Un animal pour moi !?

« Destruction totale ! »

J'étais au sol entrain de creuser rapidement pour trouver un ver de terre capable de combattre à mes côtés. Effectivement, j'étais partit à l'animalerie pour trouver un petit chiot et il m'a envoyé chier parce que j'étais incapable de le payer. Je vais pas vous mentir, j'étais à deux doigts de l'exterminer jusqu'à que je me souvienne que je me tapais sa fille. Comme quoi, va falloir que je me calme niveau femme si je voulais être le Kage au sang froid ! Passons, j'ai d'autre chat à fouetter que de m'occuper d'un petit animal. C'est pourquoi je suis partit en direction du Pays de l'ours pour trouver un animal sauvage capable de me combler de bonheur. J'avais rapidement fuis le contact avec ma seconde équipe. J'avais ma propre vie à satisfaire avant, comme par exemple chercher mon compagnons. Arrêtons un peu de se répéter, j'étais dans une forêt étrange, lugubre qui avait réussi à me faire peur, comme quoi, c'était un lieu trop sombre pour un homme lumineux comme moi ... Ou pas. Je marchais comme si de rien était tout en sifflotant, regardant les alentours avec mes mains toute sale à cause de creusage intensif pour ne trouver qu'une araignée, d'ailleurs je ne sais pas ce qu'elle foutait au sol, enfin bref. En observant aux alentours j'ai trouvé une civilisation inconnu, des singes se faisaient l'amour h24, des ver de terre qui ne se trouvent pas sous la terre. Comme quoi, on trouve de tous sur cette planète, surtout un Ninja que je suis qui n'utilise pratiquement plus aucune technique Hyuuton, pour un spécialiste, ce fut très rare.

« Danger. »

Coup de pied latéral en pleine face. J'avais porté une attaque sur un pauvre lapin. Un one shoot violent, comme quoi, mes coups de pieds étaient plus impressionnant que jamais. Il fallait cependant que je me cache après le coup porté, il ne fallait pas qu'on pense que je suis un pauvre ninja capable du pire. Je posais mes mains sur mes cheveux les transformants en une autre couleur. Quelle alchimie j'étais capable de changer absolument tout en moi ... Grâce à la technique de métamorphose, mais vous n'êtes pas obligé de porter un jugement quel qu'il soit. Je continuais à marcher seul en espérant de trouver l'animal qui pourrait m'accompagner à Konoha sans aucun succès. Il a fallut chercher dans tous les recoins de cette forêt verte qui petit à petit se mettait à être éclairé par le soleil. Toute la nuit passé à chercher un animal qui surement ne voudrait pas de lui.

« Danger ! »

J'avais encore eu un pressentiment, je sautais dans les airs jusqu'à disparaitre dans les feuillages. J'observais avec mes yeux de lynx tous ce qui pouvait s'approcher du lieu où je me trouvais. C'était assez étrange comme situation à vrai dire, il n'y avait plus aucun animal à la ronde, et une flaque d'eau présente prêt d'un arbre. Une assimilation à l'eau pourrait trahir un ninja compétent alors j'ai opté pour la dernière option qui est ...

« Je suis là ... »

La diversion ... C'était un ninja à coup sur, Yekais avait reconnu le style de combat. Tous ce passait au ralentit, tout en voulant observé ce que j'avais derrière mon dos un chien, ou loup ou autre, avait attaqué mon adversaire pour l'empêcher de m'atteindre. Il avait un pelage blanc comme la neige, un regard perçant et des griffes impressionnantes. Il avait attaqué l'ennemi qui avait tenté une attaque en diversion me laissant une ouverture pour l'achever. Je me rapprochais de lui lentement avec un regard froid. Je levais ma main droite et puis plus rien.

Le soleil m'avait ouvert les yeux, j'étais entrain de dormir sur les plaines du pays de l'Ours. J'avais passé toute la nuit à dormir au côté de mon animal de compagnie. Et oui vous avez pensé que j'étais un incapable et pourtant une leçon importante, ce n'est pas l'homme qui choisit son animal mais l'animal qui choisit son maitre. Pendant mon somme, j'avais réussi à dompter un chien au pelage blanc. Ma tête lui revenait peut être qui sait.

« Je vais t'appeler Tatsumaru. »

Je restais assis prêt d'un arbre tout en attendant le déluge, et oui c'était possible.

La lueur du jour commençait à apparaître dans l'enceinte par les zones découvertes de la grotte, c'est à dire son entrée secrète. Le soleil ne couvrait pour l'instant qu'une mince partie de la cachette. Cette lumière n'avait donc pas atteint la chambre de Sasuke, ni même celle de ses deux associés. Pourtant, Sasuke était réveillé, le dos face à sa chambre, debout avec les jambes écartées à égale distance. Il était donc là, penseur comme à sa nouvelle habitude, les yeux fixés au plus profond du tableau ornant le mur lui faisant vis à vis. Ses pensées ne concernaient aucunement cette peinture, c'est seulement qu'elle lui faisait face; une autre chose à la place aurait fait le même effet. Revenons sur la raison de son réveil si hâtif, qui n'est nullement la conséquence d'un cauchemar mal digéré. Il avait seulement eu des fourmis dans les pieds, ajouté à un haut taux d'ennui. De un, cela n'explique pas la raison d'être déjà réveillé. De deux, il ne marchait donc pas pour atténuer l'ennui, vu qu’il restait debout inerte. Premièrement, la cause était qu'il s'endormit très tôt la veille, ayant parcouru beaucoup de kilomètres pour atteindre le Pays des Rizières et son magasin d'armes, pour ensuite revenir ici. Cela avait logiquement occasionné de la fatigue mentale et physique, il était maintenant rétabli à 100 pour cent grâce à ce long somme. Deuxièmement, s'il ne marchait pas pour l'instant, c'est qu'il venait juste de sortir de sa chambre. En effet, la chose à quoi il pensait, c'était ou il allait se promener par la suite.

Cette phrase s'était dite en chuchotant pour ne pas éveiller les soupçons, enfin plutôt pour ne pas ranimer les autres occupants de leur sommeil, dans cet endroit sombre, clair en devenir. Il était maintenant temps de sortir de ce sinistre lieu et de gambader au son des oiseaux. Gambader était un grand mot pour signifier marcher, mais bon, on ne sait jamais ce que l'avenir nous présage, comme le dit souvent Sasuke lui-même intérieurement. Parallèlement, la probabilité qu''il puisse s'enivrer par les bruits envoûtants des oiseaux était quasi nul. Tout ça pour dire que notre héros prit le chemin de la belle plaine de l'Ours, d'un pas léger presque envoûtant. Quel joli spectacle que ce levé de rideau sortant de nulle part, comme par magie. Le rideau étant ici le soleil, pour ceux qui ne l'auraient pas compris. Une légère brise lui parcourra visage, d’un côté froid mais d’un autre doux comme l’automne. Pour tout vous dire, la saison de l’année lui était complètement inconnu, il avait perdu la notion du temps, et encore plus des saisons. Quelques arbres dansaient au rythme du vent dont des feuilles tombaient, mais qu’à petite quantité. Le déserteur de Konoha marchait, les yeux grands ouverts à la nature tout autour de lui quand tout d’un coup, il perçut la présence d’une personne, non loin de lui. Ce n’était pas par pistage de traces ou autres spécialités du clan de Kiba, non, plutôt par repérage d’un mouvement soudain derrière un arbre, esseulé de tous. La discrétion était l’un des points forts de cet Uchiha, donc il pratiqua avec l’aisance d’un lion et l’agilité d’un chat cette méthode très lucrative. Cinq Kunaïs dans ses poches, un Katana à sa ceinture, le choix était présent. Sasuke opta pour l’utilisation d’un Kunaï qu’il prit donc dans ses mains. À la vitesse d’un lièvre, il contourna l’arbre de côté sans se faire remarquer puis effectua son lancé.

Après quelques secondes de lévitation, l'arme blanche se planta dans la jambe gauche de son adversaire. Plus précisément à l'emplacement d'un nerf situé au mollet, controlant le déplacement de la jambe. Une bestiole avait tenté de s’interposer entre l’objet et l’homme, semblant alors être son maître, mais sans réussite. Cette tentative avait soudainement perturbé le lanceur, ne s’attendant aucunement à la présence d’un deuxième intrus, de quel genre que soit. Un gémissement sorti de la bouche du ninja venant de Kiri, son bandeau indiquant tout du moins cela. Sasuke était resté encore caché, se faufilant entre les arbres entourant ses deux adversaires. Malheuresement pour lui, l'étrange animal coiffé de blanc le poursuiva grâce à son flair. Il dût donc se montrer, ce qu'il fît en se dirigeant devant l'humain, le katana face à lui, le chien à ses trousses. L'humain ne pouvait bouger sa jambe gauche, et lorsqu'il retira le kunaï de sa chair, il se retrouva nez à nez avec le katana de son vis à vis.

Spoiler:

« Calme. »

Le chien/loup se mettait à aboyer pour absolument aucune raison. Il s'était mit debout et regardait en direction de la forêt. Je fis alors de même pour être sur qu'il n'y ait absolument personne. Le réveil pour moi était la seule occasion qu'une personne puisse tuer une autre sans que celle ci puisse faire quoi que ce soit. Vous n'allez pas commencé à vous défendre le matin d'une si belle journée. Je continuais à caresser Tatsumaru pour qu'il se calme jusqu'à qu'il se remit à grogner. Il était chiant pour un animal de compagnie, je n'avais qu'une seule envie c'était de lui donner un coup de pied. Au moment même où j'allais donner la première calotte à mon Tatsumaru chéri, une présence c'est fait ressentir. Il n'était pas du tous discret pour un Shinobi, surtout que je l'avais reconnu avec sa chevelure noir et son regard sombre. J'avais composé plusieurs signes caché jusqu'à recevoir un kunai sur ma jambe gauche. Il avait visé un endroit précis m'empêchant de me mouvoir correctement. Il était malin, il avait progressé, ce n'était plus le petit ninja que j'avais observé durant les examens Chuunin. J'avais payé cher les paris pour ce jeune Uchiha jusqu'à recevoir un message important de Kiri. Dommage, j'aurais voulu participer à la guerre Suna et Oto vs Kiri, mais bon, c'est le passé donc passons à autre chose. Maintenant, que dire à part qu'il pensait réellement que je me fasse avoir par un kunai aussi misérable que celui-la. Le corps au sol qui s'était ramasser le kunai était une simple buche. J'avais utilisé le kawarimi pour éviter des dégâts mineurs de cette trempe. Je marchais en direction de la buche pour récupérer le Kunai envoyé au préalable.

« Tu pensais réellement m'avoir avec une attaque pareille ? Tu devrais être plus subtile ... Sasuke ... Uchiha. »

J'aimais bien faire durer le suspens, et je connais bien ce genre de personne à dire : " D'où il connait mon nom " Mais ... " Qui est-ce ? " Dans tous les cas, mon bandeau du village caché de la brume me trahissait. Un bandeau sur mon épaule droite montrant l'appartenance à Kiri histoire que mes propres ninjas ne m'attaquent pas. Mais sans commentaire, observons les faits et gestes de notre adversaire, qui sait, il avait peut être l'attention de nouveau de nous attaquer. Alors valais mieux que je réponde à ses questions pour éviter le combat contre un Uchiha.

« Je me nomme Yekais Soyokaze. Je suis le Mizukage du village caché de Kiri. »

Je me la pétais grave ! J'adorais le dire, Yekais Soyokaze, célibataire libre comme l'air, Mizukage du village le plus puissant. Enfin bref, c'était la trame de ma chienne de vie ! Passons cette parenthèse, je voudrais plutôt savoir pourquoi un déserteur comme lui est ici et de plus pourquoi m'avait-il attaqué avec un simple kunai. Si Sasuke était ici, cela voudrait dire qu'Orochimaru n'est pas loin. C'est une bonne raison pour l'attaquer et lui soutirer des informations.

« Sasuke Uchiha. On va bien s'entendre toi et moi si tu me dis sans me mentir les différentes planques d'Orochimaru. »

C'était une phrase inutile, je savais bien qu'il allait rien me dire, mais qui ne tente rien n'a rien. Je suis plutôt du genre optimiste avec mon visage ferme prêt à exploser de rire à tous moment en regardant la tenu du jeune Uchiha. J'avoue qu'il a l'air d'un petit Gay mais il serait capable de faire tomber des filles. Enfin, je vais pas me lancer dedans, donc sans commentaire.

« Combat ! »

Je disais ça tel un sonac ! Avec un petit accent, je n'étais pas sérieux comme d'habitude, une posture étrange pour le combat comme le jeune homme que j'avais au préalable déjà rencontré... Tobi. Impossible à toucher, tu me diras, il était plutôt rapide avec son contrôle de l'espace temporel. Avec cette posture étrange, les deux mains en l'air, un pied en l'air prêt à tous pour vaincre. Je fermais les yeux pour me concentrer sur ma posture et soupirait. Je conservais dans ma main droite le kunai de mon cher adversaire, je vais pas vous mentir, c'est cher un Kunai ...

• HRP

Spoiler:

• Le kunaï anciennement dans la chair de l'ennemi se retrouva dans un tronc d'arbre. Ce n'est pas qu'on l'avait déplacé, non, juste que l'homme était en fait un clone. Un Kawarimi No Jutsu évidemment, une technique aussi basique que le Bunshin No Jutsu. Deux techniques que l'on apprend à l'académie. Sasuke maitrisait parfaitement ces deux là, toutes les filles tombaient à ses pieds lorsqu'il les pratiquait devant eux, le sensei Iruka et Naruto. Mais, lui s'en contrefichait de toutes ces gamines, ne connaissant pas la tristesse, la rage et la haine. Ses parents étaient morts, sa famille aussi et tout son clan ! Ce masacre, ces meurtres massifs étaient l'oeuvre de son propre frère... L'amour ne faisait pas le poids face à cette atrocité. Ce flashback instantané avait juste commencé par le souvenir d'une seule chose, la technique consitant à créer un objet de substitution. Revenons au présent où le véritable ninja s'approcha de la bûche pour y récupérer le Kunaï précèdemment lancé par le joli brun. Son chien le suivait comme un...chien, la bouche ouvert, la langue pendue. Le shinobi semblait très calme et par sa façon de marcher, il en déduit un haut rang. Cet homme ne lui était pas inconnu, mais juste de façon fictif, sans lui avoir adressé une fois la parole.

• Ce ninja de Kiri le connaissait, il venait de citer son nom et son prénom. Il n'avait donc pas rêvé, il n'était pas fou, il l'avait déjà vu à un endroit précis. En tout cas, il avait retenu son identité exacte. Ou il était là par hasard, ou il était là pour le trouver, pour quelques raisons que ce soit, alliance avec konoha, voir pour ses yeux. Etant donné ses informations sur Sasuke, cet homme devait donc être bien de classe importante, un juunin minimum. De toute façon, ni un genin, ni un chuunin ne se balade seul loin de chez lui. De plus, il n'avait pas l'air d'avoir la dizaine, ce qui portait à croire les autres déductions. De toute façon, son petit doigt lui disait qu' il allait bientôt savoir son matricule. Les paroles suivantes ne le contredirent pas. Celles-ci affirmèrent son rang dans la hiérarchie du village de Kiri, c'était le Mizukage, le grade parallèle à celui de l'Hokage ! Sa chance de vaincre son vis à vis et même de survivre divisa de beaucoup par rapport à ce qu'il pensait tout au début.

• La façon dont il s'était exprimait il y a peu, caractérisait une sorte d'arrogance, de fierté et de supériorité. Il se la racontait tout bonnement, et ça ne le gênait point. Tout le contraire de lui même, silencieux et timide, même si l'humilité n'est pas non plus son fort. La peur s'imprégna tout d'un coup du corps de Sasuke, des jambes jusqu'au coup. Le froid prit le dessus, et l'apparition de points sur tout l'ensemble de son corps, signifiant "la chair de poule" concluèrent cette désillusion. Pas le temps de se réchauffer, ni de parler, le Mizukage reprit la parole. Il voulait des informations sur les planques de son maître Orochimaru, pour qu'ils soient sois disans amis ensuite. Le brun ténébreux trouva cette question plus qu' ironique. Un rire sous forme de gloussement se fit légèrement entendre. Notons que la chaleur revécut dans le corps maigrelet mais costaud de Sou-sou, surnom donné par un de ses anciens amis de son clan, mort comme tous. Tel un réveil violent, Yekais Soyokaze cria le mot combat sans vraiment y croire. Ce qui s'ensuiva fût d'un ridicule incomparable. Le Kage du village de Kiri se positionna tel que ses mains se trouvaient face à lui tendus, et que son pied était aussi en lévitation. Une position bien étrange dis donc. Mais oui ! Ce n'est pas par celà qui le fît trouver l'endroit où il l'avait jadis rencontré, mais celà le déclancha par hasard. Cet homme était présent à Konoha lors de l'examen Chuunin. Il était dans les tribunes, présidentielles avec les Kage ou banal avec les autres ninja, ça il ne s'en rappelait plus.

Spoiler:

Rien qu'en voyant mon adversaire je compris très rapidement qu'il n'avait pas le niveau que j'attendais pour un combat. Sasuke était certes fort, mais la force d'un Kage est complètement différentes de celle des Shinobis ordinaires. La particularité du jeunot que je convoitais était belle et bien ses yeux. Le Sharingan, ces pupilles maudites qui pouvaient renvoyer n'importe quel Genjutsu et c'était là ma faiblesse. J'étais susceptible de recevoir n'importe quel Genjutsu même avec un esprit aussi tordu que le mien. Passons, arrêtons de baver sur ces pupilles qui allaient bientôt être mienne dans tous les cas de figure. Un spécialiste en Hyuuton avait besoin de ça pour voir ses techniques se parfaire. Sans commentaire, parlons bien, parlons argent. Autre fois, j'avais fais affaire avec Orochimaru ce que Sasuke ne devait certainement pas savoir. J'avais besoin de lui mais il avait disparu, satané serpent de merde qui se cache quand il faut rembourser ses dettes. Quoi qu'il en soit, ce jeune déserteur tombait bien, il allait pouvoir accomplir avec moi une mission importante top secret concernant Kiri. Donc forcement, aucun Ninja de Kiri à part moi devait être au courant. Avec mon air sérieux, je reprenais ma posture lentement et rangeais le Kunai de mon adversaire dans ma poche. Je me mettais à secouer la tête en mettant ma main droite sur mon front. Le jeune Sasuke qui me trouvait certainement lent à la détente avait continué les hostilités avec une attaque Raiton. Je disparu de nouveau pour réapparaitre un peu plus haut sur un tronc d'arbre.

« Sasuke. Ca tombe bien que tu sois là, finalement, je n'aurais pas besoin d'Orochimaru, j'ai besoin de toi pour cette mission importante. Si tu es partant, dans deux jours à la frontière de Kiri, sinon tans pis pour toi. »

Je n'avais pas grand chose à lui proposer, mais mon petit doigt me dit qu'il viendra. Je ne sais peut être mon instinct, soyons et restons positifs. Un léger salut de la main suffisait pour qu'il comprenne que j'allais ou que je devais partir, ca dépend. Je ne comptais pas rester ici surtout que combattre serait inutile, son Katon fait fondre ma glace, ca serait du suicide même si j'avais d'autre atout dans mon sac. Je faisais un signe de tête à mon chien/loup pour qu'il m'accompagne s'il le souhaitait au village de l'eau. "S'il le souhaitait" c'était façon de parler, j'allais l'obliger !