Sujet: [FB] Une rencontre appaisante. { Pv : Kurasu Yasuragi } Mar 21 Déc - 16:23
Un seul être pour venger des centaines de personnes. Cela vous semble folie ? Pas pour moi, moi qui ait assisté la mort des miens, moi qui n'ait pas pu me battre et mourir avec honneur en leur compagnie sur le champs de bataille. Quel est mon nom ? Arashi Zenbu.
La haine ronge mon âme depuis cette nuit fatidique, cette haine m'apporte puissance, mais aussi désespoir ; cette haine personne ne pourra l'apaiser, mon être en est composé à présent. Elle fait partie intégrante de mon âme. Cette haine ne serra tari que le jour où toutes personnes ayant eu la prétention d'attaquer les Zenbu seront mortes et enterrées.
Vous devez sans doute me juger prétentieux de penser pouvoir éliminer tant de personne, mais c'est que vous ne connaissez pas les pouvoir des Zenbu ; associé à une haine si forte qu'elle en consume son propriétaire, ces pouvoirs élèvent mon pouvoir à un niveau peut atteint parmi les membres du clan Zenbu avant la destruction du clan et ce pouvoir ne fait qu'augmenter. En clair, les nombreux ennemis du clan Zenbu allaient bientôt se confronter à une puissance qu'ils n'auraient jamais soupçonné même venant d'un Zenbu de sang pur.
En cet énième jours de deuil, notre jeune amis se promenait dans les rues de son village, j'avais enfin terminé d'enterrer tout les corps des défunts membres de mon clan. Mon travail en ce lieu était achevé, j'allais reprendre le chemin du départ, ma route serrait certainement semé d'embuche, mais j'accomplirais mon nindo quoi qu'il advienne, les âmes en peine de mon clan seront vengé même si pour cela je dois vendre mon âme au diable je les vengerais, si j'avais été choisi pour survivre, ce n'était certainement pas pour rien.
Je sentis alors une présence, certe elle n'était apparemment pas hostile, certainement un être simple n'ayant jamais été formé pour maitriser les arts Shinobi, peut importe, cet être avait violé le dernier sanctuaire du clan Zenbu de part sa présence, le prix qui allait devoir payer serait sa mort simple et rapide.
Tel une machine dénuée d'âme, je m'approchais dans l'ombre de cette personne intrigante, je me lançais alors, sur cette adversaire qui à première ne semblait pas bien costaud. Alors que mon pied allait atteindre son visage, toutes envies de me battre quitta mon être, il se passait quelques choses, cette personne devait aspirer ma combativité ou quelques choses dans le genre, je me devais de réagir ! Petit à petit, je ne voyais plus l'utilité de me battre et fini simplement par me tenir en face de lui. Une question n'avait cependant pas quitté mon esprit.
« Que faites-vous en ces terres sacrés ? Vous n'êtes apparemment pas du clan Zenbu, votre présence dérange le repos de mes ancêtres ... »
Sujet: Re: [FB] Une rencontre appaisante. { Pv : Kurasu Yasuragi } Mar 21 Déc - 17:48
Kurasu n'avait aucun bute, ces pas lascif et dénué de vie ne faisait que tasser la terre sous ces pas, les bras nue blanchâtre de l'être ne ressentait pas la tendre morsure du froid. Il avait quitté de nombreux sentier pour se trouver en cet endroit, les bras le long du corps il c'était contenté d'avancé, humant l'aire comme un loup humant sa proie. Il y avait de nombreuses âmes en souffrances par ici, leur colère il la ressentait comme la sienne, tant d'âme et de cris tournoyaient en lui qu'il dut venir de s'aider de sa main pour ne pas chanceler. Le cape vint s'accrocher au mur les plus proches pour aider l'ascension de l'être. Les mains malingre marqué se joignirent devant lui, pendant un instant rien ne se passa puis il reprit sa route, les âmes semblaient bien plus calme maintenant. Ce lieu n'avait rien de rassurant, un fossoyeur des plus mal habile venaient d’enterré les siens ne suivant aucune coutume ils n'avaient fait qu'augmenter l'amertume et la rage de ces guerrier. Il chercha un endroit calme et se reposa, le corps tourné vers une maison délabré. Bien que les âmes c'était reposé et avait maintenant peu à peu quitté ce lieux, il en restait pas moins une âme en souffrance, la rage et la colère se répercutait dans ce lieux. Sous la capuche d'un noir profond, la chose remua la tête.
« Que faites-vous en ces terres sacrés ? Vous n'êtes apparemment pas du clan Zenbu, votre présence dérange le repos de mes ancêtres ... »
Kurasu se leva, son corps émit des craquements lugubres alors qu'il se redressait avec difficulté. Il se tourna vers l'homme, sa capuche dissimulant son visage, donnant la désagréable impression de n'avoir rien d'humain en face de soit. Le vêtement qui le recouvrait se tordit venant entourer ces bras. Il leva une main blanchâtre, l'index allant de gauche à droite, montrant l'oeil ouvert sur le dos de sa main. - Je croyais que les ninjas ne devaient pas montrer tant de haine dit il, les mains retombant le long de son corps, Je suis sur une terre qui est maintenant devenu paisible mais peut être veut tu m'attaquer pour me trouver ici ? demanda Kurasu alors qu'il ressentait que la colère et la haine de son interlocuteur disparaissait, ne laissant qu'un doute volubile, quelques choses qui n'avait qu'une prise médiocre sur la certitude qui se mit à régner doucement sur son âme. La certitude pure et simple qu'il n'y avait en aucun cas besoin de se battre. La chose tourna autour de l'homme, la noirceur de sa capuche empêchant de bien déterminer ce que regardait l'être. Chaque pas autour de l'homme, l'habit noir entourait doucement la rencontre, dans le tissus noir on pouvait distinguer des visages en souffrances. Il arrêta son mouvement pour finir par s’asseoir sur une pierre les bras posé sur ce qui devait être ces cuisses, recouvert de l'épais tissus noir, il est difficile de bien délimiter le corps de l'être. - Et comment te nomme tu toi qui déversait tant de haine et de colère sur une terre que tu nomme toi même comme sainte ? demanda Kurasu, un mouvement de la main pour faire revenir prêt de lui son étrange tissus.
La nuit voilait le monde qui les entouraient, il était difficile même au claire de lune de déterminer ou commençait les vêtements de l'être et ou finissait son corps. Les doigts longilignes de la chose venaient s'accrocher au vêtements noirâtres détachant de temps à autres quelques morceaux qui se désagrégeaient d'eux même. Plus il restait la sans rien faire, plus le temps semblait agréable, les émotions contagieuses de l'amas d'âme qui faisait face à Arashi entraînait une paix et un calme certain. Un vent frais vint chasser les quelques étoffes mal accroché. Le silence entre les deux interlocuteur était chargé d'un calme surprenant, une chose rare dans un monde en perpétuel bataille.