[Mission Rang D] Sur le chemin de la paix

Les légendes se construisent sur les bruits de couloir, puis les choses s'amplifies pour finir par construire diverses histoires tous plus incroyable les unes que les autres. Il n'y avait qu'une chose qui le tracassait alors que ces pas lui faisaient traverser une prairie au temps couvert. Il construisait son histoire et finissait par attiré des gens dangereux, suffisamment pour que l'un est utilisé un jutsu jusqu'à la oublié. La tour de Babel était censé reliée les cieux à la terre pour que les hommes puissent être les égaux de dieu. Cela attira les foudre divine et bien entendu la tour céda sous les coups la faisant tomber pierre par pierre le rêve humain, cela ne fut pas la seule malédiction apporter par la chute de la tour. Cela créa le désordre des langues. Bien sur le mythe devait être bien loin de la réalité, mais alors que les villages n'étaient qu'une idée dans l'esprit du chef des Senju. Un être fit revivre la tour à travers un jutsu, cette technique condensait l'art ninjutsu avec celle de l'invocation, mais il y avait aussi du Fuuinjutsu et un pacte sous-jacent. Cette technique reconstitue la tour, le fuuinjutsu permet de transporter les deux protagoniste dans la tour, une fois dedans on se battait, on survivait et celons nos choix sois on y restait à tout jamais soit on en mourrait. Bien entendu le choix était une farce, mais si le jutsu était bien fait il était terrible. Ce que son dernier adversaire avait fait n'était qu'une pale réplique mal contrôlé, il n'avait réussit qu'a le faire voyager sur les premiers étages, ces derniers n'étaient même pas complet.
Emporté par ces idées, il n'avait pas prit conscience de l'être qui le suivait. A chacun de ces pas l'espion avançait à petite enjambé derrière lui. Kurasu fini par se tourner, son vêtement se plaça devant le petit être, un enfant pas plus haut que trois pommes, il portait un katana qui traînait sur le sol. La lanière de cuire qu'il avait noué autour de lui était usée jusqu'à la corde et menaçais de tomber à tout moment. Kurasu du baisser la tête en sa direction, à travers les ténèbres de sa capuche l'enfant ne pouvait rien distinguer, même pas une mèche de cheveux. Prit par surprise il recula de quelques pas, mettant la main à son arme, la main de Kurasu se leva pour lui indiquer qu'il ne devait en aucun cas montrer tant de haine et de colère à l'encontre d'un inconnu. L'enfant releva les yeux, l'air déterminer.
- Vous n'êtes pas un inconnu ! Je viens vous demandez votre aide ! s'écria le jeune garçon sa main avait lâché la poignée de son arbre pour suivre un mouvement miroir à son autre bras. Il garda la pause un moment croyant pouvoir faire un câlin à l'être de noir vêtue.
- Mon aide ? répéta Kurasu qui ne comprenait pas bien comment d'un peur intense qu'il avait pu lire dans le regard de ceux qui protégeaient leur village avait pu naître la volonté de le voir comme un sauveur. Quoi qu'il en soit, la demande du jeune l'intriguait, il se décida alors à se mettre à son niveau, son corps chancelant craquant sous l'effort. Sa main calleuse passa dans la tignasse de l'enfant le tableau était des plus hétéroclite comme si la mort prenait en amitié la vie.
- En quoi puis je t'aider questionna Kurasu, l'enfant trépignait et la proximité de l'être le rendait calme, les enfants ont toujours été des récepteurs d'une rare perfection, l'enfant était passé de la peur à la colère puis a la tristesse pour finir par une neutralité parfaite, tout cela en à peine quelques secondes, le temps d'une rencontre.
- Mon village à besoin d'aide ! aidez nous s'il vous plais ! finit il par concéder les yeux tourner vers le sol et la larme coulant le long d'un joue blanche.
- Pourquoi ne pas faire une telle demande à un ninja ? s'enquit de demander Kurasu, le besoin de connaitre ou l'histoire sur son compte c'était modifié. L'enfant expliqua que les ninja demandaient de l'argent pour aider et si il demandait à un déserteur, il se montrerait peut être bien plus menaçant que les problèmes que rencontre son village en ce moment. La réflexion était juste et accompagné de quelques soubresauts de tristesse que Kurasu rapprocha plus de la honte, celle d'être faible. Il remua la tête et se releva, l'enfant leva le visage la peur de le voir refuser et partir imprégnait ces yeux tout comme l'air qui l'entourait.
- Amène moi à ton village je verrais bien ce que je peux faire, mais en tant que employeur donne moi ton nom demanda Kurasu au jeune homme qui tirait déjà l'étoffe noir dans le sens à suivre. Le gamin s'arrêta et leva la tête un large sourire fendait son visage en deux.
- Moi c'est Joshua ! Venez c'est par la ! lui dit il joyeux l’entraînant sur la pente tranquille. Une fois arrivé à la lisière des bois un chemin se découpa à travers les arbres, rien de bien construit, juste un espace tanné par les passages incessant des voyageurs et autre journaliers. Kurasu se contenta de suivre l'enfant qui galopait devant lui, jouant d'un rien, un arbre ou un baton ou il mimait les combats épiques qu'il n'était pas sur de ce souvenir. Alors que la lumière faiblissait, le soleil perdant la bataille contre la lune offrant un éclairage soudain plus sombre, Joshua marcha bien plus prêt de l'être recherchant la protection, l’empathie désinhibé lui en fournie le rêve.

Le gamin marcha avec beaucoup plus de précaution quand le silence de la nuit fut briser par les bruits abruptes d'homme éméché. Joshua se mit à couvert derrière un arbre, faisant un signe pour que l'homme le suive. Kurasu apprécia la mise en scène lui rappelant les traques avec sa troupe de ninja, avant tout cela. Quand l'enfant lui fit à nouveau signe il s'approcha d'un pas lent et qui donnait l’impression d'un équilibre incertain, il se plaça derrière l'enfant et constate que le petit village n'était même pas totalement construit en dur. C'était plus un trou au milieu de la foret, un début d'idée pour asservir la nature ambiante et essayé de couler des jours heureux. Au premier abord, tout semblait aller pour le mieux, il se refusait d'utiliser ces capacités alors que le spectacle qui se jouait devant lui était une fête proche de l'orgie ou les hommes commençait à se vautré dans le stupre et la fornication avec des femmes qui ne se donnait même plus la peine de jouer les prudes. Les cartes tombaient en même temps que les masques, une fête banale en sommes avec les autochtones de la région amusé de constaté que de nouveau arrivant on de grand rêve pour ce lieux.
- Il n'y a rien qui nécessite l'intervention d'une force extérieur Joshua dit il reculant doucement pour que les ombres les recouvres totalement. L'enfant ne dit rien et se contenta de pointer du doigt des tentes placé un peu plus loin couvert par la nuit. Si il regardait mieux, il pouvait voir qu'il y avait des gens d'installé, mais la fête ne semblait pas égailler leur coeur. Pour en savoir plus Kurasu décida de s'approcher, suivant la lisière de la forêt il s'approcha suffisamment pour que personne ne puisse le voir. Effectivement, il y avait deux groupes et bien que l'un s'amusait l'autre était tenue en laisse par des chaines et un enclos. Les nouveaux arrivants avaient de grands rêves mais ne comptait pas laisser aller leur main d'oeuvre gratuite. Il y eut un bruit, l'enfant cria. Kurasu suivit la scène de loin, un des hommes bien qu'alcoolisé avait trouvé l'enfant et le tirait en direction du feu. Une correction allait avoir lieu, mais il ne pouvait pas se contenter de foncer dans le tas. Les gens se réunissaient autour de l'enfant, il en profita pour quitter les ombres de sa cachette et s'approcher des esclaves, un mouvement de la main pour pas que leur surprise ne se transforme en peur, puis l'un se mit à rire à la grande surprise des autres. Étonnant pour ceux qui n'avaient connu que la servitude, mais rien de surprenant, Kurasu avait envie de rire ce soir.

A suivre !