Terrain d'entrainement reservé à Sasuke Uchiha

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Critique constructive) Bon, à ta demande, j'ai fait l'analyse de ton RP. Premièrement, les anglicisme c'est à éviter. Il existe des mots plus approprié en français et qui peuvent donné une tournure de phrase beaucoup plus belle.

Ex : «Cette conclusion l'avait chamboulé* et boosté à travailler encore plus, sans relâche.»

> : «Cette conclusion quelque peu fataliste l'avait grandement chamboulé et c'est ce qui lui donna cette motivation, une motivation qui l'anima directement dans ses plus profondes convictions. Il se mit donc à travailler avec davantage d'acharnement, et ce, sans relâche.»

Ta plume est à retravailler. Tu as une certaine aisance, mais je sens que tout pourrait rendre le ton plus agréable encore, en faire un truc qui coule naturellement. Pour ça, c'est pas compliquer, faut lire des romans et faut continuer à écrire. Ça vient avec la pratique. Attention, avoir une belle plume n'est pas nécessairement être prétentieux (j'ai connu quelqu'un qui avait une excellente plume, mais qui se prenait tellement pour quelqu'un d'autre que ç'en était agressant). Comme je l'ais dit à Kisame, certaine information sont de nature implicite, pas besoin de les répéter ici. Savoir ce qui est implicite et ce qui ne l'est pas fait la différence entre un amateur et un expérimenté.

Chakra s'écrit avec un "k".

La phrase «Un clone apparut à côté de Sasuke, à gauche pour être précis.» pour être dite de cette façon : «C'est alors qu'un clone fit son apparition à gauche du Shinobis.». Selon-moi, tu devrais penser à écrire à la première personne, t'as d'après-moi un vocabulaire et une façon d'écrire apte à ce style. Ceci-dit, écrire à la première personne est plus complexe que la troisième.

Les dialogues, un tiret puis le contenu verbale, c'est plus esthétique. Tu as des fautes d'inattentions, mais en générale tu as un bon français, peu de faute d'orthographe, par-contre je ne suis pas la référence sur les accords de verbe, alors je ne me prononcerai pas sur ce niveau-là. Ta ponctuation et tes accords de genre et de pluriel sont bon. Tu ne devrais pas mettre de couleur pour le contenu narratif, seulement dans les dialogues.

Alors, moi, je te donnerais +6 xp. au lieu de 5. C'était un RP de qualité moyenne-bonne, mais l'effort y était. Le changement de gain d'expérience dépend de Shieru, s'il accepte ou non la nouvelle validation.

Celà faisait maintenant presque un mois que je ne m'étais pas rendu dans ma salle d'entrainement pour apprendre une nouvelle technique. Personne d'autre ne s'y était non plus rendu, cette salle m'étant spécialement réservé. J'avais une certaine angoisse à revenir là bas pour quelques raisons que ce soit. La poussière devait avoir certainement prit le dessus sur la propreté jadis du lieu. Les araignées régnaient peut-être en reines, tuant tous les insectes s'approchant de leurs toiles. Qui sait ce qui m'attendait derrière cette vieille porte. Je n'y étais pas encore, je sortais juste de mon lit, mais depuis hier, j'avais décidé de m'y rendre pour peaufiner mon talent. Aucune odeur ne se sentait dans le couloir, tout le monde dormait dans un profond sommeil, enfin Kabuto et Orochimaru, donc personne ne faisait à manger. Je décidai de m'arrêter quelques secondes à la cuisine pour grignoter un morceau de pain rassi. Il ne restait plus que le crouton, je l'avalai après deux crocs. Ce fabuleux repas terminé, ironiquement parlant, je me rendis à la salle d'entrainement, le visage éclairé par l'envie de pouvoir, et de puissance. J'ouvris la porte tout doucement, les yeux fermés, mais les oreilles aux aguets, jusqu'à qu'elle soit entièrement ouverte. Les yeux maintenant ouverts, ce que je découvris me surpris énormément, le terrain était propre comme neuf.

Kazipo me regardait perplexe. Je ne le connaissais pas vraiment, j'avais juste discuté avec lui quelques temps une fois. Il venait d'un village inconnu de mes connaissances, et que je ne me rappelais déjà plus. Il était prisonnier, et j'étais son kidnappeur d'une certaine façon, j'étais complice dans les meilleurs possibilités. Si ça ne tenait qu'à moi, il serait déjà libre comme l'air. Mais ces affaires ne me regardaient pas, et je m'en moquais légèrement. Ne voulant pas rendre plus fort l'ancien sannin en m'aidant, il refusa sèchement d'un revers de la main. Je dû me résoudre à lui avouer mes véritables objectifs, mes ambitions. La seule mention de la mort d'Orochimaru suffit à lui faire changer d'avis. C'est donc avec lui que je revins à ma salle, sous le regard cruel des autres détenus, ne comprenant pas ce traitement de faveur, prenant cette sortie pour cela. Sur le chemin, j'appris quelques informations sur lui, sur ses compétences concrètes en Genjutsu; il connaissait quelques techniques de type effroyable. Cela me suffisait amplement pour ce que je devais réaliser. Je le remerciai quand même de m'aider, histoire de dire. Arrivé enfin au terrain, nous nous positionnâmes en posture de combat, prêt à attaquer, esquiver ou contrer.

Je lui expliquais ce que je voulais tenter. Il ne connaissait pas personnellement cette technique, mais l'avait déjà vu en l'œuvre; il la trouvait redoutablement efficace et importante. Son rôle était de m'attaquer par un Genjutsu, de type effroyable donc. Mon à rôle à moi était de renvoyer au lanceur cette technique, en dépensant la maudite somme de 20 points de chakra, plus le coût de chakra nécessaire pour la technique adverse. La technique était couteuse mais niveau défensif et offensif en même temps, c'était le top. Je lui rappelais le but de mon action, tuer le maître des lieux. J'avais une petite crainte que si je ne réussissais pas à produire ma technique, il n'abandonnerais pas son Genjutsu. J'allais vite me rendre compte de son engagement envers moi. Son choix était "La Vision de la Souffrance", une technique assez basique mais immobilisant quand même l'adversaire jusqu'à un sacrifice de quelques points de vie. Je respirai quelques secondes fortement pour ensuite respirer calmement pour me concentrer sur l'attaque adverse. Je n'allais avoir que peu de temps pour riposter. Je ne me faisais pas d'illusion, je n'avais que très peu de chance de réussir du premier coup, comme pour tout.

Rien ne semblait se passer, pourtant, mon vis à vis était concentré comme jamais. Une minute s'était écoulé depuis lui avoir annoncer le débuts des hostilités. Moi qui croyait que c'était moi qui aurait du mal, j'avais tort, on dirait. L'homme ferma mon bec bien arrogant quelques secondes plus tard. En effet, la technique était enclenchée, je me retrouvai accroché à un tronc, dans une autre dimension, une dimension parallèle à la nôtre. Le paysage était rouge et noire, obscure, sans âme qui vive à part moi et l'humain. Il n'y avait pas de nature, je parle d'herbes ou d'arbres, si ce n'est celui où j'étais attaché. Bref, il se tenait devant moi, prêt à commencer mon supplice. C'était le moment ou jamais de riposter.

J'avais annoncé ma technique, pourtant rien ne se passait. Comme toujours, je n'arrivais pas du premier coup. La question que je me posais maintenant était, comment allait réagir le prisonnier après cet échec. Il m'avait entre ses mains, je pouvais bien sûr me libérer, mais cela me ferait dépenser du chakra. Sa réaction fût positive et normal, il stoppa complètement son Genjutsu, pour nous rendre à la réalité. Quel soulagement ! Ma peau était quand même en jeu, dans cette histoire. Après m'être crié dessus pour mon incapacité et ma faiblesse, nous reprîmes l'exercice, une seconde fois. Il enchaina quelques signes ninja à l'aide de ses mains, ce qui me fit envoyer dans ce monde sans vie. J'étais de retour sur ce tronc, les mains, les bras, et le ventre noués, à sa largeur par des fils de grosses longueurs. Je me concentrai, essayant de ne pas perdre patience, je devais restais calme. Des centaines d'objets pointus arrivèrent vers moi à toute vitesse, tous envoyés par une même personne. Des gouttes de sueur coulaient sur mon front, la chaleur du lieu me brulait le crane, façon de parler. Les objets étaient maintenant à 100 mètres, c'était quitte ou double. Je dis au lanceur de continuer, et de ne rien arrêter, quoi qu'il se passe. C'était maintenant ou jamais. Je hurlai le nom de la technique, les sens aux aguets.

Incroyable ! Je me retrouvais à la place du "méchant", et lui à ma place. J'avais réussi ma technique, je connaissais maintenant une technique de niveau II! J'étais heureux, mais ce n'était pas fini. Je devais maintenant voir si je pouvais lancer moi aussi des ustensiles tranchants vers l'adversaire, ou lui faire d'autres atrocités. C'était concluant, je parvins à projeter à quelques mètres de lui des kunaïs, et même un serpent. J'avais gagné, je coupa court au Genjutsu. Je ramenai l'homme à son cachot non individuelle, le remerciant énormément pour son aide. Le chapitre était clos.

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