le Monde des Ninjas on me surnommais " La Vipère ".

۞ Quand le rageur de service saisit Tendô par le col de la veste décorée que porté tout les membres de l'organisation Akatsuki (décorée de nuage rouge), Nagato riait. Alors comme ça Shieru croyait qu'il l'avait atteint un point sensible chez lui alors que déjà il n'était pas au courant que celui qui venait de menacer n'était pas Nagato en personne. Tout cela était débordant d'humour pour lui et d'ailleurs dans la salle où se trouvait le vrai corps de Nagato assisté par Konan , celle-ci l'obligea à boire un verre d'eau pour calmer son rire cynique et machiavélique qui symbolisait sa puissance maléfique. Il ne prêté guère allusion au monologue de son jeune ami et il ordonna à Tendô de regarder celui-ci dans les yeux. Ce regard symbolisait tout le mépris et la pitié que Nagato portait à l'égard de La Vipère. Tout en disait long sur son regard et il n'avait pas besoin de prononcer des paroles pour se faire comprendre. Si l'avertissement était passé, il n' y en aurait pas un deuxième et ça, Nagato se le jura. Une personne avec qui discuter comme Shieru Mikaerisu, menait à une discussion très enrichissante et intéressante mais ses pulsions semblaient vite prendre le dessus et l'envers du décor.

Alors Nagato ordonna à Tendô de se levait en tournant le dos au lever du soleil magnifique qui l'inspiré tant dans l'avancement de ses intentions, et franchit l'échelle faite de bois pour rejoindre la salle de sommeil, où veillait les autres corps envahis par le sommeil pour régénérer leurs forces.La discussion était terminée et n'avait aboutie à rien malheureusement. Mais lorsqu'il était à cinq pas de la porte de la salle, il entendit des pas de courses se rapprochés de plus en plus. Tendô se retourna et fit face à eux, en position de combat.

Le regard de Nagato était si froid, il était comme moi en un peu plus généreux mais ce n'était pas son regard qui allait me faire changer d'avis et de caractère avec lui. J'en étais sûr à 100% mais il suffit que l'on détourne son regard d'une personne pour que cinq minutes après, que la personne disparaissait. C'était le cas pour Nagato, il tournait le dos au lever de soleil comme-ci nous n'avions jamais parler ensemble, comme-ci rien ne s'était passé. Il était déjà descendu sans me dire un mot, sans me regarder. Comme un fantôme, comme une personne sûr d'elle, c'est ce qui faisait la force de mon Chef, ne pas avoir peur de son adversaire et ne pas avoir de pitié pour ce dernier aussi. Je me levai à mon tour pour le rattraper et lui dire un dernier mot ou je ne sais pas quoi mais il fallait que je l'interpelle, il fallait que je descende à mon tour par les escaliers en bois, je n'aimais pas la hauteur alors je mettais un petit peu de temps pour descendre et Nagato était déjà si loin. Je pouvais à peine le reconnaître mais on ne pouvait rien me cacher, j'avais des yeux très développés mais il fallait que je le rattrape à présent. Ce qui n'était pas une tâche aisée venant de ma part, je ne courais pas très vite... Enfin c'était mon avis car beaucoup de personnes disaient le contraire ce qui me surprenais.

Plus j'allais loin et moins je reconnaissais les lieux, je n'avais jamais vu cet endroit, il était absolument inconnu ce qui me faisait froid dans le dos, je pensais absolument tout connaître de l'antre du repaire. Je venais de rattraper le Chef de l'organisation dans laquelle je mettais engagé qu'il se retourna d'un coup sec en position de garde, j'avais l'impression qu'il voulait se mesurer à moi tout à coup mais ce n'était peut-être qu'un simple impression à près tout. Je le regardai fixement dans les yeux sans le quitter d'une seule seconde, il restait toujours dans la même position mais c'est vrai qu'il ne fallait pas baisser sa garde contre quelqu'un même contre un allié et surtout face à moi. Car ce n'est pas pour rien que l'on me surnomme " La Vipère " car j'attaquais toujours en Vitesse et sans que l'adversaire s'y attende ce qui rendait le spectacle beaucoup plus amusant. Je me mis alors en garde histoire de me rassurer si jamais c'était Nagato qui m'attaquait en premier mais je ne pensais qu'il en serait capable et je ne voulais pas affronter mon Chef en plus de cela. Mais je devais lui poser une ou deux questions car des rumeurs couraient sur lui et je devais trouver des réponses pour apaiser mes soupçons.

<< Dis-moi Nagato ! D'après les rumeurs tu peux contrôler 6 corps et celui qui est en face de moi n'est pas le vrai. Les rumeurs sont-elles vrais ?
Et aussi, si ces rumeurs sont réelles alors normalement comme d'autres le disent, tu dois les cacher quelque part et ils doivent se recharger, ce n'était pas l'endroit où tu allais ?
Dis-moi tout car je veux tout savoir sur toi ! Je n'ai pas envie de t'affronter alors tu peux enlever ta garde tu sais. Regarde, je retire la mienne. >> Dis-je en enlevant les bras de devant mon corps.