[Mission Rang D] Conflit séculaire

Si la paix doit régner dans ce monde, par la force ou l'influence, par le pouvoir ou la certitude, il y a bien un endroit ou les préceptes doivent être respecter. Les temples, lieux de culte prêchant la bonne parole ou simplement la paix véritable, le corps, le coeur et l'esprit en communion. Au-dela de toutes croyance se cache une idéologie reposant sur la véritable idée de bien faire, de vivre ensemble. Mais si le message primordial est longtemps suivit, il est bafoué par des centaines d'années d'humanisation, ou les préceptes de vie on été détruite, des amendements, la pensées de certain convertissant des centaines puis les guerres et les principes stupide de la pensées humaines se greffant alors sur un si magnifique concepts que la croyance. Il se trouvait en présence de l'enfant entre la croyance et les siècles d'humanité, deux temples face à face, deux croyances tirant leurs règles du même courant idéologique de base. Les deux courants se faisaient face, alors que Kurasu dévoilait peu à peu sa forme démoniaque. Les hommes reculèrent en coeur devant la force qui émergeait des bois, l'être s'arrêta au milieu des deux groupes d'hommes. Il s'arrêta mirant quelques minutes chaque hommes présents dans les deux parties. Les deux temples protégé par les camps rivaux se ressemblaient étrangement, quelques enluminures et une statue imposantes de plus alors que le seconde bâtiment gardait une forme étroites qui devait parfaitement imaginé la pensée des hommes prêtant serment à ce courant de pensée.

- Va t'en démon ! lui lança un homme à sa droite rapidement réprimandé par le chef du peloton, qui vint s'excuser au prêt de Kurasu. Un autre du camp opposé profita du manque de tact de l'homme pour s'approcher furtivement de la chose et faisant fit de l'apparence de la chose il lui parla comme à un homme qui se serait présenté à lui. Kurasu leva une main blanchâtre pour coupé court à toute demande ou réplique des hommes présents.

- Vous tous avez ressentie une peur qui est toujours présent dans vos coeur mais votre rancœur envers les autres vous pousse à me confondre avec une âme à sauver, ai je vraiment l'apparence d'un âme qu'on doit sauver ? demanda Kurasu, les sentiments s’entremêlant des hommes présent le força à porter sa main dans sa capuche. Les âmes avaient redoublées leurs cris dissonants donnant un mal de crane qui se répercutaient dans chaque os de l'être.

Après un moment d'hésitation, les sentiments de chaque camps prirent la même direction de pensée et sans même en avoir discuter, le ton est doucement monter, demandant à l'être de partir s'il refusait la main secourable qu'on lui proposait. C'était claire, ces hommes partageaient la même fois inébranlable et contaminé de la foi aveugle. Ils voyaient en leurs paroles le salut de l'espèce qu'ils appelaient frère sans même prendre en compte les envies de ces derniers. Mais avant toutes attaques physique et désagréable qu'il aurait pu subir entraînant surement un conflit qui aurait fini dans une paix inébranlable et le silence des morts, une vindicte populaire c'était monté et ils arrivaient faux et fourche à la main l'homme à leur tête scandant leur volonté que les querelles entre les deux temples cessent maintenant. Cela avait coûté la vie à de nombreuses personnes, des batailles de comptoir, des bêtes tuées pour des stupidité. Le peuple en avait visiblement assez de toute cela. Les hommes de croyances firent face ensembles et une nouvelle fois Kurasu se retrouva prit entre deux feux, mais il préférait la flammes qui animait le peuple à celle qui donnait la force au croyant. Les deux camps le regardèrent d'un mauvais oeil, les croyants le voyaient comme profondément hérétique alors que les citoyen essayaient de faire la part des choses en espérant le voir simplement dans leur camps et non pas ceux des fous qui leur faisaient face. D'un coté, le nombre levait un poing rageur, de l'autre les fourches brandit par un petit nombre. Ce combat allait être épique, Kurasu déplia ces bras malingre et fit un geste allant du haut vers le bas comme si ils leurs demandaient de s'agenouiller.

- Aujourd'hui je teste votre envie de paix et votre foi par la même occasion dit il, l'empathie fut comme une drogue que chacun avait en lui, les hommes portant leurs armes cédèrent et finir un genou à terre, les larmes plein les yeux, les hérétiques furent bien plus long à la détentes mais tous finirent dans la même postures.

- Je vous offre une journée de repos et demain serra votre jugement dit il, un homme se mit à geindre disant à tous qu'il serait prêt à lui confier cette mission pour que ce conflit cesse. Ainsi soit il dit il dans un souffle alors que chacun se relevaient pour regagner leur logis, une joie au fond du coeur un calme pénétrant. Jusqu'au lendemain très certainement.

Le lendemain était un jour fatidique, il avait prévu un plan quelques chose qu'il avait toujours répugné à faire mais dont ces capacités lui permettait de faire avec une simplicité déconcertante. Il avait arrêté les sentiments haineux et cette chaîne intempestive de colère qui augmentait de plus en plus alors que les deux camps se faisaient face. Il avait laissé les gens rentrée chez eux puis placé sur un toit, il avait doucement endigué l'empathie positive pour une empathie stressante. Ni peur ni haine, juste une atmosphère lourde et tendu. Il se plaça sur les tuiles d'une maison et observa en contre bas les gens sortir de leur logis. Il vit l'homme qui lui avait demandé de mettre fin au conflit, il regardait autour de lui comme une proie. Il était simple de s'imaginer que la vie des habitants du village ne devait pas être simple. Les temples restèrent fermé un long moment jusqu'à que le soleil soit à son zénith, les portes s'ouvrirent presque en même temps et ce ne sont pas des mines compatissante mais des insultes qui volèrent à travers la rue. Pour seul salut, il se lancèrent quelques débris qu'ils avaient amassé sur le coté de la porte. Puis commença le défiler, les deux groupes de chaque temple formèrent des lignes serré, les mains derrières le dos les hommes se jaugeaient regardant chaque personne saluant les uns et les autres. Puis les groupes se séparèrent dans les petites rues. Kurasu suivit le manège des deux groupes religieux sous couvert des ombres des toits et des rues étroites. La tension de la journée établit par l'être en noir rendait les gens nerveux et sur le qui vive.

Les premiers incidents explosèrent, les pleurent, les cris retentirent dans la rue alors que les croyants se mettaient à attaquer les partisans du peuples qui soutenait l'un des deux temples. Il était leur du jugement, visiblement la population subissait les affres de ces temples, ils avaient oublié que ceux qui disaient prêché la bonne parole étaient aux services des autres et non pas l'inverse. A chaque incidents, l'homme responsable disparaissait un peu plus tard, la tension augmentait d'un cran à chaque nouvelles disparitions. Avant même le milieu de l'après midi les routes du village étaient vide, il ne restait plus que quelques membres des temples qui se mettaient allègrement sur la tête tenant responsable les uns des autres de leur pertes réciproques. Kurasu décida à ce moment de faire tomber le masque, se révélant aux premiers membres du culte qu'il croisa. Ces derniers se souvinrent de la prestation de l'être, il se tinrent légèrement en recule cherchant une faille dans la forme humanoïde recouvert d'une épais tissus noir qui ne laissait rien entre voir. Le premier prit les devant mais affaissa un coup de poing sur son frère le plus proche. Ce dernier lui rendit et un combat entre deux compagnons commença, les autres les imitèrent bien vite, une simple empathie, quelques vague à l'âme et voila qu'ils se battaient comme des chiffonniers. Kurasu les dépassa sans prêter attention à la violence de leurs coups.
Il remonta la rue jusqu'aux temples, il se plaça au centre de la rue, les deux portes étaient ouvertes, mais personne ne semblaient vouloir sortir. Kurasu soupira, les hommes qui se battaient en contre bas avait fini le rixe et ils se dirigeaient vers lui, leurs pas étaient lent, on pouvaient sentir la souffrance qui scindaient leurs corps, mais ils continuaient d'avancer le pas lourd, la mine ahurie. Une fois devant Kurasu, les deux derniers hommes encore debout prirent chacun la direction de leur temple respectif. On entendit des cris puis des hurlements de rages incontrôlés. Les hommes sortirent par groupe du temple et ils ne furent bientôt plus que séparé par Kurasu.

- La scène doit vous semblez familière n'est ce pas ? demanda l'être affublé de noir, les hommes se regardèrent. Bien sur qu'ils se souvenaient, ils avaient fini par rentrer bêtement dans leur chez eux sans même essayer de comprendre pourquoi toute envie de se battre les avaient quitter.

- Que nous veut tu !? Demanda vivement un homme derrière la troupe venant du temple de gauche. Kurasu tourna son visage dans cette direction mais il ne distingua pas l'homme qui avait prit la parole d'une manière bien pleutre, cacher derrière ces camarades et ces idéaux, il n'avait fait que poussé un petit coup de rogne pour voir si les autres le suivaient.

- Je vous ai offert une fin de journée de paix et vous disant que le lendemain serrait le jugement, aujourd'hui vous êtes tous partie sur un pied d'égalité, mais seul vous, Kurasu écarte les bras pour montrer les hommes de chaque coté, avez continué votre petit manège de terreur dit il laissant retomber les mains le long de son corps.

Les personnes ne savaient plus quoi faire ni quoi penser, comme hier, les villageois commençaient à sortir de leur maison pour essayer de comprendre ce qui se passait. Si les violent avaient leur place en enfer, les faible et hypocrite étaient peut être bien pire, en se laissant simplement menacé et mené par le bout du nez ils permettaient des choses pire que si ils se rebellaient. Kurasu allait leur montrer que la paix ne passait pas par de stupide silence ou on se laissait marcher sur les pieds.

La quantité d'ennemies présent avantageait Kurasu qui dut encaisser quelques coups, mais rien de comparable face à la déferlante d’incompréhension quand une bonne partie se mit à le protéger et à se battre férocement pour lui. Il se paya même le luxe de quitter la zone de combat pour se rapprocher des villageois. Tous regardèrent l'être au physique improbable se mouvoir dans leur direction, en arrière les deux temples se battaient comme des fous, mais il n'y avait plus de séparation de croyance, une même école se battait ensemble ou bien contre les autres. Une fois arrivé suffisamment loin pour avoir une vue d'ensemble de la scène Kurasu les laissa faire, les uns tombant de fatigue, d'autre appuyaient sur leurs plais pour limiter les hémorragies. Ils avaient perdu l'ennemie principal de vue, une poignée d'homme étaient encore debout après une bonne heure. Les courageux et résistant tournèrent, pour la plus part, des visages tuméfié en direction de Kurasu qui se contenta d'hausser les épaule les bras très légèrement écartés.

Ils avaient reprit leurs mauvais penchant du départ, se croyant survivant et prêt à en découdre avec l'être qui les avaient mit dans cette situation, stupidité, Kurasu commençait à comprendre pourquoi aucun villageois n'avaient essayé de les résonné autant par la force ou bien par la discutions. Il n'y avait rien à sauver chez eux. Cela faisait bien longtemps que ces hommes avaient laissé la raison au placard transformant leur culte et leur bonne parole en un ramassis de dogme sans maître et de principe coléreux et haineux. Même dans la défaite, devant l'incompréhension d'une situation, ils ne se remettaient pas en question et restaient accroché sur leur position comme le ferait un enfant orgueilleux devant des parents trop laxistes. L'être recouvert d'une étoffe noir prêta un regard à la masse populaire derrière lui, ces derniers c'étaient reculé pour ne pas être contaminé par la présence de leur sauveur et bien qu'ils avaient fait bonne figure lors de leur première rencontre, la peur avait fini par gagner les forçant à s'éloigner de la main tendu en leur direction. Mais une mission était une mission, un homme prit dans l'empathie avait fini par demandé ce qu'il souhaitait vraiment, la fin de tout sa. Pas besoin de dieu si il n'en ressortait que plus de violence et d’atrocité stupide. Une décision sage bien que guidé par leur propre faiblesse. Les croyants restant, une poignée d'homme chancelant, avait fini par se rassuré eux même, c'était dit, Kurasu était un démon qui fallait exterminer au vue du mal qu'il venait de produire par sa simple présence.

Les mains souffreteuses et longiligne de l'être vinrent se coller, il n'avait pas vraiment besoin de faire des signes depuis qu'il avait gagné cette seconde vie, les choses se faisaient d'elle même, mais il n'avait pas essayé de faire des techniques comme il en avait fait avant. Il avait l'intime certitude qu'il n'en était plus capable, adieu technique élémentaire et autre capacité détonante, il avait gagné quelques tributs de force douce bien plus dangereuse en sont sens. Sa tenue fut prit de convulsion, du tissus se forma en pseudopodes qui s'allongèrent pour aller se saisir les hommes. Ils furent surprit, mais devant la force tranquille de la technique ils ne se posèrent pas plus de question, la haine dans leur coeur ne faisait que s’amplifier au rythme de la douleur qu'ils ressentaient. L'homme qui s'approcha le plus rapidement de lui vit son coup détourner pour aller frapper l'homme le plus prêt, Kurasu bloqua l'attaque d'un autre alors que les coups étaient dans le même mouvement dévier de leur cible première pour toucher leurs alliées. Une fois un homme saisit, l'être en noir fit voltiger ce dernier pour finir par l'écraser à terre avec une force destructrice.

La suite fut dans la même veine, les hommes comme les ninja qui se croyait emprunt d'une mission qui les dépassent ne parvienne par à comprendre l'essence d'une rencontre ou d'une présence. Si ces hommes avaient juste décidé de se tenir tranquille, de privilégier leurs cerveaux plutôt que leurs muscles et leurs haines, peut être ne se seraient ils pas retrouver dans ces macabres accoutrement, leurs corps perdant gouttes à gouttes la précieuses liqueur vitale. Un véritable champs de bataille, les villageois resté en arrière se rapprochèrent doucement, Kurasu avait grimpé sur une maison laissant le paysage désolé derrière lui. Les hommes devaient bien comprendre et prendre conscience que bien qu'ils avaient vécus des moment désagréable, ils devaient aussi apprendre à ressentir la détresse de ces hommes et peut être bien à les aider du mieux qu'ils pouvaient.

Validation :

Kurasu Yasuragi : 7 + 7 + 7 = 21 Exp + Gain mission