[Mission Rang D] Un Objet inattendu

A force de frapper la terre de ces pas, son corps c'était mit à lui faire mal, une douleur qui avait surpassé les voix qui l'habitait. Il avait donc fait un halte rapide dans une petite auberge de chemin, bien qu'il fut étonné qu'une telle chose puisse exister en dur, il n'était pas mécontent de l'avoir trouver. Il avait poussé la porte ou un écriteau clamait l'ouverture effectif encore pendant deux heures avant le repas du tavernier. La porte déclencha un carillon qui retentit dans l'endroit désert, l'être habillé de ténèbres se pencha, il fit un pas dans l'entrée mais n'entendant rien, il fit volte face, ces doigts squelettiques se plaçant sur la poignée de la porte. Une bruit rapide le fit marquer un arrêt, trop imposant pour être un animal, puis le bruit indiquait clairement que la chose était bipède. Kurasu se redressa de toute sa taille, il frappa dans ces mains, un sons sousharmonique émergea de cet acte, les sons cessèrent. Il prit une grande quantité d'air essayant d'absorbé chaque parcelle d'air qui l'entourait. Il tourna la tête à gauche puis à droite, visiblement il n'y avait qu'une seule personne dans le bâtiment, il était un excellent émetteur empathique, mais si il était simple d'envoyer les sentiments vers les autres, il était encore plus simple pour lui de se montrer réceptif à chaque sentiments qui imprégnait l'endroit.

Les hommes mort ou vivant laissait une emprunte plus ou moins flagrante, les vivant laissaient comme une tache coloré très vive dans l'esprit de Kurasu et en fonction du sentiment la couleur peu changer. Par contre laissait une couleur noirâtre, ces couleurs étaient des variations de gris qui pouvait aller au très sombre si les âmes avaient quitté se monde dans une très grande peine. La dernière marche craqua sous le poids de la chose, l'étage était calme, bien que les murs étaient griffé par divers endroit, le bois du sol éventré par une lame brutal. Kurasu s'arrêta devant la première chambre, le visage dirigé vers le plafond ou quelques taches noirâtre était encore visible, il fit un quart de tour et pénétra dans l'endroit. C'était une chambre d'auberge des plus banales, un lit proprement fait, il n'y avait aucune trace de bataille ici, les rideaux étaient tiré de manière que peu de lumière ne pénètre le lieu. Une épaisse armoire était collé au fond de la chambre, Kurasu renifla deux fois suffisamment bruyamment pour entendre un mouvement. Il s'assit sur le lit qui faisait face au meuble de bois épais.

- Tu peux sortir il n'y a plus que toi ici dit il, les doigts frappant le bois du lit, la porte s'entre ouvrit une mèche blonde sortie de la noirceur du meuble puis une tête, l'enfant se dirigea en trottinant vers Kurasu comme si elle le connaissait depuis des années. Il ne pouvait pas se permettre de perdre trop de temps la dessus, gagner la confiance d'un enfant un jeu qui peu être long et se briser avec une facilité déconcertante. L'enfant ne tarda pas à fondre en larme, cela devait être un passe temps, les joues creusent de l'enfant, ce teint blafard de la faim brûlante calmer par la tristesse et les souvenirs colériques. Kurasu tendit son bras pour venir le blottir un peu plus contre lui. Une fois l'empathie stabiliser l'enfant se recula, se frottant les yeux il chercha un moment contre qui il venait de verser ces quelques larmes. Le calme regagné s'étiola devant la forme de la chose, mais il n'y eut pas de nouvelles larmes.
- Que c'est il passé ? Demanda Kurasu, un mouvement de la main comme pour ponctuer ces propos. L'enfant baragouina une histoire de monstre venant chercher les hommes de la maison un par un, puis ce fut les femmes et les enfants. Il était donc le dernier enfant de la maison. Kurasu soupira, il prit place sur le lit et s'allongea doucement, ces os grincèrent sous cette nouvelle position. Son habit très ample libéra ces pieds endoloris, montrant des Geta de bois, la corde avait coupé entre ces deux doigts de pieds la chaire libérant la délicate liqueur vital. L'enfant disparut dans le couloir après lui avoir demandé si il était un ninja, l'être de noir vêtu avait répondu rapidement, un oui qui était prit dans le doute de ce qu'il était réellement. Après un doux moment de silence, l'enfant revint dans la pièce, les bras charger de diverses choses. Le dos adossé au mur, les jambes allongé devant lui, Kurasu laissa l'enfant faire. Il s'occupa de ces pieds de la meilleur des manières qu'il pouvait faire, entourant ces blessures d'une compresse imbibé d'un produit à l'odeur désagréable. Une fois ces blessures pensées, l'enfant mit ces Geta prêt du lit et il alla se réfugié dans sa cachette, promettant une somme d'argent à l'homme si il parvenait à faire fuir les monstres qui lui avait retiré ces parents et tout les gens de l'auberge.

Kurasu regarda l'enfant refermé la porte de bois derrière lui, il s'imagina sans grande peine son petit corps pelotonné dans son coin, espérant que les monstres ne viendraient pas le tuer, ou pire l'emmener quelques parts, l'imagination regorgeait de chose bien pire que la mort et c'était sans doute le premier fléau véritable. Alors que la luminosité baissait, des bruits naquirent. Kurasu mit ces Geta et se déplaça parmi les ombres, mais après avoir fait la maison de long en large, il ne vit aucun démon susceptible de l'attaquer. Il revint dans la chambre, la porte du meuble grand ouverte, éventré par la même lame que celle qui avait abîmé le sol. Il y eut un bruit, comme un pas rapide. Le coup le surpris, mais Kurasu ne lutta pas contre la vitesse que prenait son corps pour l'envoyer dans le mur. Il traversa le bois du placard, puis le mur grinça sous l’impact. Son habit émergea des débris poussant les quelques morceaux de bois sur son passage. La chose lui faisait face, mais ce qui le surprenait le plus n'était pas l'être en lui même mais ce qu'il portait dans ces mains.

L'enfant se tenait en face de lui, légèrement courbé vers l'avant les cheveux blonds tombaient en cascade sur son visage ou l'on distinguait qu'avec difficulté les yeux bleu de la demoiselle. Le seul démon ici était cette jeune fille, mais Kurasu savait par sa posture qu'elle ne lui avait pas mentie. Il avait à faire à une autre fillette, une chose régis par un instinct chaotique quelques choses qui dépassait son entendement. Un tel revirement s'expliquait par ce qu'elle tenait dans sa main, l'objet traversait son dos pour aller soutenir son bras replier contre. L'être habillé de noir se dressa, les bras blanchâtres restant le long de son corps.

- Ame no nuhoko, que fait la lance céleste ici ? demanda Kurasu à la fillette qui se recula d'un pas, la lance céleste était un artéfact d'une puissant inimaginable, mais pour obtenir son plein potentiel, il faudrait être un dieu et ne pas craindre la mort. Dans le cas d'un maniement par un maître d'arme, cette dernière pouvait donner la victoire en échange d'un petit sacrifie de chaire, rien de bien grave quand on peu lutter contre un bon millier d'homme. Cette lance avait la faculté d'obtenir la conscience née des sentiments de la personne qui la porte. Une arme dangereuse porté par un enfant dévoré par la crainte, la douleur et la haine qui de surcroît ne maîtrisait en rien ce qui se passait transformait cette arme qui était le symbole de la création en une dangereuse arme de destruction. la gamine ouvrit la bouche mais aucun sons n'en sortie, il pouvait aisément imaginer ce qui c'était passé, peut être un larcin entre deux habitué, la peur qui c'était infiltrer dans le coeur de l'enfant. Le père qui pour la soulage lui avait prêter cette lance croyant la rassuré. Mais Ame no nuhoko c'était nourris de ces craintes pour les endurcir et nuit après nuit, la fillette se levait, sa peur transformer en colère elle tuait une personne entraînant le lendemain de nouvelles peurs et craintes. Une force nouvelle qu'elle ne maîtrisait pas, même dans les tréfonds de la haine, l'enfant ne parvenait même pas à trouver la force de justifier ces actes.
Autant dire que c'était un combat contre la lance elle même qu'il s’apprêtait à faire. La désarmé devrait suffire c'était il dit alors que le premier coup était donné par la jeune fille, son déplacement était rapide et silencieux. Kurasu traversa l'étage pour se retrouver dans l'entrée, un mouvement ample pour esquiver le second coups mais l'impacte indirecte de la haine le fit voler dans la porte donnant sur la cave. Il dégringola les escaliers pour se retrouver entouré d'un parfum sec de viande séché, d'alcool et de peur. Il se remit debout, une bougie était allumé, vacillant de gauche à droite. Il avait fait une erreur dans son raisonnement, la peur était née bien avant. Devant lui se trouvait une famille, mais aussi des hommes prostré qui portait un couteau devant eux comme si cela allait pouvoir les protéger. Le pas lents de la gamine descendant les marches avec un rythme lugubre le tira de ces pensées, il prit une chaise placé à coté de lui et lui envoya, alors que la lance coupait le bois Kurasu sauta sur un mur pour y adhérer un petit moment pour aller percuter la gamin qui manquait cruellement de réflexe défensif. Une fois son habit autour des membres de la petite, il ordonna aux personnes de quitter les lieux ce qu'ils firent sans se prier.

- Tu me paye pour faire disparaître les démons dit il, la lame de la lance se releva d'un coup comme si elle ne pesait plus rien il avait fallut deux doigts à la gamine pour faire un tel mouvement, le tranchant coupa les sangles noir. Le manche noir cueilli Kurasu au niveau de son visage, a peine quelques secondes pour ramener son bras avant l'impacte qui le fit remonter les escaliers le faisant traîner sur le sol sale. Les murs entourant l'entrée de la cave vola en éclat, le sol se fendit sous la rage de l'enfant. Kurasu se releva dans un flip original, poussant sur ces mains pour un saut arrière il esquiva la nouvelle attaque avec une aisance que l'on aurait du mal à imaginer venant de ce corps. La maison était prit de tremblement, les fondations étaient surement touché, derrière lui se tenait la porte, il lui aurait fallut peu de chose pour la traverser sans quitter son adversaire des yeux, mais ne serait ce qu'une faille dans sa défense et sa serait la mort assurer, lui tourner le dos pour ouvrir la porte était exclus. Kurasu prit alors sa décision et remonta les escaliers menant aux chambres, il remonta le couloir, sentant la gamine sur ces pas. Il traversas la fenêtre du fond, accrochant son tissus à la fenêtre il put remonter d'un coup sur le toit.

La fillette ne fut pas longue à venir mais c'est en traversant le reste des étages et le toit lui même qu'elle se mit en garde en face de l'être. Les premiers échanges se firent dans un silence presque surnaturelle, la lance ne venait trancher que de l'air ou bien des morceaux de tissus. Autant la force et la vitesse était présente dans l'enfant, autant il lui manquait cruellement d'expérience, la lance ne dansait pas dans les aires mais donnait l’impression d'être prit d'une transe chaotique. Les pans coupé de l'étoffes c'était inséré dans la toiture, dégradant les chevrons ils se rallièrent à l’habit de Kurasu qui profita d'un mouvement ample pour faire céder le toit. L'enfant fut happé par le poids de son coup et de son arme, Kurasu entoura son poing de la noirceur du tissus pour donner un coup qui fut parer in-extrémiste par l'arme. Puis le reste de l'auberge disparut dans les décombres soulèvement son lot de poussière. Des voyageurs attirés par les cris et le combat, par les gens blessé qui avait fuit le lieu c'était amassé regardant le lieu tomber dans cet amas de bois et de fers. On put entendre distinctement le soulagement des rescapé.

Que croyait il, alors qu'il s'extirpait des décombres aidé par le tissus noir qui semblait prit d'une fureur hors du commun. Une fois droit, l'air passant dans sa capuche, il était à quelques pas de la lance qui était tombé lame la première dans un mur porteur ce dernier avait chu à terre, offrant une dalle à cette arme mythique mais si peu reconnu. Kurasu fit un pas dans sa direction, la gamine s’extirpa des décombres à se moment la, son corps meurtrie attira les hommes sur le coté pour la sauver, erreur grotesque, armé d'une barre de fers, elle n'en fit qu'une bouché. La haine et la colère qu'avait engendré la peur et la tristesse était maintenant bien trop encré pour que la fillette s'en sorte à cause d'une chute ou d'un imprévue de la taille d'un bâtiment qui s’effondre. Un lien invisible c'était tissé entre elle et la lance, c'était l'un des effets de cette arme. L'être habillé de noir ne pouvait pas laissé une telle arme en possession d'homme encouragé à tout ces sentiments négatif, Ame no nuhoko était une arme céleste, elle avait créé elle n'était pas faite pour détruire ni pour engendrer de la tristesse. L'enfant se rua sur Kurasu alors qu'il c'était suffisamment approché de l'arme pour la saisir. Le coup, il le reçus sur le crane, le faisant chanceler un moment, mais loin de la protection de la lance la gamine s'infligea la même blessure. Ce temps suffit pour qu'il retire la lance, la faisant danser autour de lui pour l'arrêter sur son épaule. Le gamin regarda cela avec une stupeur mélangé à la peur de perdre quelques choses d'important. Le tumulte de haine ne disparaissait pas, son regard sans vie, le coeur prit à partie par les tumultes de sa propre colère, la lance avait fait germé un démon qui ne siée guère à la délicatesse de l'enfant.

La première attaque fut accueillit par le corps de la lance s'enfonçant dans les cote de la gamine, elle rebondit dans les décombres, il y eut quelques cris de protestation, mais les corps sans vie massacré par l'enfant fit taire la clameur. Il y avait quelques choses de contradictoire dans les coeurs de ceux qui regardait ce combat. Tout ce qui devait représentait la bienveillance et la pureté ce montrait aussi brutal qu'un démon et la forme la plus démoniaque sur le champs de bataille se trouvait être celui qui protégeait les gens. Cela tiraillait les âmes de voir une enfant si mal mené, on ne voulait pas encourager le démon, mais pleurer les pertes et déclenché le sentiment de vengeance envers une enfant ne faisait qu'endiguer le problème. Kurasu admira la scène, le tumulte de sentiment divers et varier. Mais bientôt, de nouveau spectateur allaient arrivé des personnes n'ayant rien suivit du combat et leur partie serait claire il fallait mettre fin à ce combat.

- Je vais te montrer comment te servir de cette arme dit il, les mains blanchâtre tenant fermement l'arme, les âmes qui le constituait se réunir pour entamer en coeur le sentiment d'abandon, une forme si pure qu'elle s'approchait de l'amour. la gamine ne voulu rien savoir, mais la lance se mit à scintiller doucement la couleur de l'abnégation celle des anges et des démon, un mélange de lumière et d'obscurité alors que le combat recommençait l'être habillé de noir ouvrit une brèche de ce chaos de coup que certain auraient peut être appelé stratégie. La lance traversa le corps de l'enfant, Kurasu planta le coté opposé dans le sol. "Sabaku" dit il alors que l'enfant tombait doucement sur le sol. Des hommes derrière lui se mit à crier, voila les nouveaux qui arrivaient pour porter secours à l'enfant, mais ceux qui avaient suivit le combat les retint essayant de leur expliquer ce qui se passait vraiment. Le corps continuait de glisser vers le sol.

- Le Subaku est une techniques de l'abnégation offert par la lance, si le coeur est trop encré dans la noirceur le corps est détruit sinon, la vie lui est redonné dit il, la gamine toucha le sol le corps disparut ne laissant que les vêtements déchirés de l'enfant. L'être fagoté d'ombres retira l'arme, la glissant sous ces affaires, il s'extirpa du lieu de désolation. Il y eut quelques remontrances, mais tous ceux qui l'entourait se fendirent d'un passage. Personne n'osa le regarder dans les yeux prit entre peur et incompréhension.