亜夢 -Dans la vie il faut grandir, ne jamais reculer, même si sa fais mal.
« Cet année l'examen Chuunin aura lieu à Kiri, vous devez vous y rendre au plus vite, bonne chance à vous mes genins, je suis avec vous. Votre cher Kage »
Voilà donc ce que disait la lettre qui m'était destiné. Alors ca y est c'était le jour tant attendus, l'examen tant attendus. Je me levais à peine, le soleil n'était pas encore levé, aucuns habitants ne devaient être encore réveillés, si ce n'est les autres genins de Kumo qui avait été sélectionné pour l'examen, m'habillant assez rapidement je sortais en quelques minutes de ma chère demeure. Regardant le ciel qui était encore plein d'étoiles, tout comme mes yeux qui reflétaient mes espoirs dans cet examen. Je me dirigeais vers les portes du village, quelques Genins devait être déjà sur place, je savais que nous étions environs quatre mais je n'en n'étais pas si sûr, le doute s'emparait soudainement de moi, je fus paralysé sur place, non pas pour le nombre de mes compagnons. Mais pour cet examen, je doutais de moi, de mes capacités, quand soudain je reçu un coup de bec sur ma tête, il s'agissait de Teka, mon aigle royal, il sentait ma peine et essayait de me remettre les idées en place à sa façon. Étrangement cet animal avait eu plus d'effet qu'un médicament contre le stress, mon cœur avait retrouvé un rythme normal, j'arrivais sur place en quelques minutes, j'avais toujours mes habits habituel, mon hachoir était dans mon dos, toujours prêt à être utiliser, regardant devant moi, je pus voir que tous étaient déjà présents, pour une fois j'étais le retardataire, rien à foutre si j'avais du mal à me réveiller moi. Arrivant sur place je lâchais quelques mots pour détendre l'atmosphère et prendre les choses en main, regardant mes coéquipiers je parlais d'un ton calme et meneur:
- Excusez mon retard, le sommeil n'a pas été au rendez-vous cette nuit, je vais prendre les choses en main pendant le trajet suivez moi, nous avons un examen a réussir!
J'avais dis ces mots aussi simplement qu'un homme aurait pus le faire, pourtant ils avaient leurs importances, traversant mes compagnons je me mettais à l'avant de la file, nous avions beaucoup de chemin mais nous étions dans les temps, pas de besoin de se pressé. Me mettant à courir je savais que le reste me suivrait, nous allions dans un premier temps passé par les sentiers rocailleux de Kumo, ce n'était pas chose facile de se frayer un chemin, quelques fois nous glissions, les ravins étaient d'autant plus très profonds. Les heures passèrent, le soleil commençait à peine à montrer ses milles rayons, regardant le spectacle je repris ma route, l'examen n'attendait pas lui. Nous avions toujours appris à faire des sacrifices en tant que ninjas, fais partit de l'élite quitte à sacrifié sa famille, aucune pitié entre ninjas, la protection de Kumo avant tout. Pourtant il y avait un certains paradoxes, si nous devions protéger notre village, nous protégerons alors aussi notre famille. Car la pièce principale d'un village est ses habitants, que de philosophie dans un monde remplis de haine et d'injustice. Soudain je fis signe à Teka d'aller faire un tour dans les airs pour vérifier qu'aucun ennemis ne nous attendaient pour nous piéger, en effet nous arrivions près du pays de l'eau, nous n'avions le droit à aucunes erreurs. Teka criait que la voie était libre, pas besoin de s'inquiéter, je lui fis saigne de rester dans les airs, on ne savait jamais. Puis les heures passèrent, le cri de Teka retentit une dernière fois, nous étions arrivés au village cache de Kiri, nous pouvions distingués les portes. Arrivant comme des fusées, les gardiens sortirent d'un bond et l'un deux me stoppa avec une violence hostile, le regardant d'un regard plus que noir j'aurai pus l'exterminé, mais je préférai sortir nos convocations de nos poches, tout en lui glissant quelques mots:
-Tu vois on vas pas te faire de mal, alors coucouche panier et laisse nous passer.
Mon ton était froid et je n'avais pas de temps à perdre avec une tel vermine dans son genre. Regardant mes compagnons j'eus un sourire aux lèvres lors de notre entrée dans le village, ils savaient que pour nous le temps était bientôt arrivés de passer aux choses sérieuses. Le chemin était indiqué sur des pancartes, nous le suivions avec précision, mais ma gaieté fût vite stoppé lors de la vision du lieu de l'examen, la prison. Au moins ce n'était pas quelque chose de banal, mais j'espérai qu'au moins cela serait assez grand. Teka regagna vite mon épaule, l'ambiance commençait à devenir tendus à la vus des autres équipes présentes, tout pouvait partir en couilles, j'espérai seulement qu'aucun de mes coéquipiers n'allaient faire une bêtise, surtout Ryuzuki, je me retournais vers lui et lui fit signe de se taire, un homme allait parlé. ♫
Sujet: Re: ♫ Kiri, attend nous ♫ Sam 8 Jan - 16:05
Départ à Kiri no cuni
Il était enfin l'heure pour moi de rejoindre mes confrères aux portes de Kiri no kuni, et oui, l'examen chûnin allait enfin commencer. Je préparais toutes mes affaires et tout ce que dont j'avais besoin. Il ne fallait surtout pas que j'oublie ma carte maîtresse, car sinon, je risquais de perdre l'examen. J'avais appris que le tirage au sort venait de se faire et que j'allais combattre contre l'équipe de Konoha, heureusement, qu'ils ne sont que deux, car normalement ils étaient trois et cela aurait été un combat handicapant pour nous. Une fois terminé je me dirigeais vers les portes de Kumo pour rejoindre mes coéquipiers sachant qu’on avait plusieurs et de nombreuses frontières, il me restait plus que quelques minutes de marches pour pouvoir atteindre le les grandes portes du village. Je prenais alors tout le temps qu’il fallait pour les rejoindre. Dailleurs, d’après des informations données par le Raikage Ryû Mugen, j'allais participer au combat de chûnin avec un certain Yoshimitsu Rokkaku et que mes adversaires de Konoha no kuni se nommait Yoko Nakamura et l'autre Raiko Shimizu, le premier, serait un spécialiste en genjutsu, en jutsu illusoire donc, surtout que, c’était un sorte de « demi »-Uchiha si j’avais bien compris son histoire, le clan Uchiha, le clan le plus renommé pour leur art d'illusion et ensuite le second, était une personne normale comme tout autre, s'intéressant dans le taijutsu, le combat de corps à corps. Un shinobi tout comme moi. Je commençais donc à me remémoré mes moments passé de ma journée d'hier qui avait été drôlement mouvement.
Flashback - Shadow Rengoku
Aujourd'hui allait être le grand jour, l'examen chûnin allait bientôt commencer dans plus que quelques jours, alors, je décidai de m'entraîner avant cette grande rencontre, car, d'après le Raikage, il s'agirait d'un tournoi de deux combattants dans une équipe, mais qu'il y a eu une exception pour une équipe, ce qui voulait dire que, sur toutes les équipes une seule, était composé de trois ninjas. Un grand handicap pour ce qui allait leur tomber dessus, une grosse malchance quoi. Je me disais au plus profond de moi en priant de ne pas tomber contre cette équipe, car, c'était en plus de ça, les shinobis représentant le village de Konoha no kuni, soit le pays du Feu, l'un des pays les plus réputés pour leurs ninjas de hauts niveaux remplit d'une grande expérience. Il fallait que je sois chaud et préparé pour cette grande rencontre, surtout si, je combattais cette équipe de Konoha no kuni. Je me dirigeais vers le terrain d'entrainement du coin, et, je commençai à prendre tout ce que j'avais besoin. Je m'emparai d'un feutre rouge dessinant sur le tronc d'arbre les cibles et je brandis mes nombreux kunais à la main me préparant à les lancer avec précision.
Je me concentrais pendant un certain temps pour enfin agir, je fis un bon rapide en l’air et je pris par la suite appuie sur un arbre en faisant un magnifique salto arrière en finissant par lancé le seul kunai que j’avais en main, la tête à l’envers, je l’envoyai dans la cible sans hésiter. Une fois que j’atterris avec succès, une fois sur mes deux jambes saint et sauf, j’allai d’un pat décidé vers l’arbre en question et en me rapprochant petit à petit, je pu voir que le kunai était parfaitement emboité dans le tronc d’arbre en pleins dans la cible. Un petit sourire de joie se fit alors apparaitre sur mes petites lèvres gercé de beau garçon. Alors, je repris mon kunai collé contre la grosse plante, et je retournai en arrière ramassant mes kunais par-terre, je mis ma jambe droite en avant et la jambe gauche en arrière, et étant gaucher, je brandis trois kunais en même temps dans mes petites mains, je pris un petit recul pour prendre de l’élan et d’un geste vif et rapide, je les lançais tous en même temps. Mes kunais était tellement rapide, qu’ils transperçaient qu’il déchirait carrément les courants faisant un énorme bruit désagréable et puis, SHLACK.
Les kunais venaient donc de s’emboiter contre la cible, il ne me manquait plus qu’à aller vérifier si c’était un sans faute encore une fois, et oui, je suis quand même le roi de la précision. Je marchais de petit pat lent et je pu voir qu’ils avaient tous atteint leur cible, surtout que, les kunai étaient tous positionné dans la même pointe de cible, c’était magnifique, un coup digne d’un grand maitre, j’avais donc pas perdu la main, j’avais toujours le même niveau de précision voir même encore plus développée. Je repris mes kunais, et je les rangeais une par une dans mon sac de sport, fini les lancés de petits projectile. Une fois toute rangée, j’allai à l’opposé d’un arbre, je commençais à mettre des bandelettes autour de mes bras pour pouvoir les protéger, et j’enchainai avec des coups rapide et précis contre l’arbre. J’enchainai un nombre impression de combos, on entendait tout le temps « boom, boom », mes coups étaient tellement puissant que l’arbre lui-même tremblait. Je lui donnais des enchainements de coups de poings mais de jambes aussi, mon objectif était de carrément casser l’arbre en deux et de le retenir par le biais de ma force lors de sa chute et de le faire tomber dans un lieu sur.
Je continuais encore et encore à enchaîner les coups, quand, assez rapidement un creux se forma sur l’arbre, un énorme trou. Plus je tapais et plus l’arbre vacillait de gauche à droite, quand subitement, j’entendis un gros et lourd craquement, l’arbre allait tomber. Rapidement, je concentrai ma force dans mes bras d’homme pour pouvoir réceptionner l’arbre. L’arbre tomba assez rapidement en ma direction, mais par chance, je réussi à le maintenir avec le peux de force que j’avais. Je le soulevai de toutes mes forces pour ensuite le déplacer et le déposer délicatement contre le sol, je le lâchais petit à petit contre le parterre et « BOOM », l’arbre s’écrasa net contre le sol saint et sauf. Incroyable journée que je venais de passer là, il était temps pour moi d’aller faire une petite pause.
Je décidai de faire un tour tranquillement vers la bibliothèque du village pour lire un peu et me détendre en faisant quelque recherche, un peu exténué, je marchais assez lentement titubant contre le sol, ma bouteille à la main, je buvais les quelques gorgés qui me restait. Arrivé à l'intérieur de la bibliothèque, je me précipitai dans les nombreuses rangés de livre quand soudain, sans le vouloir, je trébuchai contre un stupide livre et par le mouvement de l'action je tombai net contre le sol comme un pauvre idiot, faisant tombé une grosse ranger de livre sur ma tête. Je venais d'en prendre pleins la gueule, d'un geste délicat, je retirais le livre en question quand je vis qu'il y avait comme titre "les 7 épéistes de Kiri no kuni et leurs mystères", rapidement je fus comme hypnotisé par le livre, je laissai les nombreux livres que j'avais fait tomber par terre, visiblement, la dame s'occupant de la bibliothèque ne l'avait même pas remarqué.
Je pris place sur une table et je m'assis sur une chaise, j'ouvris le livre à la toute première page lisant la petite introduction d'environs dix lignes.
« Ces sept ninjas du village caché de la Brume sont connus pour les épées qu'ils utilisent. Les membres connus sont Kisame Hoshigaki recherché comme étant membre de l’Akatsuki, Zabuza recherché comme déserteur et tueur de cage et Raiga recherché comme déserteur ayant une organisation secrète ayant à son effigie un peu près cinq membres actifs. Il y a des années, dans le village de la brume, des étudiants se sont entretués pendant un examen. Après ça, ce village s'est vu attribué un autre nom : "le village de la brume sanglante". Parmi eux, il y avait sept ninjas très puissants aux combats. Ils ont donc formé un groupe « les sept épéistes de Kiri ». Ces sept shinobis possèdent de très grandes épées, possédant une capacité spéciale. En raison de leurs désirs de puissance, ils tentèrent de prendre le contrôle de Kiri en éliminant le Mizukage. Après avoir échoué, ils décidèrent de partir du village et sont maintenant recherchés. À présent, cette organisation criminelle n’existe plus. Les sabres des sept épéistes ont toujours été transmit de génération en génération. »
Par la suite, je tournai la page quand je vis le sommaire, il y avait écrit seulement trois choses. # Samehada « Peau de requin » # Kubikiri Houchou « Le hachoir de Kiri » # Hiramekarei « Sole et Limande » # Ikazuchi no Kiba « Les crocs de la foudre » # Shadow Rengoku « Chaîne d’ombre »
Après avoir lu ceci, qui était le sommaire des différentes épées légendaires qu’ils avaient déjà aperçu dans le temps. Sachant que, il y avait 4 épées identifiées dont la dernière était encore qu’une théorie. Je tournai les pages une par une, chacune parlait bien évidemment sabres légendaires, quand je tombai sur la dernière page parlant de l’épée « Shadow Rengoku, l’épée de chaine de l’ombre ». En regardant bien, il y avait peu d’information sur cette épée légendaire à part une photo en noir et complètement flou voyant une personne avec des cheveux en piques tenant l’arme contre son épaule et en regardant avec encore plus de précision, je pu remarquer quatre caractères spécifiques, bizarrement ses yeux formait comme de petites étoiles et son épaule gauche … Oui son épaule gauche était tatouée d’une … étoile ! Surpris par cette découverte, j’ouvris grand les yeux, bouche grande ouverte, je commençai à lire à voix haute ce qui était écrit juste en bas de l’illustration, je décris alors, de choses assez surprenante et inexplicable.
« Cette photographie aurait été prise par un témoin d’un lourd et gros combat, l’homme en question ayant prit la photographie venait de passer une journée assez banale, en effet, il serait revenu d’une grande randonnée pour gravir la plus grande montagne de Kumo et prendre quelques clichés, et pendant son chemin, il aurait aperçu un homme combattant un autre, et d’après ces dits, la personne ayant l’épée l’aurait vu et par un reflexe innée il l’aurait prit en photographie et serait parti par la suite vers le commissariat de Kumo no kuni, d’après l’homme, la personne aurait été aperçu dans les montagnes de Kumo vers le mont le plus haut du village, mais à l’arrivé des forces de l’ordre, il n’y avait aucun signe décrit par l’homme à part une grande grotte se trouvant au lieu décrit par le témoin, le seul, la grotte serait bloqué par un géant rocher indestructible fait de matières inconnus, les scientifiques ont essayés de savoir de quel genre de matières étaient faits le rocher mais les résultats démontraient que ce n’était qu’un rocher toute à fait normal sans aucune constitution spécifique, pourtant, le rocher était incassable. Même les personnes les plus puissants, les plus forts, les plus hauts gradés et même les scientifiques ont essayés de briser ce gros rocher, mais il y aurait comme une force magnétique qui les empêcherait de le briser, car, à chaque coup donné à ce rocher, il n’avait même une seule égratignure, c’était une affaire assez complexe à résoudre, depuis peu, l’affaire avait été clos et ce site et resté jusqu’à maintenant un simple lieu historique pour touriste, il existe de nombreuse théorie sur l’identité de l’intérieur de la grotte comme le fait que l’épée « Shadow Rengoku » si trouverait à l’intérieur attendant son prétendant. »
Très vite, je fis le lien entre cet homme sur la photographie et moi, serait-ce moi ? Où alors un membre de ma famille ? Voir même … mon père ? Ce mystère n’allait plus tarder. Je fermai le livre assez brutalement en me dirigeant vers la dame de la bibliothèque, dans ma route, je revis les livres empilés que j’avais tombé, faut croire que personne n’avait remarqué que le tas de livre s’était renversé. Passons, arrivé à l’accueil, je demandai à la madame pour lui donner le livre dont je voulais emprunter, car dessus, restait encore des descriptions assez importantes dont j’aurais sûrement besoin à savoir.
Dernière édition par Ryuzuki Chikuza le Dim 9 Jan - 15:29, édité 26 fois
Sujet: Re: ♫ Kiri, attend nous ♫ Sam 8 Jan - 18:36
« Black Gangsta going in kirigakure! »
Le brouillard mis un point d'honneur majeur accompagné de la fraicheur omniprésente se faisant de plus en plus ressentir, en rapport avec le fait qu'ils marquaient leur entrée au sein même du pays de l'eau. A mesure que leur constante progression s'accroissait, le brouillard se renforçait inexorablement et il en advenait de même pour la fraicheur dégagée par cette même brume et les eaux que nos deux hommes et le rafiot surplombaient. Son sang se rafraichissant, gardant la tête froide, n'en ayant d'autres choix de quelconque manière qu'il soit, notre homme scruta le ciel, peu visible depuis sa position, réfléchissant a cet "examen des chuunins" qui l'obnubilait, d'ores et deja, lui turlupinant le caillou par discontinuité. Et heureusement qu'il était proie de répit, certainement qu'il se serait deja autodétruit dans le cas contraire aussi échéant au vu de la charge pondérale de stress qui aurait put lui retomber sur les épaules. Paire d'épaules équivoque-ment affaiblit qui n'auraient supportées ce poids, auraient cédées et entrainées la mort de notre protagoniste. Et ce même fait, étant un pilier majeur au soutien du village, aurait entrainé la perte de toute une nation, entre autre un pur génocide.
Enfin, s'arrachant de cette épaisse brume a petit feu, se rapprochant des côtes est du pays de l'eau, la température ne se ré haussa pour autant mais chuta littéralement. A tel point que le blondinet éprouva de la réjouissance pour son hôte, objet de jouissance dont le patronyme vint d'Omoi et fut : Popaule, lorsqu'il balança moult éloges a son effigie pour avoir eut la "bonté" de choisir un slip de grand-père plutôt qu'un tissu moulant, qui aurait laissé ses roustons au froid du pays.
Il fut finalement porté a destination sans trop d'encombré, si ce n'était son arrière-train imprégné de cette odeur de poisson pourrie ne le quittant plus. Enfin, avant de partir en direction du village caché de la brume munit de sa carte et de son laissé passer, il demanda si la carte octroyé par les gardes du village n'était pas falsifié, dans le doute qu'on ait put lui tendre un piège. Le cul-terreux ou plutôt poissonneux, pour ainsi dire, n'eut de cesse de le rassurer alors que le bretteur restait dans le doute, ne pouvant que suivre cette foutue planification, de toutes manières. S'en allant machinalement vers le village de kirigakure indiqué sur sa cartographie, les yeux justement tantôt rivés sur le plan, tantôt sur le sentier lui faisant front, il se rapprochait peu a peu du point d'émergence des genins des autres villages arborant ce monde.
Subjugué non pas par la faune ou la flore dont était gratifié le pays de l'eau mais ses espaces aqueux abondants et ce profond brouillard, le changeant radicalement de son pays plongé au cœur des nuages, des montagnes et de l'orage, il ne se rendit même pas compte qu'il était au devant du village ou se déroulait l'examen qu'il se devait de passer avec brio pour sa gloire personnelle et pour l'honneur de son village. Enfin, il se serait certainement passé de ces deux faits lui fusillant le mental. Non pas nourrissant son ambition personnelle ou accroissant son envie de réussir mais lui foutant une pression au cul, le dépitant plus qu'autres choses.
Tombant nez a nez avec les deux portes est du village, d'ores et deja entre-ouvertes, prêtes a accueillirent les genins débarquant des pays voisins, surplombées par une bonne tripotée de garde scrutant les nouveaux arrivants depuis les presque "cieux", Omoi décida de s'aventurer dans ce village. Munit de son laissé passer qu'il présenta a une paire de gardien des portes, a l'instar de son majestueux et bien plus chaleureux village, on le laissa par évidence passer, lui indiquant du même coup qu'un trio du village caché des nuages étaient non loin de la. Surement que son vieil ennemi, son frère de peau avec qui il avait visité le pays du feu et le présumé "yoshimitsu" devaient êtres sur place. Et, bingo, après quelques foulées, il tomba par chance sur les trois genins. « Yo! Vous auriez put m'attendre. Partir seuls aurait put entrainer votre perte... » Comme il s'en délectait tant, il fit preuve d'autant de pessimisme que par habitude au devant de ses collègues qu'il salua de la main, observant durant le même laps de temps la tour de l'ombre de l'eau, bien moins impressionnante que celle de l'ombre de la foudre.
Dernière édition par Omoï le Dim 9 Jan - 16:03, édité 2 fois
Sujet: Re: ♫ Kiri, attend nous ♫ Sam 8 Jan - 19:46
Départ à Kiri no cuni, 2ème partie
Flashback - Shadow Rengoku
Je me dirigeais donc vers la grotte en question bloqué par un géant rocher indestructible, avec ma vitesse phénoménale, je me précipitai vers les lieux avec le bouquin à la main. Arrivé sur les lieux, je pu enfin voir la grosse pierre rocheuse. J'essayai de tapoter un peu dessus pour voir ce que cela faisait et c'était dur comme fer, incassable. Je m'assaillis donc par terre contre le sol, en réfléchissant, je me tâtait le menton tout en regardant comment faire bouger cette chose. Si on croirait l'homme qui était sur la photographie, il serait peut-être de ma famille, qui sait, y'aurait sûrement des indices là dessus. Je fixais avec attention la photographie, et il y avait bien une chose qui m'avait surprise, c'est que la photo était en noir et blanc et pourtant, on voyait le tatouage de l'homme sur son épaule gauche avec couleur, c'était très bizarre. Je fis alors rapidement le lien avec son tatouage et le mien, il y avait sûrement un lien entre cet homme et moi. Je retournai donc devant le rocher tout en le fixant, je regardais pendant plusieurs secondes sur mes alentours quand je vis un petit rocher où une main était dessiné. Bizarrement, dans le livre, il s'agirait de la main de l'homme ayant venu ici avec son épée, les théories disent que seul sa main, ou une partie de ses ADN pourrait ouvrir se gros rocher pour ainsi résoudre le mystère, de nombreuses hommes et femmes ont essayé de passer leur main à l'intérieur de ce rocher mais ils ne réussissaient guère.
Je me mis alors à aller vers ce rocher avec toute discrétion, ma main droite se rapprocha peut à peu du signe qu'il y avait sur le rocher, et d'un geste réfléchit, je mis alors l'empreinte de toute main droite sur le signe en question. Subitement, une lumière vive, se vit apparaître sur le rocher et pris alors contact avec ma main, comme si j'étais le fil conducteur de quelques choses. La lumière lumineuse prit alors possession de l'ensemble de mon corps qui devint jaunâtre. Je me demandais bien ce qui se passait et ce qui allait m'arriver. Mon bras gauche se mit alors à réagir, ou plus précisément le tatouage que j'avais sur mon bras gauche, à vrai dire, je ne savais pas d'où venait se tatouage et d'après ce que je savais, je l'aurais eu depuis ma naissance. Donc, le tatouage formé d'une étoile se mit à briller de milles feux m'aveuglant comme pas possible, je ne voyais plus rien, tout était flou dans ma tête. J'avais l’impression de me faire téléporter dans une autre dimension.
Par la suite, je réussis à reprendre mes esprits, je me relevai, mes yeux se rouvrit, et soudainement, je pu remarquer et apercevoir, que j'étais tombé dans un lieu différent et inconnu, mes petites jambes étaient tremper d'eau, et j'avais l'air d'être enfermé dans une sorte de grande sans plafond et bizarrement l'eau ici était pas normal, elle était ... verdâtre.
Je repris alors mon sérieux quand j’aperçus, une magnifique chose brillé de loin. Mes yeux étaient grand ouvert, j'étais époustouflé, mes yeux étaient comme illuminé. J'avançai assez confus vers l'objet en question, quand j'arrivai enfin devant celle-ci, c'était une épée dorée brillant de milles feux. J'étais stupéfait, l'épée se mit alors à "léviter" comme pas possible se levant à la hauteur de mon crâne. L'arme était tellement magnifique, s'agirait-il de l'arme légendaire " Shadow Rengoku " ? Bizarrement elle n'avait rien à voir avec son prénom niveau physique du fourreau, de la lame et de la garde, c'était une épée carrément différente. Je me demandais se qu'il arrivait si je la prenais. Alors, sans hésité, de mes deux, j'attrapai l'épée légendaire et la brandis en l'air, je ne sentais bizarrement aucune sensation de puissance. Je fixais le sabre, qui soudainement, " explosa " une force magnétique fis bouger tout le lieu provoquant un mini séisme, l'eau s'agitait et un vent soufflant me terrassait. J'essayais donc par tout les moyens de retenir l'épée avec moi, il fallait que je la garde.
Et puis ... Plus rien.
Après quelques minutes de routes, j'arrivai enfin à destination, les portes étaient non loin et on m'attendait, je voulais faire une entrée fracassante et remarquer, alors, je brandis l'épée que j'avais trouvé en fonçant vers mes coéquipiers.
- Alors les amis ?! On ne m'attend pas ? Allez en route vers Kiri no kuni ... -
Par la suite, je me dirigeai vers mon nouveau coéquipier, Yoshimitsu Rokkaku. Je lu donnai alors, un de mes bombes à fumigènes pour notre futur combat et on partit donc vers le grand village de Kiri no cuni, le village le plus réputé pour avoir les plus grosses salopes.
Dernière édition par Ryuzuki Chikuza le Dim 9 Jan - 19:33, édité 9 fois
Yoshi Rokkaku Genin de Kumo
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Sujet: Re: ♫ Kiri, attend nous ♫ Dim 9 Jan - 15:14
L'examen de sélection de Chûnin était un concours auquel les jeunes Genins, ou même matures participaient pour obtenir le titre de Chûnin ou ninja supérieur. De nombreuses nations étaient représentées pour ce concours international dont certaines faisaient polémiques. Notamment la fois où les épreuves eurent lieu en Konohagakure no satô. Les tensions entre Suna et Konoha, amplifié par Otogakure no satô, petit village contrôlé à l'époque par Orochimaru, furent telles qu'elles causèrent de nombreux ravages dans le village caché de la feuille, la mort du Sandaïme Hokage en personne ainsi que le renfort de parti extrémiste comme celui de Danzô, manipulant une poignée d'hommes de l'ANBU sous le nom de Racine. Espérons cette année que la cuvée de Genin n'est aucune arrière-pensée compte tenu de ces incidents et n'essaie d'en faire autant. Concernant Yoshi, cela risquait d'être compliqué pour lui de s'imposer déjà à cette épreuve comprenant les meilleurs éléments des villages cachés. Mais il fallait qu'il y participe. Son oncle Zenzaburô lui avait recommandé d'y aller, car qu'importe ses résultats, cela lui serait de toute façon profitable puisqu'il pourrait ainsi tester ses compétences et voir ses progrès également. Cependant, il paraissait évident que le jeune Rokkaku risquait de ne pas faire long feu. Cela dit, il pourrait faire le bonheur de ses adversaires, qui, en tombant sur lui, qu'importe la puissance de son partenaire, ferait de lui un poids mort et donc profiterait inévitablement à la victoire certaine de l'ennemi. Même si la volonté de Yoshimitsu n'a pas de limites, il sait que l'examen Chûnin n'est pas encore fait pour lui.
Lorsqu'il dut partir de Kumo, le temps semblait clément. Quelques éclaircies, un soleil généreux tant au niveau de la chaleur qu'il procurait, le tout régulé par une légère brise matinale qui passait au travers des cheveux châtains de notre protagoniste. Le jour du départ, il s'habilla correctement, afin de faire bonne impression auprès de ses camarades de Kumo qui allaient également partir pour tenter leur chance à l'examen de sélection des Chûnins. Une fois sur place au lieu du rendez-vous, la place principale, Yoshi remarqua qu'il n'était pas arrivé en retard. Et encore moins le premier. Dévisageant les silhouettes des Genins qui l'accompagnaient, il reconnut au loin la voix d'un personnage assez connu de la part de Yoshi. Oui, ce dernier, d'un ton digne d'un taciturne comme lui ne pouvait qu'appartenir à Darui, Genin de Kumo et fils adoptif du Raïkage. L'homme à la peau mate était étrangement le dernier. Le premier était un ninja qui n'était pas connu du Rokkaku. Les seules informations dont il disposait, donné au préalable la veille de son départ dans une enveloppe, c'était le nom et le prénom de ce shinobi. Physiquement, on ne pouvait pas dire qu'il avait autant de style et de charisme que Darui. En effet, une taille approchant les un mètre soixante, dépassant tout de même d'une vingtaine de centimètres notre protagoniste, il avait une apparence juvénile, tout comme Yoshimitsu, sauf que le dénommé Ryuzuki de la famille Chizuka était majeur du haut de ses dix neuf ans. Heureusement qu'un contact ne fut pas établi entre les deux garçons, car sinon il serait évident que Yoshi allait commettre une bêtise en prononçant des mots qui fâchent. Sur ce, les trois shinobis se mirent en route, Darui faisait office de meneur. Sa carrure le lui permettait cela dit. Tandis que le singe ainsi que le shinoobi n'avait pas de quoi mériter une place de leader. Mais peut-être qu'avec le temps, ou tout simplement et plus rapidement surtout grâce à l'examen de sélection des Chûnins, leur maturité atteindra un niveau suffisant pour leur permettre de prendre des décisions. Quittant ainsi le village caché des nuages, le trio de shinobis semblaient plus qu'enthousiastes à l'idée de découvrir une nouvelle nation, ici le pays de l'eau en l'occurence.
Descendant au pas de course des sentiers sinueux, Yoshimitsu n'était pas tellement habitué à ce que les lois de la gravité le soutienne en accélérant sa vitesse de pointe. De ce fait, il mit une certaine difficulté à ralentir pour être à une vitesse suffisante pour être aux côtés de Darui et de Ryuzuki. Au fur et à mesure de leur marche, le Rokkaku parvint finalement à tenir leur rythme, étant habitué à courir sur un terrain plat, assez ironique lorsqu'on vit entouré par des montagnes. Au fil de leur descente, ils découvrirent des paysages encore jamais vu. Les montagnes cédaient leur place pour offrir des plaines ensoleillé et recouvertes de fleurs aux couleurs envoutantes. Des rizières par-ci par-là, en pouvait également apercevoir au loin la belle mer, où les reflets du soleil sur la surface de l'onde empêchaient les admirateurs de poser leur regard sur ce spectacle qu'offrait la nature. Les minutes passèrent, puis ils arrivèrent au bord de l'eau où une embarcation les attendait. Le mal de mer fut le pire ennemi de Yoshi au cours de cette traversée maritime. Jamais le jeune garçon n'avait vogué à travers les sept mers. Et jamais il n'avait autant fait part du contenu de son déjeuner d'une façon aussi ... vomitive. Finalement, au bout d'une bonne heure de navigation, la petite équipe éphémère arriva sur le littoral de Mizu no kuni. La brume commença à s'installer. L'air était différent de celui de Kumogakure no satô. Alors qu'au village caché des nuages, situé en haute altitude, l'air était pur, frais et sans vent, forçant l'individu à produire plus de globules rouges pour mieux s'oxygéner, l'air marin d'ici semblait plus vivifier l'esprit que le corps. L'odeur salé de l'océan avait un pouvoir mystique sur l'âme de l'homme qui venait ici en ces lieux chercher ce qu'il convoitait le plus.
Après avoir traversé un océan assez déchaîné par des rafales de vent et plusieurs vagues, la houle céda le passage au bateau dans lequel le trio de ninjas de Kumo avaient pris place à bord. Ils purent apercevoir au bout de plusieurs minutes d'attente pénible un morceau de terre au cœur d'un voile de brume. Teka, l'aigle de Darui, fit don de ses capacités oculaires pour vérifier que la voie était libre, afin d'éviter toutes surprises inattendues. Le noble rapace, au bout de plusieurs rondes à la force de ses majestueuses ailes revint auprès de son maître et fit comprendre à ce dernier que tout était bon. Cependant Darui lui fit comprendre de rester dans les cieux afin de poursuivre sa recherche de troubles-fêtes car on n'est jamais à l'abri d'une éventuelle arrivée massive d'ennemis. Au final, la petite escouade arriva enfin au village caché du brouillard mais un garde semblait ne pas vouloir leur présence. D'un air froid et distant, Darui envoya balader le garde qui laissa le passage au trois garçons. Trois ? Non car en fin de compte, un retardataire rejoignit par la suite le petit cortège. Homologue à Darui de par sa couleur de peau, il semblait également afficher le même air antipathique du fils adoptif du Raïkage. Présentant ses excuses, ou plutôt exposant ses quatre vérités à ses camarades, le dénommé Omoï salua au passage Ryuzuki, Yoshimitsu ainsi que Darui d'un mouvement de sa main, le tout faisant preuve de pessimisme.